PUB Edition nº 66 | Série II, du 25 janvier 2012 Hebdomadaire Franco-Portugais GRATUIT O jornal das Comunidades lusófonas de França, editado por CCIFP Editions, da Câmara de Comércio e Indústria Franco Portuguesa morreu João Teotónio pereira, 07 ex-Cônsul geral de portugal em paris e Chefe de gabinete de paulo portas. Edition F R A N C E Fr lusojornal.com 03 05 09 PUB 21 Remessas. As remessas dos emigrantes diminuíram em 2011, sobretudo de França, embora continue a ser o país que mais envia dinheiro para Portugal. Geminação. Uma delegação de Fafe vai no próximo fim de semana a Sens com vista à assinatura de uma geminação. Empresários. Entrevista com Valdemar Francisco, empresário português e membro da Câmara de Comércio e Indústria Franco-Portuguesa. Futebol. O Créteil/Lusitanos empatou com o Bordeaux para a Taça de França, mas acabou por ser eliminado nos penáltis. Johnny primeiro single D & 12 13 “Quero saber Quem és” apresentado esta semana Olívia de Soares 02 opinião le 25 janvier 2012 Chronique d’opinion em síntese pergunta do pCp sobre ensino O Deputado Comunista João Ramos, apresentou na semana passada, na Assembleia da República, uma pergunta ao Ministro dos Negócios Estrangeiros sobre a Alterações no ensino do português no estrangeiro. “As alterações ao sistema de Ensino do Português no Estrangeiro, de cuja estrutura o Ministério dispensou 49 professores no final do ano passado, deixaram sem acesso ao ensino da cultura e da língua portuguesas grande número de Portugueses e lusodescendentes. Passada a fase em que o Instituto Camões dispensou os professores e abdicou da sua obrigação de proporcionar essa oferta aos Portugueses residentes no estrangeiro, surgem agora, pelo menos na Suíça, as notícias das mais diversas formas de colmatar a falta provocada pela retirada do Instituto Camões. Acontece que estas alternativas estão envolvidas de muito pouca clareza” escreve o Deputado João Ramos. Segundo o Deputado “parece haver professores a quem os pais pagam diretamente. Outros regressaram à sua escola de origem em Portugal e agora voltam por destacamento ao mesmo horário mas com o vencimento dessa mesma escola de origem. E ainda há notícia da existência de protocolos entre o Instituto Camões e várias comissões de país”. O Deputado Comunista diz que “temos agora o ensino não a dois mas a três níveis. O dos Portugueses que têm acesso ao ensino da responsabilidade do Instituto Camões, o daqueles que podem pagar a um professor para que os filhos tenham acesso ao ensino e ainda o dos que não podem pagar e não têm acesso ao ensino da língua e cultura portuguesas”. Preocupado com esta situação, João Ramos pergunta se o Ministro conhece “da existência de professores a quem os pais pagam diretamente, que articulação têm estes professores com o sistema oficial do EPE, como são certificados os níveis de formação destes alunos e de quem é a responsabilidade pelos espaços onde ocorrem as aulas, pelos materiais e até pelos seguros escolares. henri de Carvalho Écrivain à L’Isle Jourdain simple retour [email protected] Les BRICS, vous connaissez? C’est par cet acronyme que l’on désigne les principaux pays émergents: Brésil, Russie, Inde, Chine et South Africa (Afrique du Sud). On parle souvent, à l’heure actuelle, de globalisation, de mondialisation et même d’asiatisation. Pourquoi? Il y a quelques décennies, dans un film intitulé «Les dieux sont tombés sur la tête», un indigène en pleine brousse africaine, voyait tomber à ses pieds une bouteille de ‘coca-cola’, en même temps qu’un avion s’éloignait dans le ciel vers l’horizon. Et tout le film montre notre héros à essayer de comprendre le signe que les dieux du ciel lui avaient envoyé. Tout en restant dans l’ignorance que des bouteilles comme celle-là, envahissaient le monde entier, par milliards, comme d’autres Pepsy, MacDo, Microsoft, Whisky, séries américaines, et tout cela en langue anglaise. Depuis la ‘Perestroïka’ de Mikhaïl Gorbatchev et du démantèlement du bloc soviétique, le monde appartenait à l’Amérique triomphante. Mais depuis une dizaine d’années, de nouvelles entités: les BRICS, émergent à vue d’œil, du fin fond de l’âge de la pierre, selon ce que veulent nous faire croire les mauvaises langues occidentales, mais détrompons-nous, ne nous y laissons pas piéger. Prenons par exemple l’Inde et la Chine: à toutes les deux, leur population équivaut à 240 fois celle du Portugal, et elles ont dominé le monde depuis bien avant l’avènement chrétien. 500 ans avant notre ère, le Bouddha en Inde ainsi que Lao-Tseu et Confucius en Chine, ont crée le processus identitaire de deux grandes civilisations et de deux grands ateliers du monde. Il y a 2000 ans, la Chine maîtrisait déjà la fabrication et la cuisson de la porcelaine, alors que 15 siècles plus tard, les européens mangeaient encore dans des écuelles en terre cuite. Idem pour la métallurgie et notamment l’industrie du fer (500 ans av. JC.); les explosifs, le papier, les techniques agricoles de masse, la joaillerie, les arts et l’artisanat en général, mais surtout l’exploitation de la soie. Dans tout cela, comptez de 500 à 1.000 ans d’avance par rapport à l’Europe. On peut comprendre mieux en sachant que la Mésopotamie (une grande partie de l’Iraq actuel) a été, 5.000 ans avant JC le berceau de toutes les civilisations, avec son organisation sociale en villages d’agriculteurs, des techniques agricoles par systèmes d’irrigation, les arts et surtout l’invention et le développement de l’écriture, qui se sont propagées vers l’Egypte, la vallée de l’Indus et la Chine. L’Inde était, à l’époque de la Renaissance en Europe, le principal moteur de l’économie mondial, constituée, en plus de l’Inde actuel, du Pakistan d’un côté, du Bangladesh de l’autre, ainsi que d’une partie de l’Afghanistan, et forte de 150 millions d’habitants. Ses techniques dans le travail de la soie, de l’orfèvrerie, du sertissage, des émaux, du cuir pour la cavalerie, étaient à l’apogée. Ses fondeurs en bronze, cuivre et fer étaient réputés et respectés dans toute l’Asie. Quand Vasco da Gama, et plus tard Pedro Alvares Cabral, suivis d’autres ‘grands’ européens arrivèrent en Inde, ils se sont sentit comme des enfants éblouis dans une boutique de bonbons, tellement s’étalait la finesse, la beauté et la richesse des choses et des marchandises. Eux qui y sont arrivés avec des peaux et autres babioles pour faire du troc, s’entendaient répondre à peu près ceci: «Qu’est-ce que vous voulez qu’on en foute de ça!?... Rapporteznous plutôt de l’or, de l’argent et des pierres précieuses et nous vous en fabriquerons de belles choses». Et c’est ce que les européens ont fait: un tiers de ces métaux nobles et pierreries volées aux civilisations d’Amérique du Sud, ou arrachées par l’esclavage dans les mines du haut Sénégal, en Côte d’Or, au Zimbabwe, c’est-à-dire par centaines de tonnes, sont reparties en Inde et en Chine pour payer des épices exotiques, et habiller ces messires et nobles dames des cours européennes, bien pauvres et démodés par rapport à l’Asie. Hélas!... Au début du 18ème siècle, l’arrivée en force des ‘compagnies’ européennes, surtout anglaises, bien décidées à mettre la patte sur ces richesses et savoir faire, ont fait basculer cet ensemble millénaire, dans la plantation forcée d’opium, de coton et dans la ruine, jusqu’à ce que le grand Gandhi arrive. C’est encore à partir de ce siècle, soit disant des ‘Lumières’ et du début de l’industrialisation, l’Europe armée et instruite de tous les savoirs, grappillés aux quatre coins du monde, depuis la Renaissance, que ce soit an Asie pour l’évolution technologique; en Afrique pour la richesse du sol, du sous-sol et de ses esclaves, ainsi qu’en Amérique du Sud pour ses trésors et ses mines, repartit donc, à la conquête de la planète. Mais depuis deux décennies, notre monde a complètement chamboulé de nouveau, dans un espace temps très court: la fin de l’‘apartheid’ en Afrique du Sud; les réformes de Deng Xiaoping en Chine et de Manmohan Singh en Inde; Poutine en Russie, avec ses atouts énergétiques (et ses mafias); le dynamisme de Lula et de l’agro-alimentaire brésilien; d’un autre côté, les leçons d’humilité?... de l’Amérique au Vietnam, en Iraq, en Afghanistan, ont remis en mouvement une réinitialisation de la place de l’Asie dans le monde. Aujourd’hui ce sont eux qui ont l’argent et le pouvoir de venir faire des emplettes en Europe. Selon une étude du Pew Research Center en 2011: 87% des chinois ont confiance dans l’avenir, comme 50% des brésiliens, contre seulement 30% des américains et… 26% des français. Sans commentaire. Il nous reste, bien entendu, certaines valeurs dont nous pouvons, pour un certain temps encore, en retirer quelque fierté: la pratique de la démocratie, et la mise à disposition de chacun, des savoirs nécessaires pour faire évoluer son projet d’expression et réalisation personnelle. Mais l’Asie aussi, nous a transmit, et surtout aujourd’hui, des formes de spiritualité haut de gamme, basées sur le détachement du matérialisme maladif; la recherche de l’harmonie de nos propres énergies; l’appropriation personnelle d’une transcendance non dogmatique, etc. Il y a une légende en Inde qui raconte qu’Alexandre le Grand, y est allé à la recherche d’un sage très connu. L’ayant trouvé dans un recoin de montagne, il lui dit: «Mon ami, je suis un grand roi, que puis-je faire pour toi?» et le vieux sage de lui répondre: «Tu me caches la lumière du Soleil, écarte-toi un peu, c’est tout ce que je te demande». C’est un peu cela la spiritualité en Inde. Aujourd’hui, heureusement, de plus en plus d’historiens se soucient d’éclairer d’un regard nouveau, l’Histoire humaine, replacée dans ses contextes géographiques et temporels et relue sur place, au lieu de celle, apprise dans notre enfance, qui nous expliquait que l’Europe était le centre du monde, et qu’autour ne régnait que l’obscurité, l’ignorance et la misère. Cela ne veut nullement dire que tout était, ou est parfait, dans les autres continents, mais, qui peut admettre actuellement, que le notre est ou a été un phare d’exemplarité? En tout cas, il n’est jamais trop tard, pour tous ceux qui veulent garder les yeux et l’esprit ouverts, de s’habituer à une relecture plus contemporaine de l’Histoire des peuples, et de constater par là même, que nous, européens, avons bien plus reçu que donné. Sources: Réseau Asie £ Pacific Bilateral reuniu Comissão mista sobre ensino Reuniram na segunda-feira desta semana, já depois do fecho desta edição do LusoJornal, delegações do Ministérios da Educação de França e de Portugal. Antes da reunião, o Secretário de Estado das Comunidades, José Cesário disse que “nos últimos anos, houve um desequilíbrio muito grande. Portugal assegura aulas a 230 mil alunos de francês no secundário, enquanto que França tem a seu cargo apenas 35 mil de português. É nossa intenção que haja maior investimento por parte do Governo francês nesta área”, afirmou. José Cesário lembrou que “o português é hoje uma língua de trabalho em diversos pontos do mundo” e considerou que “o Governo entende que o ensino da língua portuguesa também interessa a França”. “Sabemos que não é a melhor altura para discutir esta questão porque todos os Estados estão a passar dificuldades e estão a implementar medidas de redução da despesa, mas isto estará em cima da mesa”, até porque, acrescentou, “a resposta de Portugal ao nível do ensino básico é muito significativa, mesmo depois dos cortes na rede de professores, e é preciso que esses alunos tenham oportunidade de continuar a aprender a língua”. Ao abrigo deste acordo bilateral de cooperação, o Governo português assegura o ensino do português em França durante os anos do básico e o Governo francês durante o secundário. LusoJornal. Le seul hebdomadaire franco-portugais d’information | Édité par: CCIFP Editions SAS, une société d’édition de la Chambre de commerce et d’industrie franco-portugaise. N°siret: 52538833600014 | Represéntée par: Carlos Vinhas Pereira | Directeur: Carlos Pereira | Collaboration: Alfredo Cadete (desporto), António Marrucho, Aurélio Pinto, Carlos dos Reis, Clara Teixeira, Cristina Branco, Dominique Stoenesco, Duarte Pereira (ciclismo), Elodie de Barros, Fátima Sampaio (Reims), Flávia Rocha, Henri de Carvalho, Inês Vaz (Nantes), Joana Valente (Alpes), Joaquim Pereira, Jorge Campos (Lyon), José Paiva (Orléans), Julien Milhavet, Liliana Araújo, Luis Horta, Manuel Martins, Mélanie Pereira, Manuel do Nascimento, Maria Fernanda Pinto, Maria João Gonçalves Pozzetti, Natércia Gonçalves (Clermont-Ferrand), Nathalie de Oliveira, Norberto Guerreiro, Nuno Gomes Garcia, Padre Carlos Caetano, Sheila Ferreira (Clermont-Ferrand), Valérie Jan | Chroniqueurs: Aurélio Pinto, Carlos dos Reis, Carlos Gonçalves, Carlos Vinhas Pereira, Daniel Ribeiro, Henri de Carvalho, José Paiva, Manuel de Sousa Fonseca, Nathalie Oliveira, Padre Nuno Aurélio, Paulo Dentinho, Paulo Pisco | Les auteurs d’articles d’opinion prennent la responsabilité de leurs écrits | Agence de presse: Lusa | Photos: Alfredo Lima, António Borga, Mário Cantarinha | Design graphique: Jorge Vilela Design | Impression: Corelio Printing (Belgique) | LusoJornal. 63 rue de Boulainvilliers. 75016 Paris. 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A maior queda registou-se nas remessas enviadas pelos Portugueses de França, que mandaram menos 33,2 milhões de euros. No entanto, com 790.509 milhões de euros enviados no período em análise, a França continua a ser o país de onde é enviado mais dinheiro para Portugal. A Espanha registou a segunda maior queda, 20,8 milhões de euros, tendo sido enviados deste país 78.976 milhões de euros. Segue-se o Luxemburgo, com menos 18,2 milhões enviados e um valor global de remes- sas na ordem dos 57.425 milhões de euros. Alemanha (menos 9,2 milhões), Canadá (menos 7,1 milhões), Venezuela (7,1 milhões), Brasil (2,2 milhões) e Estados Unidos (menos 831 mil euros) são países que registaram igualmente quebras no envio de dinheiro para Portugal. A Suíça foi o país que mais viu crescer as remessas de divisas para Portugal, mais 54,7 milhões para um total de 565.607 milhões de euros. Os Portugueses do Reino Unido enviaram mais 10,3 milhões de euros, atingindo os 97.010 milhões de euros, e as remessas da rubrica “Resto do Mundo” cresceram 4,3 milhões para 181.693 milhões de euros. Novos emigrantes não compensam a descida A quebra das remessas enviadas por emigrantes portugueses em França deve ser cruzada com o facto que cada vez chegam mais Portugueses a este país. Os emigrantes que chegam agora, trazem, em geral, dívidas em Portugal, que têm de pagar e as diferentes instituições bancárias contac- tadas pelo LusoJornal têm confirmado que as práticas dos “novos emigrantes” são efetivamente de fazerem transferências de fundos para as contas bancárias que têm em Portugal. Se há gente a enviar dinheiro para Portugal, e mesmo assim há uma baixa no envio, quer dizer que a emigração “mais instalada” manda efetivamente menos fundos para Portugal. A prova está que, na Suíça, com uma emigração bem mais recente (e crescente), as remessas continuam a subir. Por outro lado, os dados agora divulgados correspondem aos primeiros onze meses do ano 2011. O pedido de ajuda de Portugal às instituições financeiras internacionais já ocorreu no meio do ano, mas a instabilidade política, essa, já vem de mais longe. Provavelmente a diminuição ainda vai ser maior em 2012, porque os emigrantes gostam de estabilidade e não das turbulências atuais. Portugal não sabe atrair remessas Carlos Vinhas Pereira, o Presidente da Câmara de Comércio e Indústria Franco-Portuguesa (CCIFP), economista de formação, disse ao LusoJornal que “compreende” esta descida das remessas dos emigrantes. “Temos de ver que a França, mesmo se está numa situação melhor do que Portugal, também foi muito afetada por esta crise financeira mundial e por isso, não é de estranhar que os Portugueses que aqui residem, sigam a tendência geral de poupar mais, e de guardar as suas poupanças próximo deles” explicou Carlos Vinhas Pereira. “Esta é uma medida de precaução perfeitamente compreensível”. Mas o Presidente da CCIFP tem outra explicação: “Portugal não soube criar nenhum incentivo para atrair os depósitos dos Portugueses que estão no estrangeiro”. Segundo Carlos Vinhas Pereira, que também é professor de economia na Universidade de Paris Dauphine, “os Portugueses também têm alguma cultura financeira e se não têm eles, têm os filhos. Por isso sabem bem se há rendimento em colocar o dinheiro em Portugal ou não. E o certo é que atualmente não há qualquer incentivo”. Por isso não se mostrou admirado com esta descida. “Portugal tem todo o interesse em criar produtos financeiros para que os emigrantes ponham o dinheiro em Portugal, retribuindo os depósitos de quem mora fora, de forma consequente. Vale mais isso do que ir buscar dinheiro ao mercado, a preços bem mais altos”. “O comportamento dos emigrantes face à colocação dos fundos é o mesmo que os outros atores económicos, ou seja, eles colocam os fundos onde é mais interessante e penso que hoje Portugal não sabe atrair estes fundos” diz Carlos Vinhas Pereira. “O famoso rácio risco/rentabilidade está contra nós, mas como pode ver no rácio basta aumentar a rentabilidade para suscitar procura. Infelizmente não se pode influenciar a vertente risco porque ainda é muito cedo para poder verificar uma baixa do risco” explicou ao LusoJornal. em síntese 45.000 portugueses órfãos na área consular de nantes Por Inês Vaz Na sexta-feira, dia 13 de janeiro, encerrou, como previsto, o Vice-Consulado de Portugal em Nantes. Os membros da Comunidade portuguesa presentes esperaram pelas 15h30, hora em que se ouviu a fechadura fechar definitivamente a porta, e depois foi colocado simbolicamente um ramo de flores para mostrar que a partir desse dia os Portugueses estarão em luto. O Vice-Consulado de Nantes era um dos mais antigos e cobria a superfície de 8 departamentos (22, 29, 35, 44, 49, 56, 79 e 85). Portanto a partir de agora os habitantes das cidades de Saint Brieuc, Quimper, Rennes, Nantes, Angers, Vannes, Niort, La Roche-sur-Yon, etc... deverão ir até Paris para tratar dos documentos portugueses. PUB lusojornal.com Comunidade 04 le 25 janvier 2012 Carta foi entregue ao Embaixador Seixas da Costa em síntese sTCDe reclama a extensão da assistência na doença O Sindicato dos Trabalhadores Consulares (STCDE) que representa os trabalhadores dos serviços externos do Ministério dos Negócios Estrangeiros, escreveu na semana passada ao Ministro da Finanças e ao Ministro dos Negócios Estrangeiros reclamando a extensão da assistência na doença concedida à carreira diplomática, através da Portaria conjunta nº 305/2011, de 20 dezembro, que institui um seguro de saúde. Este diploma, mandado publicar pelos dois Ministros em dezembro passado, visa “salvaguardar as situações em que o funcionário diplomático e o seu agregado familiar, por força do exercício de funções daquele fora do Espaço Económico Europeu, carecem de recorrer a redes privadas de cuidados de saúde, em países em que é demasiado oneroso suportar os custos dessa rede”. Entende o Sindicato que exercem funções nos serviços externos do MNE, “para além dos funcionários diplomáticos, trabalhadores que se encontram abrangidos pelo âmbito estatutário aprovado pelo DL nº444/99 de 3 de novembro, os quais exercem a sua atividade, precisamente, nas mesmas condições que os referenciados funcionários diplomáticos, nomeadamente, considerando os países abrangidos por aquela norma legislativa, enfrentando os mesmos condicionalismos e as mesmas dificuldades de acesso aos cuidados de saúde de que carecem e que, por Imperativo de Justiça, necessitam de ver analogamente salvaguardados”. Assim, o STCDE requereu “célere informação sobre se é intenção do Governo fazer estender os efeitos jurídicos decorrente da Portaria nº 305/2011 aos Trabalhadores abrangidos pelo EPSEMNE e, sendo essa a intenção legislativa, para quando se prevê a produção de efeitos daquela eventual extensão”. Neste contexto, o STCDE invoca “o Princípio da Igualdade consagrado no artigo 13º da Constituição da República Portuguesa, bem como o Direito à Proteção da Saúde plasmado no artigo 64º da mesma Constituição”. PUB Comissão de Defesa dos Direitos dos portugueses em França escreve carta a Cavaco silva A Comissão de Defesa dos Direitos dos Portugueses em França (CDDPF), criada pela Comunidade em resposta aos cortes anunciados pelo Governo no Ensino do Português no Estrangeiro e na rede consular, escreveu uma carta a Cavaco Silva. A carta foi entregue na semana passada ao Embaixador de Portugal em França, Francisco Seixas da Costa. O LusoJornal transcreve na íntegra a carta: Exmo. Senhor Presidente, da República Portuguesa, Aníbal Cavaco Silva, A Comissão de Defesa dos Direitos dos Portugueses em França vem respeitosamente alertar e solicitar a intervenção do Senhor Presidente sobre a situação incompreensível e injusta como estão a ser tratados os cidadãos Portugueses em França e na Europa. A comissão não desconhece a situação económica difícil na qual se encontra Portugal atualmente. Os Portugueses residentes no estrangeiro são cidadãos responsáveis e solidários que estão disponíveis a prestar o apoio necessário para ajudar o país a sair da situação inconfortável na qual se encontra. Lembramos que estes enviam anualmente remessas no valor de 2 mil milhões de euros, quantia que merece consideração para um país tão endividado como é Portugal neste momento! Nas diferentes intervenções e mensagens, o Senhor Presidente, sempre deu o seu apoio às Comunidades portuguesas do estrangeiro alertando os diferentes Governos para o potencial que elas representam. Os Portugueses no estrangeiro são os melhores embaixadores de Portugal. Eles são os vetores indispensáveis nas exportações dos produtos portugueses, mas também grandes investidores em Portugal. São portanto uma mais valia para a economia portuguesa e os melhores parceiros comerciais. Em suma, eles são a ajuda de que tanto precisa Portugal nesta altura para sair da situação de quase falência a que chegou. Por todas estas razões, Senhor Presidente, é incompreensível o desprezo como estão a ser tratados os Portugueses no estrangeiro pelo Governo atual que decidiu perentoriamente e sem concertação, fechar Embaixadas, Consulados e suprimir 49 postos de professores de ensino de português língua estrangeira, pondo fim ao contrato destes professores a 31 de dezembro de 2011 – os professores foram avisados do fim dos contratos 15 dias antes! Fabulosa prenda de Natal que deixou estes professores em situação precária, sem mencionar a ilegalidade jurídica Parcídio Peixoto, Lurdes Rodrigues e José Martins com o Embaixador LusoJornal / Susana Alexandre deste tipo de decisões. Estas medidas, Senhor Presidente, são chocantes e escandalosas e deixam em França por exemplo, mais de 2.600 alunos sem aulas em janeiro 2012. Os alunos começaram as aulas em setembro e não chegam a acabar o ano escolar! É uma situação injusta e aberrante. A Comissão relembra ao Senhor Presidente que é um dever constitucional assegurar o ensino da língua portuguesa aos Portugueses e filhos de Portugueses no estrangeiro. Que imagem vão ter estas crianças de um país de que eles tanto gostam e que querem aprender a sua língua e a sua cultura e que os abandona a meio do caminho? A língua portuguesa é a pátria dos Portugueses que residem no estrangeiro. Tirar-lhes a língua é retirar-lhes a identidade. A língua é o laço emotivo que os liga a Portugal. Sem esse elo, eles vão acabar por virar as costas a Portugal. Será essa a vontade do Governo atual? Que imagem dá o nosso país às instituições e parceiros locais com estes procedimentos? O Senhor Secretário das Comunidades, o Senhor Dr. José Cesário alega que é meramente por razões económicas que estas medidas foram tomadas mas acabou por confessar nas redes sociais que cada vez acredita menos no ensino público. Que o ensino da língua devia ser atributo das associações ou das paróquias. É um retrocesso aos anos sessenta, setenta! A língua portuguesa só adquirirá o estatuto de língua internacional se for lecionada nas escolas e universidades. Mas na realidade, trata-se antes de tudo de uma privatização do ensino. Estas medidas foram tomadas, Senhor Presidente, não por razões económicas mas ideológicas. Quanto ao encerramento dos ViceConsulados e das Embaixadas, é outra decisão incompreensível. Se Comissão de Defesa dos Direitos dos portugueses em França Álvaro Pimenta, Conselheiro das Comunidades, Bordeaux António Fonseca, Vice-Presidente do CP-CCP, Paris António Oliveira, Secretário da ADEPBA, Paris João Barbosa, Presidente da Associação Católica, Roubaix João Veloso, Presidente da associação Camponeses Minhotos, Clermont-Ferrand José Cardina, Presidente da CCPF, Paris José Justo Martins, Empresário, Paris Nathalie de Oliveira, Conselheira municipal, Metz Manuel Ferreira, Presidente de CAP OUEST, Nantes Maria de Lurdes Rodrigues, membro do STCDE, Hauts-de-Seine Parcídio Cunha Peixoto, Conselheiro das Comunidades Portuguesas, Yvelines Susana Alexandre, Artista Plástica, Paris as razões destas extinções são económicas, seria útil fazer um levantamento do que representam estas estruturas públicas em despesas e benefícios. Vários estudos apontam os Vice-Consulados como sendo beneficitários. De resto a função de um serviço público é de prestar antes de tudo um serviço em benefício dos cidadãos e não de ser lucrativo. Milhares de portugueses serão obrigados doravante a se deslocarem duzentos, trezentos e quatrocentos quilómetros. Frequentemente são os mais idosos, os reformados que são obrigados a se deslocarem, serão estes, os recém chegados e vindouros os mais penalizados, pois os Portugueses de segunda e terceira geração tendo também a nacionalidade francesa, simplesmente desistirão da portuguesa. Será essa a consideração que tem Portugal por essas pessoas que tanto se sacrificaram para enviar divisas durante largos anos? Também devido à situação atual e empurrados pelo Governo, milhares e milhares de Portugueses estão a deixar Portugal e a partir para o estrangeiro. Como é possível apelar os Portugueses a partir e ao mesmo tempo suprimir as estruturas de acolhimento e apoio no estrangeiro?! Sem esquecer, além disso, o trabalho desenvolvido pelos funcionários nas Embaixadas e Consulados. Com encerramentos feitos de forma “cega”, Portugal vai perder muito mais do que vai beneficiar. Os funcionários além de prestar os serviços correntes são também os Embaixadores junto das Comunidades onde residem promovendo eventos culturais, a língua, produtos e empresas portuguesas e incentivando e facilitando o investimento em Portugal. Para concluir, Senhor Presidente, A situação é grave e dramática para os milhões de Portugueses residentes no estrangeiro. O desprezo com o qual são tratados pelo Governo atual é escandaloso e inadmissível. Todas as medidas tomadas são irresponsáveis e chocantes. É por todas estas razões que a Comissão de defesa dos direitos dos Portugueses em França faz apelo ao Senhor Presidente da República para intervir junto do Governo atual afim que este reconsidere a situação. Nós, cidadãos portugueses, preocupados com a situação no estrangeiro e em Portugal, ficamos portanto a aguardar uma intervenção positiva do Senhor Presidente da República que é constitucionalmente o grande defensor dos direitos dos Portugueses. Queira receber, Senhor Presidente da República, os nossos cumprimentos cívicos e a nossa mais elevada consideração. Comunidade le 25 janvier 2012 05 Com vista a uma futura geminação Delegação de Fafe desloca-se a sens No próximo fim de semana, entre os dias 27 e 29 de janeiro, uma delegação de Fafe vai deslocar-se a Sens, a convite do Maire daquela cidade francesa, Daniel Paris, estabelecendo as primeiras bases para uma futura geminação entre as duas cidades. A delegação de Fafe vai ser chefiada pelo Presidente da Câmara Municipal, José Ribeiro e integra várias personalidades locais, dirigentes associativos e empresários. A comitiva vai chegar ao aeroporto de Orly no dia 27 e depois segue para Sens onde vai ser acolhida por Daniel Paris e por Marie-Paule Chappuit, Adjunta com o pelouro das relações internacionais. A ideia de geminar Sens com Fafe é antiga. Já houve visitas de ambas as partes, mas as mudanças de autarcas fizeram com que os contactos tivessem sido perdidos. Recentemente, aquando da visita do Cônsul Geral de Portugal em Paris a Sens, o Maire Daniel Paris pediu a ajuda de Luís Ferraz para voltar a restabelecer contactos com a municipalidade portuguesa. “Temos uma forte Comunidade portuguesa na cidade, temos mesmo uma Conselheira municipal de nacionalidade portuguesa e queremos criar uma relação mais estreita com uma cidade portuguesa” disse na altura o Maire Daniel Paris, ao LusoJornal. Luís Ferraz estabeleceu de imediato o contacto e a oportunidade para um primeiro encontro surgiu quando José Ribeiro, o Presidente de Câmara Municipal de Fafe, veio a Paris para a apresentação do livro de Daniel Bastos no Consulado Geral de Paris. Na altura, Marie-Paule Chappuit deslocou se a Paris para encontrar José Ribeiro e veio acompanhada pela Conselheira municipal Manuela Godinho e pelo Presidente da associação portuguesa M. Leiras. “Foi um encontro muito positivo e está lançada a pedra para uma geminação” disse ao LusoJornal Manuela Godinho. Durante a estadia em Franca, a comitiva portuguesa vai visitar Sens, vai encontrar-se com algumas das estruturas da cidade e está marcada uma reunião bilateral onde devem ser definidos os eixos principais da geminação. Só nessa altura vai ser estabelecido um programa para a assinatura efetiva da geminação. Composição da Comitiva de Fafe José Ribeiro, Presidente da Câmara Municipal Victor Moreira, Vereador do Turismo e Atividades Económicas Hernâni Costa, Presidente da Associação Empresarial de Fafe Laurentino Ferreira, Secretário-Geral da Associação Empresarial Pompeu, Pintor Manuel Joaquim Lima, Empresário Vitivinícola Jorge Ramos Freitas, Empresário Metalúrgico Carlos Mendes, Empresário de Alumínios Ricardo Gonçalves, Empresário Turístico e Diretor da Naturfafe Humberto Filipe Teixeira, Técnico da ADRAVE (Agência de Desenvolvimento Regional do Vale do Ave) Vai ser recebido com uma manifestação em Clermont-Ferrand José Cesário em lyon e em Clermont-Ferrand O Secretário de Estado das Comunidades inicia esta quarta-feira uma viagem de dois dias a Clermont-Ferrand e Lyon, em França, seguindo depois para Düsseldorf, na Alemanha, para discutir a rede de Permanências consulares e o ensino do português. José Cesário disse à agência Lusa que em Clermont-Ferrand, uma das três cidades de França que perderam o Vice-Consulado, vai encontrar-se com representantes dos Portugueses ali emigrados, dirigentes associativos e Conselheiros das comunidades, para “ouvi-los acerca do mapa de futuras Permanências consulares e acerca da possibilidade de criação de um Consulado honorário na cidade”. O Porta-voz do Coletivo de dez associações de Portugueses em França que têm contestado o encerramento do Vice-Consulado em Clermont-Ferrand, João Veloso, disse à Lusa que os Portugueses convocaram uma manifestação para a hora de chegada do Secretário de Estado. “Vamos reunir-nos com José Cesário depois de almoço, no edifício do an- PUB tigo Consulado. A Comunidade decidiu manifestar-se à porta”, afirmou, garantindo que vai tratar-se de uma manifestação “simbólica, calma e cívica”. O objetivo é, explicou, “mostrar o descontentamento da Comunidade e tentar preservar o Vice-Consulado”: “À primeira vista discordamos da solução do Consulado honorário. Se não houver mesmo outra possibilidade, queremos, pelo menos, poder escolher o Cônsul”, acrescentou. Questionado sobre se o nome já sugerido pelo Embaixador de Portugal em França, Francisco Seixas da Costa, para Cônsul honorário estaria entre as questões a discutir nesta reunião, o Secretário de Estado respondeu que não. José Cesário vai encontrar-se em Lyon com o Conselheiro das Comunidades, José da Rocha. Desde o dia 13 de janeiro que os residentes em Clermont-Ferrand passaram a ter que recorrer ao Consulado-geral em Lyon, a 200 quilómetros, os de Nantes e de Lille a dirigir-se a Paris, a 400 e 200 quilómetros, respetivamente. PUB em síntese grupo de apoio ao CCp em Bordeaux No passado dia 14 de janeiro, reuniuse no Consulado Geral de Portugal em Bordeaux, a estrutura de apoio ao Conselheiro das Comunidades Portuguesas da região Consular de Bordeaux, onde foram reeleitos os quadros diretivos. O CCP é o órgão consultivo do Governo para as políticas relativas à emigração e às Comunidades portuguesas e representativo das organizações não governamentais de portugueses no estrangeiro. O Conselheiro das Comunidades eleito por Bordeaux é Álvaro Pimenta, que criou um grupo de apoio. Estiveram presentes neste evento Álvaro Pimenta da Associação FrancoPortuguesa de Leognan, João dos Santos da associação O Sol de Portugal, José Rodrigues da associação Alegria Portuguesa da Gironde, Valdemar Félix da associação Codif, José Gardão da Associação Teatro Franco Português, Vitor Mineiro do Grupo Folclórico Alto Minho, Carlos Gonçalves do Grupo Folclórico Amigos de Portugal, Bernardino Ferreira da Associação Franco Portuguesa de Biscarosse, assim como Vicente Carvalho, representante do Banco BPI. o institut Français du portugal recruta O Institut Français du Portugal recruta um adido/a audiovisual responsável pelo Festival do Cinema Francês, pelos ciclos de cinema e pelo apoio às indústrias musicais francesas. Os candidatos deverão ter nacionalidade portuguesa ou francesa e falar fluentemente ambas as línguas. O posto deverá ser ocupado a partir do dia 1 de setembro de 2012. Existe a possibilidade de um início antecipado e de um acompanhamento pela atual responsável que poderá ter início em julho. As candidaturas, curriculum vitae e carta de motivação, redigidos em português ou francês, deverão ser enviadas até ao dia 29 de fevereiro para [email protected]. Leia online www.lusojornal.com lusojornal.com Comunidade 06 le 25 janvier 2012 José da Silva Fonseca é escultor em Lyon português restaura estátuas da igreja de Feyzin em síntese Por Jorge campos les vœux de l’association d’oloron Le 15 janvier dernier, l’Association France Portugal Europe d’Oloron Sainte Marie (64) fêtait l’épiphanie et c’est autour du partage de la galette accompagné de cidre, de café, jus d’orange et chocolat, que plus de 120 personnes s’étaient rassemblées pour les vœux de l’association, salle du Bel Automne, mise à disposition gracieusement par la Mairie. France Portugal avait invité l’association «Galaxy», qui sera conviée au Portugal cet été pour présenter son spectacle dans le cadre d’un échange avec un groupe folklorique de Pedreiras, Porto de Mós. Elsa Godfrin, Présidente de France Portugal, dans ses vœux à la presse et au public, a détaillé quelques actions qu’elle met en place actuellement pour célébrer le 25ème anniversaire de la création de l’association. Parmi les activités plus proches: la préparation d’une grande exposition sur les «Parcs et les jardins fleuris au Portugal». Le Maire d’Oloron s’étant excusé, la Présidente a remercié toutes les personnalités présentes: Pierre Bœuf, ancien Adjoint à la culture à la Mairie d’Oloron et membre du Conseil d’Administration de l’association, Anne Marie Mouchet, Consule honoraire du Portugal à Pau, Hervé Lucbereilh, Conseiller général, plusieurs élus du Conseil municipal et autres responsables associatifs impliqués dans la vie associative de la cité. Números que falam José da Silva Fonseca nasceu na Covilhã, em Portugal, no ano de 1962. Estávamos no início da grande vaga de emigração que traria milhares de Portugueses para terras de França. Os seus pais participaram nesse êxodo e foi na província francesa, na região da cidade de Nîmes, que encontraram trabalho e se fixaram. O jovem José, com apenas dois anos de idade, cresceu, escolarizou-se e bebeu na cultura francesa. Ainda muito jovem, nele despertou o talento de desenhador. O seu interesse para o desenho foi descoberto pelos professores que o orientaram para a Escola de Belas Artes de Nîmes. “Gostei muito de ir para lá, mas como nessa escola os alunos eram mais velhos do que eu, porque eu só tinha doze anos, houve problemas e não conseguimos coabitar. Geraramse conflitos e acabei por sair”, esclarece José Fonseca. “Acabei a minha escolaridade completando o Bac, e foi mais tarde, em Paris, na Escola de Belas Artes, que durante dois anos eu aprendi a escultura. Depois vim para Lyon onde completei o meu curso e hoje sou professor nessa mesma escola, onde tenho dois grupos de vinte alunos” disse ao LusoJornal. José Fonseca esteve dois anos nos Estados Unidos, em Nova Iorque, onde trabalhou no restauro e criação de obras de arte sobretudo a nível da escultura. “Circunstâncias da vida forçaram-me a regressar para a Europa, pois a minha esposa faleceu e tive que me ocupar dos meus filhos” explica ao LusoJornal. “Uma nova aposta para mim, pois tinha que trabalhar, não só no ensino, mas também a materializar as minhas obras”. O trabalho de José Fonseca não é apenas ensinar. “Eu senti a necessidade de criar também na pedra, no gesso e no barro, as minhas ideias e o fruto da minha imaginação” argumenta. Estabelece-se em Lyon, precisamente em Caluire onde ainda hoje José da Silva Fonseca com as suas estátuas LusoJornal / Jorge Campos tem o seu atelier. A Escola de Belas Artes de Lyon acolhe-o como professor, mas o seu talento e o seu renome, faz com que seja muito solicitado em toda a região e até em toda a França. “Em França existe um grande ‘chantier’ de restauro, para recompor orelhas, narizes, cabeças e asas, nos edifícios religiosos, e outros” explica o professor de escultura. “Foi durante muito tempo e será certamente a minha ocupação. Esta é uma paixão que nasceu nos meus anos de juventude”. Depois de terminar o curso, José Fonseca foi com o pai, hoje falecido, a Portugal para propor os seus serviços. “Gostaria de fazer isto em Portugal, mas nunca fui solicitado. Lá também há muito trabalho deste tipo para fazer”. José Fonseca mostrou ao LusoJornal a obra que está a realizar. É uma estátua que representa a dormição de Nossa Senhora em companhia do Anjo Gabriel. “A outra estátua, que está só ainda no papel, será Jesus que acolhe a sua mãe Maria nos braços. Serão duas obras com mais de dois metros de altura, com uma base de um metro quadrado, e depois de finalizadas, certamente antes do verão de 2012, serão expostas nos torrões da igreja paroquial de Feyzin, que também se encontra hoje em trabalhos de restauro” explica. A Mairie, a Diocese de Lyon e a Paróquia de Feyzin são as instituições que encomendaram estas duas estátuas a José Fonseca, após responder a um pedido de orçamento, e depois de ter apresentando réplicas destas estátuas feitas a 1/3 da sua reali- Question juridique le temps nécessaire aux opérations d’habillage et de déshabillage donne-t-il droit à contreparties? 230 Portugal ensina cerca de 230 mil alunos a falar francês, nas escolas secundárias do país. PUB dade final. “Ganhei o concurso e aqui estou, muito feliz de praticar a minha arte de escultor e também orgulhoso de representar um pouco, no quadro das belas artes, a Comunidade portuguesa com estas minhas criações” declarou ao LusoJornal José da Silva Fonseca. O escultor trabalha no seu local, junto da Igreja de Feyzin, todos os dias da semana, alternando manhãs e tardes. O som característico do martelo batendo no cinzel vai ritmando o avançar da sua obra. A primeira escultura toma forma, junto do modelo de gesso. A pedra calcária foi a matéria escolhida pela sua pouca dureza, e assim se tornar mais fácil de trabalhar. Estaremos atentos para aplaudir o resultado final, previsto para o verão de 2012. La réponse figure à l’article L.31213 du Code du travail qui pose le principe en ces termes: «le temps nécessaire aux opérations d’habillage et de déshabillage fait l’objet de contreparties». Ces contreparties, ajoute le texte, sont accordées soit sous forme de repos, soit sous forme financière, lorsque le port d’une tenue de travail est imposé par des dispositions légales, par des stipulations conventionnelles, par le règlement intérieur ou le contrat de travail et que l’habillage et le déshabillage doivent être réalisés dans l’entreprise ou sur le lieu de travail. Un dispositif a priori clair et précis mais dont la lecture juridique a nécessité une réelle interprétation soumise à l’arbitrage de la chambre sociale de la Cour de cassation fixant en 2005 que le caractère obligatoire du port d’une tenue de travail impliquait nécessairement que le temps d’habillage et de déshabillage ait lieu au sein de l’entreprise ou sur le lieu du travail. Il donnait donc droit à une contrepartie à cette seule condition même si le salarié revêtait et ôtait son uniforme en dehors de son lieu de travail. Trois ans plus tard, par un arrêt du 26 mars 2008, la Cour de cassation opérait un revirement considérant José Coelho Avocat [email protected] que le port obligatoire d’une tenue de travail n’imposait pas que l’habillage et le déshabillage aient lieu dans l’entreprise ou sur le lieu de travail. Elle en déduisait que l’employeur ne devait allouer une contrepartie que si les deux conditions prescrites par le texte étaient réunies à savoir le port d’une tenue de travail obligatoire et l’habillage et le déshabillage imposés sur le lieu de travail. Ce que vient de confirmer la Cour de cassation réunie en Assemblée plénière le 18 novembre 2011 jugeant, sans aucune ambiguïté, que «selon l’article L.3121-3 du code du tra- vail, les contreparties au temps d’habillage et de déshabillage sont subordonnées à la réalisation cumulative des deux conditions qu’il édicte». Une solution pour l’heure acquise et peu susceptible de varier dans un proche avenir et dont il faut conclure que le port d’uniforme imposé dès l’arrivée sur le lieu de travail, ce qui implique au moins l’habillage au domicile, ne suffit pas pour exiger une contrepartie à l’employeur. Encore faut-il qu’obligation soit faite aux salariés de revêtir et d’enlever leur uniforme dans l’entreprise ou sur le lieu de travail. Comunidade le 25 janvier 2012 Chefe de Gabinete de Paulo Portas morreu João Teotónio pereira O Chefe de gabinete do Ministro dos Negócios Estrangeiros, João Teotónio Pereira, morreu na semana passada aos 51 anos, vítima de um ataque cardíaco. João Teotónio Pereira ingressou na carreira diplomática em 1988, tendo passado pelas missões de Portugal em Roma (Itália) e Belgrado. Foi adjunto diplomático do Ministério da Defesa, durante o consulado de Paulo Portas neste Ministério, nos Governos de Durão Barroso e Santana Lopes (2002-2005) tendo posteriormente sido nomeado Cônsul Geral de Portugal em Paris, onde permaneceu durante cinco anos. Regressou a Lisboa para ocupar o cargo de Subdiretor da Direção-Geral dos Assuntos Consulares e Comunidades Portuguesas. Cerca de um ano depois, com o novo Governo PSD/CDS-PP, assumiu funções como Chefe de Gabinete de Paulo Portas, agora como Ministro de Estado e dos Negócios Estrangeiros. “Já o tinha dito a amigos comuns: desde há meses, sentia o João cada vez mais cansado na voz, talvez stressado pelo ritmo intenso de um trabalho a que se dedicava com afinco e empenhamento” diz no seu blogue “Duas ou três coisas”, o Embaixador de Portugal em França, Francisco Seixas da Costa. “O João era um homem intenso, preocupado com tudo, diligente ao pormenor, de uma lealdade à prova de bala em relação ao seu e nosso Ministro”. Comentando a morte do ex-Cônsul de Portugal em Paris, Seixas da Costa escreve que “o João Teotónio Pereira era senhor de um sorriso saudável, num fácies ‘boyish’, de uma alegria natural que promovia a relação pessoal e abria, com facilidade, a porta à amizade. Éramos de gerações diferente, nunca trabalhámos juntos - saiu de Paris, onde foi Cônsul Geral, uma semana depois da minha chegada, o que só me deu tempo para lhe oferecer um breve almoço de despedida mas tivemos sempre um excelente relacionamento, marcado pelo respeito e pela amizade. Nunca esqueci gestos de solidariedade que teve para comigo, em tempos menos fáceis”. 07 Pelo jornalista Daniel Ribeiro expresso publica a vida de José sócrates em paris O jornalista Daniel Ribeiro, correspondente da Antena 1 e do jornal Expresso em Paris, publicou na semana passada, na revista do Expresso, um grande artigo sobre a vida do ex-Primeiro Ministro português em Paris. Segundo Daniel Ribeiro, José Sócrates “não quis falar ao Expresso durante a reportagem apesar dos convites insistentes”. Por isso fez uma “investigação à antiga”, recolhendo testemunhos de quem convive ou conhece o antigo Primeiro Ministro. “Participa em reuniões preparadas no maior segredo, almoça e janta discretamente com amigos em restaurantes inacessíveis ao comum dos mortais, entra na Universidade o mais anonimamente possível, foge dos jornalistas como o diabo da cruz mas, no chiquíssimo quarteirão de Paris onde mora, anda à vontade e sem grandes preocupações”. O texto conta que José Sócrates vive num apartamento em Paris 16, com um dos dois filhos, faz uma estimativa dos custos do mesmo, descreve o café onde costuma tomar o pequeno almoço e cita emigrantes que se cruzam com ele nesse mesmo café. Daniel Ribeiro diz que José Sócrates anda frequentemente por Saint Germain-des-Près, encontra regularmente o Embaixador Francisco Seixas da Costa, de quem é amigo, mas não é um “habitué” da sede do Partido socialista francês, na rue Solférino, contrariamente a Mário Soares. “Sócrates cultiva o segredo sobre o essencial da sua vida na capital francesa. Jamais responde a solicitações de jornalistas nem desmente nem confirma as informações que são publicadas a seu respeito, mesmo as mais polémicas” escreve Daniel Ribeiro que depois conta como decorreu a sua inscrição em Sciences-Po. José Sócrates “está inscrito em Master 1 (M1) de Ciência Política na Escola Doutoral do Instituto de Estudos Polí- ticos de Paris (IEP)”. O jornalista interrogou o Diretor de Sciences-Po, Richard Descoings, falou com professores da instituição e com alunos, colegas de Sócrates. Diz que o acham “muito simpático”. “Ele é muito interessante, tem grande experiência política, discutimos frequentemente com ele sobre a crise, o futuro da Europa e a vida política em França, mas parece-me ser um homem bastante solitário”, cita Daniel Ribeiro. O artigo não foi do agrado daqueles que consideram que Daniel Ribeiro “ultrapassa as funções de jornalista para se imiscuir na vida alheia das pessoas”. Por exemplo, o ex-Secretário de Estado das Comunidades, José Lello, diz que “não respeitando o recato e discrição a que o ex-Primeiro Ministro se votou, o correspondente do Expresso na capital francesa, um maoista da OCLP dos anos setenta, sem identificar fontes, fez um exercício adivinho e maledicente que nada tem a ver com jornalismo sério de investigação”. E José Lello acrescentou que “sem identificar fontes, o jornalista especulou, em restaurantes, etc. Que disse serem caríssimos. Claro que o são relativamente ao nível português, mas comparativamente ao que se pratica em Paris, não. Dá vontade de perguntar ao correspondente se só come em cantinas e tabernas!” PUB 08 o Consulado informa... Eu e a minha namorada vamos casar este ano e gostávamos de saber como podemos registar o casamento. Resposta : O casamento deve ser precedido da organização do processo preliminar para casamento no Consulado da área em que reside um dos noivos. Se ambos os nubentes são de nacionalidade portuguesa, é necessária a presença de ambos, uma certidão de registo de nascimento de cada um para fins de casamento, o Cartão do cidadão ou o Bilhete de identidade válido com o estado civil atualizado, se algum dos nubentes tiver nascido em França é necessário uma “Copie intégrale de l’acte de naissance” e um justificativo de residência. Se um dos noivos for de nacionalidade estrangeira, basta a presença do nubente de nacionalidade portuguesa e para além dos documentos acima citados, é necessária a “Cópia integral do Assento de nascimento” do nubente estrangeiro. Os noivos devem fazer a opção relativa ao regime de bens do casamento: que pode ser de comunhão geral, de separação de bens ou de comunhão de adquiridos. Se os noivos não fizerem esta escolha, o casamento será celebrado na modalidade de comunhão de adquiridos. No caso de casarem aqui em França, na Marie, e quererem celebrar um casamento religioso em Portugal, é necessário pedir uma Certidão de casamento que pode ser feita no Consulado ou em qualquer Conservatória em Portugal que deve ser entregue ao Padre que vai celebrar o casamento religioso. As pessoas que casam no Consulado, têm direito a um Livrete de família à semelhança do que existe em França. Pode consultar esta e outras informações no site do Consulado: www.consuladoportugalparis.com ou contactar-nos através da nossa central de atendimento telefónico 01.56.33.81.00. Consulado Geral de Portugal em Paris 6, rue Georges Berger 75017 Paris @ Quer comentar ? [email protected] lusojornal.com media le 25 janvier 2012 Clermont Ferrand imprensa portuguesa de França em debate na Universidade Blaise pascal Por Sheila Ferreira Na segunda-feira desta semana, dia 23 de janeiro, teve lugar em Clermont-Ferrand, um Seminário sobre Imprensa Lusófona em França, organizado na Universidade Blaise Pascal de Clermont-Ferrand, e no qual participaram os jornalistas Artur Silva (Rádio Alfa), Adriana Brandão (RFI) e Carlos Pereira (LusoJornal), num debate moderado por Daniel Martin (La Montagne e France Culture). A iniciativa teve origem na Cátedra Sá de Miranda, através do seu responsável Saulo Neiva, e o Seminário apresentou a influência da imprensa lusófona em França. Aliás, começou com uma breve apresentação, feita por Carlos Pereira, sobre os diferentes suportes mediáticos portugueses, desde as rádios “portuguesas”, aos programas portugueses nas rádios francesas, passando pelos diversos jornais e revistas, editados essencialmente na região parisiense. O evento contou com um público bastante representado, essencialmente pelos alunos do percurso de Mídia e Mediação Cultural da Universidade Blaise Pascal, embora também estivesse aberto a um público do exterior. Cada jornalista apresentou o seu percurso individual e os suportes para os quais trabalha, detalhando os públicos para os quais se dirigem e as linhas editoriais de cada um. Artur Silva apresentou a Rádio Alfa desde a sua fundação, já que foi um dos fundadores do projeto radiofónico mais conhecido de França. Saulo Neiva, Artur Silva, Adriana Brandão e Carlos Pereira DR Lembrou as peripécias das rádios livres antes da criação do projeto ALFA (Associação luso-francesa de audiovisual) e falou da rádio de hoje, com as suas dificuldades, mas também com as suas potencialidades. Carlos Pereira apresentou o LusoJornal, que também fundou em 2004. Lembrou a linha editorial da publicação, o bilinguismo, a rede nacional de colaboradores, referindo as colaboradoras que tem em Clermont-Ferrand, a rede de distribuição (já que o jornal também é distribuído em Clermont-Ferrand em vários locais, nomeadamente nas agências da Caixa Geral de Depósitos e do Banque BCP) e abordou ainda a questão da publicidade. Por seu lado, Adriana Brandão falou das emissões em língua portuguesa da RFI (Radio France International), da sua evolução nos últimos anos, na diferença entre os programas em língua portuguesa que são direcionados para o Brasil e os que são direcionados para África. Para os alunos do percurso de Mídia e Mediação Cultural foi uma oportunidade de encontrar pessoalmente profissionais do mundo jornalístico e aproveitaram para os questionar sobre os mais variados assuntos. Durante o ano os alunos já conhecem na prática a Rádio Altitude, em Clermont-Ferrand, onde aliás animam programas, e os responsáveis pelo curso quiseram agora diversificar as apresentações, para completar a formação. Este Seminário serviu também para mostrar a importância da língua portuguesa em França. Por exemplo, Artur Silva comentou que “a imprensa lusófona permite a manutenção da língua portuguesa”. A Comunidade portuguesa de França tem à sua disposição a Rádio Alfa, uma rádio comercial que apresenta pelo menos 50% do seus programas em língua portuguesa, o LusoJornal que continua a ser o único jornal gratuito franco-português de informação, com distribuição na província e que põe em evidência a relação entre a França e a Comunidade portuguesa de França. “O nosso objetivo é comunicar com a Comunidade portuguesa presente em França, sem esquecer a sociedade na qual ela está inserida”, disse Carlos Pereira, Diretor do LusoJornal. Questionados pelos alunos, os jornalistas explicaram como vão abordar as eleições Presidenciais e de que forma tencionam cobrir o evento que marcará 2012. A Cátedra Sá de Miranda foi criada em 2004 por uma assinatura entre a Universidade Blaise Pascal de Clermont-Ferrand e o Instituto Camões, e promove a educação e a pesquisa no campo dos estudos de português, através de várias iniciativas como por exemplo, este Seminário. Jornalistas portugueses em Lyon vão ser despedidos rTp não renova parceria com a euronews A RTP informou já que não renovará o contrato com a Euronews, que em maio partirá para o despedimento coletivo de 17 jornalistas portugueses que trabalham em Lyon e encerrará o serviço em português em janeiro de 2013, se não encontrar financiamento. A informação foi avançada na semana passada no Parlamento pelo Presidente do Conselho de administração da Euronews, Michael Peters, que deixou aos Deputados portugueses cinco possibilidades para que se mantenha o serviço em língua portuguesa na estação de notícias internacional depois de 31 de janeiro de 2013, que pesa anualmente ao orçamento da RTP cerca de 1,8 milhões de euros, a que acrescem 360 mil euros de obrigações da estação pública enquanto acionista da Euronews. Entre as alternativas para a viabilização do serviço em português, Michael Peters elegeu à cabeça a “oportunidade” que constitui a passagem para a Televisão Digital Terrestre (TDT) em Portugal, “no pressuposto de que o Governo português assumisse o encargo com os custos do serviço da língua”, sublinhou em declarações à Lusa o Deputado social-democrata José Mendes Bota, Presidente da Comissão parlamentar para a Ética, Cidadania e Comunicação, onde o Presidente da Euronews foi ouvido. O responsável da estação internacional foi recebido em outubro último por Feliciano Barreiras Duarte, Secretário de Estado-adjunto do Ministro-adjunto e dos Assuntos Parlamentares, Miguel Relvas, e por José Cesário, Secretário de Estado das Comunidades, a quem propôs que os encargos atuais da RTP sejam separados entre os custos com o serviço em língua portuguesa e a comparticipação da estação portuguesa enquanto acionista no orçamento anual da Euronews, benefiando assim da eventual distribuição de dividendos anual. Esta hipótese foi reafirmada por Michael Peters em resposta a uma questão neste sentido colocada pelo próprio Mendes Bota, que assume a “pena” de se deixar fechar o serviço. “É uma pena porque a Euronews é, de longe, dentro dos canais congéneres, incluindo a CNN, a que tem mais au- diência em todo o mundo e através dela a língua portuguesa chega a todos os continentes. Parece um contrasenso numa altura em que tanto se defende a importância da língua. Por dois milhões de euros, não sei se se deveria perder esta oportunidade”, afirmou à Lusa o Deputado social-democrata. “Portugal está a pagar o preço mais barato que a Euronews está a cobrar por este tipo de serviço, um serviço de notícias de 24 horas por dia, sete dias por semana. Atualmente a Euronews está a vender o mesmo serviço por 6 milhões de euros”, indicou Michael Peters aos jornalistas em novembro último. O serviço em língua portuguesa é assegurado por 17 jornalistas portugueses em regime permanente e ainda cerca de 20 “free lancers” portugueses, que se encarregam do noticiário em português. O português é uma das onze línguas em que emite a Euronews, que conta com cerca de 400 jornalistas de 23 nacionalidades. Caso a Euronews não consiga encontrar alternativas de financiamento, terá que avançar com um processo de des- pedimento coletivo dos jornalistas portugueses em maio, indicou no Parlamento Michael Peters. E outras alternativas, para além das referidas, passam por a estação de televisão europeia encontrar em Portugal ou no estrangeiro - Angola é uma possibilidade em equação, disse Michael Peters a mais de 30 Deputados portugueses na audição - alternativas de financiamento entre entidades públicas ou privadas, como “fundações” ou outras. Michael Peters avançou ainda a hipótese de o Governo português encontrar forma de se concertar com a Comissão Europeia numa partilha de custos que permitisse a emissão da Euronews na TDT em sinal aberto ao abrigo do serviço público. Alternativas como a da comparticipação dos operadores de cabo no suporte do serviço em língua portuguesa na Euronews representaria - nas contas do gestor - cerca de 70 cêntimos ao ano para cada cliente português de televisão por assinatura, indicou finalmente Michael Peters. A Lusa tentou uma reação da RTP, mas sem sucesso até ao momento. empresas le 25 janvier 2012 09 Valdemar Francisco, fundador da Tradi-Art Começou a trabalhar nas obras aos 16 anos mas construiu uma empresa de sucesso em síntese TAp élue compagnie aérienne leader mondial en Afrique et en Amérique du sud Valdemar Francisco numa entrevista à RDP LusoJornal / Jorge Campos Valdemar Francisco nasceu no lugar da Bouça, na freguesia de Colmeias, em Leiria, mas emigrou para França no dia 19 de maio de 1959, com apenas 6 anos de idade, acompanhando os pais. Foi nessa altura que teve os primeiros sapatos para enfrentar uma longa viagem de comboio. O pai já trabalhava em França e veio com uma “carta de chamada”. Entretanto criou um grupo empresarial com um volume de negócios na ordem dos 50 milhões de euros, que dirige com os filhos e é Vice-Presidente da Câmara de Comércio e Indústria Franco-Portuguesa (CCIFP). LusoJornal: O que é que o marcou mais quando chegou a França? Valdemar Francisco: Sai de uma aldeia onde não havia luz e aqui havia luz. Mas também me marcou muito ver a neve pela primeira vez. Nós, crianças, ficávamos maravilhados ao ver aquela neve muito alta, porque os invernos eram muito mais rigorosos naquela altura do que hoje. LusoJornal: Onde se instalou a família? Valdemar Francisco: Fomos viver para Villiers-sur-Marne (94). Foi lá que entrei na escola. Não sabia falar francês, mas lá consegui. Entretanto perdi o meu pai quando tinha 11 anos e só frequentei a escola até à idade em que era obrigatória. Comecei a trabalhar com 16 anos porque tinha de dar apoio à minha mãe que ficou com 4 filhos. LusoJornal: Voltar a Portugal não era solução? Valdemar Francisco: De Portugal lembra-me dos meus tios, dos primos, dos avôs, mas era uma vida muito difícil. Aqui, em França, era difícil, mas pelo menos havia de comer para todos. LusoJornal: E depois como surgiu a sua empresa? Valdemar Francisco: Aprendi a esculpir pedra e sempre tive um gosto particular pela pedra. Mais tarde também fiz cursos de economia, de orçamentista da construção e quis fazer uma empresa para ter mais proximidade com os clientes. Trabalhava para outras empresas mas queria dar um passo a mais. Foi há 30 anos. LusoJornal: E desde então tem evoluído? Valdemar Francisco: Os meus filhos andaram nas obras comigo, gostaram e seguiram estudos de engenharia civil. Entretanto a minha esposa também deixou o emprego dela e veio trabalhar comigo. Seguiram-se os dois filhos. O primeiro já está a trabalhar connosco há 16 anos e o segundo há 5 anos. No fundo são eles que estão a desenvolver a empresa. LusoJornal: Suponho que hoje é uma empresa grande... Valdemar Francisco: O grupo Francis and Co tem várias empresas para um total de 124 empregados, 24 dos quais trabalham no escritório. O nosso trabalho está relacionado com a construção civil. Tenho uma empresa que faz infraestruturas, trabalho mais grosso, tenho duas empresas de construção porque não sabia se os filhos queriam trabalhar juntos, uma empresa de cozinhas, uma agência imobiliária,... O volume de negócios no grupo, deve rondar os 50 milhões de euros. LusoJornal: Pode-se dizer que concretizou um sonho? Valdemar Francisco: Nunca tive o sonho de criar uma empresa assim. O que eu queria era fundar uma família e dar aos meus filhos um ou dois es- calões sociais acima do que eu tive. Sabia que tinha de trabalhar muito, mas nunca fui para o trabalho de recuo. Sempre fui com motivação. Não queria que os meus filhos passassem por onde eu passei. do protecionismo, mas tem de haver medidas. Se as empresas querem ir para lá produzir, tudo bem, mas quando trazem produtos para cá, temos de encontrar uma taxa para compensar o social que estragaram. LusoJornal: O trabalho nunca foi um problema para si... Valdemar Francisco: Eu acho que o trabalho deve sempre permitir a uma família para viver. E quando o trabalho das nossas mãos não permite que uma família consiga viver dignamente é porque está mal pago. Eu defendo que as pessoas deviam ganhar mais e haver menos apoio social. Claro que nunca devemos deixar ninguém pela berma da estrada, mas a prioridade é dar um trabalho às pessoas e serem pagas pelo seu justo valor. O social nem devia ser necessário para quem trabalha. Mas as coisas estão assim feitas e vai ser difícil alterar. LusoJornal: Daí a sua implicação na Câmara de comércio? Valdemar Francisco: Eu aposto em Portugal há muitos anos. Dou muito do meu tempo à CCIFP, para pôr em relação as empresas portuguesas que querem exportar. Aqui em França somos 45.000 empresas de Portugueses. Em Portugal precisam da nossa ajuda e a CCIFP trabalha nesse sentido. LusoJornal: Como vê a crise atual? Valdemar Francisco: Em França, no setor da construção, há um deficit de alojamentos. A taxa é de 0,62%, enquanto que em Portugal é de 1,6% alojamentos por família, há excedente. Em França ainda vamos ter trabalho para mais uns anos. Por outro lado, eu lamento que a crise seja tão violenta, mas era inevitável. A mundialização pode ser muito boa, mas tinha de ser gerida de maneira diferente. A Europa está a pagar o crescimento da China e a dívida dos Estados Unidos. LusoJornal: Há muitas empresas a deslocalizarem-se para a China... Valdemar Francisco: Na China trabalham muitas horas e ganham muito pouco. Nós estamos a dar cabo da nossa economia para ir produzir lá. Não sou propriamente um defensor LusoJornal: Sente que nunca foram chamados para ajudar Portugal? Valdemar Francisco: Realmente os políticos falam todos, mas não vemos nada. Eles gostavam que os emigrantes se implicassem para ver se Portugal saía desta situação, mas não há atos. Nós queremos ajudar mesmo Portugal. Gostava que ouvissem mais os emigrantes, por vezes muito incultos, mas cheios de vontade. Gostava que nos pedissem, não conselhos porque não estamos aqui para dar conselhos a ninguém, mas podíamos contribuir com a nossa longa experiência. LusoJornal: Sonha um dia regressar a Portugal? Valdemar Francisco: Sinto um amor grande por Portugal, mesmo se saí de Portugal pequenino. Mas vivo em França porque é aqui que tenho os meus filhos e os meus netos. Nunca mais vou viver para Portugal. Essa hipótese não se coloca. Amabilidade Paula Machado, RDP internacional TAP Portugal a été primée Compagnie Aérienne Leader mondial en Afrique ainsi qu’en Amérique du Sud, à la Grande Finale des World Travel Awards (WTA), pour la troisième année consécutive. La cérémonie de gala de la 18ème édition des WTA, considérée par certains comme les «Oscars» de l’industrie, s’est tenue en soirée au Village Culturel Katara, à Doha, au Qatar. La Grande Finale des WTA est l’aboutissement d’une recherche d’un an des meilleures sociétés du voyage et du tourisme, et désigne les gagnants parmi toutes les catégories professionnelles à travers le monde. Le processus de sélection a couvert plus de 160 pays avec les suffrages exprimés par 213.000 professionnels du voyage, tels que les agences de voyages, les tour-opérateurs et les sociétés de transport, ainsi que des organisations de tourisme. «Pour TAP Portugal, c’est un grand honneur et nous sommes enchantés d’être aujourd’hui le gagnant de deux prix WTA qui nous distinguent désormais comme la compagnie aérienne leader mondial en Afrique et reconfirme notre leadership en Amérique du Sud pour la troisième année consécutive dans cette catégorie», a affirmé Luiz Mór, Membre du Comité de Direction de TAP Portugal. Concourant au coude à coude avec les grandes compagnies aériennes du monde entier, TAP Portugal a été élue compagnie aérienne leader en Afrique devançant British Airways, Delta, Emirates, Etihad Airways, South African Airways, Turkish Airlines et Virgin Atlantic Airways. En parvenant à gagner le prix de la compagnie aérienne Leader Mondial en Amérique du Sud, TAP Portugal a devancé des compagnies aussi importantes qu’American Airlines, British Airways, Continental Airlines, KLM, Lufthansa et United Airlines. lusojornal.com empresas 10 le 25 janvier 2012 Produtos portugueses ibérico-les saveurs du soleil inaugura novo supermercado em Coignières Por Clara Teixeira O Supermercado Ibérico-Les Saveurs du Soleil inaugurou esta segundafeira à tarde a abertura do novo supermercado em Coignières (78) que decorreu em dezembro passado. A inauguração contou com a presença de vários convidados desde amigos, familiares, assim como uma comitiva municipal da cidade, sem esquecer alguns clientes e fornecedores vindos de Portugal. Este é o segundo supermercado que a empresa familiar abre na região parisiense após o de Argenteuil aberto há vários anos. “São 1.200 m2 que acolhem todo o tipo de produtos portugueses, essencialmente alimentares, - congelados e frescos - assim como uma variedade de produtos artesanais, desportivos, etc. Abrangemos um vasto leque de produtos tradicionais que se vendem muito bem aqui”, começa por declarar José Roxo, Diretor do Ibérico. Propor novos sabores, novas marcas, variando constantemente os produtos é sem dúvidas um dos pontos fortes do Ibérico. “Representamos 87 em- Equipa do supermercado Ibérico DR presas portuguesas, como pode compreender vendemos de tudo e sobretudo do melhor”, aponta ao LusoJornal. É na qualidade e diversidade que José Roxo aposta para fidelizar os seus clientes. “Todas as semanas temos propostas de empresas para vendermos um produto específico, de modo que muitos produtos que propomos estão em constante rotação”. Segundo o gerente, a escolha do sítio foi a sequência do estudo de mercado, “o principal critério era aproximar-se ao máximo da Comunidade portuguesa que até aqui não tinha acesso a muitos produtos portugueses e agora passam a ter”. Uma esmagadora clientela portuguesa porém cada vez mais o trabalho de José Roxo e da sua equipa atrai clientes franceses vindos à procura de novas delícias e descobrir novos artigos. “Podemos dizer que o nosso sucesso deve-se em parte ao nosso trabalho e à grande dedicação ao consumidor final, através de marketing e da nossa disponibilidade para com o cliente”. Com uma nova equipa de 12 pessoas a trabalhar no novo supermercado, que irá aumentar rapidamente, José Roxo afirma estar presente para melhor servir o cliente e desenvolver ainda mais o seu comércio. Com efeito, os supermercados Ibérico-Les Saveurs du Soleil não tencionam ficar por aqui, Bruxelas já acolheu há 2 anos um comércio que tem conhecido bastante êxito e “outro já está em estudo no sul da França”, conclui satisfeito. Ibérico Coignières 42 avenue de la Gare 78310 Coignières Tel.: 01.30.51.49.19 www.iberico.fr Feira 55 empresas portuguesas na maison & objet Cinquenta e cinco empresas portuguesas de mobiliário e têxteis participaram, na semana passada, em Paris, na feira internacional ‘Maison & Objet’, que é considerado o principal evento internacional na área da decoração. Em declarações à agência Lusa, o Diretor da Agência para o Investimento e Comércio Externo de Portugal (AICEP) em França, António Silva, afirmou que a presença portuguesa neste espaço deve ser vista no quadro de “exigência e seletividade do evento”. “O número de empresas portuguesas presentes nesta feira, que tem duas edições, em janeiro e em setembro, tem vindo a aumentar. E estes números devem ser sempre vistos considerando o facto de a ‘Maison & Objet’ ser muito seletiva. Há um conjunto de critérios que uma empresa deve cumprir para ser aceite e poder expor”, acrescentou. Por detrás deste número, “que mostra que a qualidade da presença portuguesa tem vindo a ganhar expressão e não deixa nada a dever à produção dos outros países representados”, está um aumento de 12 a 15% das exportações de mobiliário para França em 2011. O Secretário-geral da Associação Portuguesa das Indústrias de Mobiliário e Afins (APIMA), Hugo Vieira, resumiu assim as razões do sucesso crescente das empresas portuguesas de mobiliário e decoração no estrangeiro: “Somos muito bons. Temos um ‘know-how’ secular para fazer o produto e somos um alfaiate de alta-costura”. “O nosso conceito é ‘premium’. Não podemos competir com grandes economias na quantidade, não podemos fazer economias de escala, não somos mais baratos. Por isso, o nosso posicionamento é na qualidade. Somos extremamente competitivos nos serviços e fazemos mobiliário de alta qualidade, personalizado”, acrescentou. Na perspetiva do responsável, é essa postura que justifica a evolução da presença portuguesa num dos espaços com maior destaque internacional na área do mobiliário e decoração: “Em 2008 a APIMA trouxe menos de meia dúzia de empresas, este ano traz 25. Continuamos a ganhar espaço no mercado. Ocupamos a sétima posição no ranking dos expositores não franceses na ‘Maison & Objet’. Isso reflete interesse, procura e aceitação”, afirmou. A Associação Têxtil e Vestuário de Portugal (ATVP) trouxe cerca de 12 empresas portuguesas à feira. Sofia Botelho, Diretora executiva da associação, disse à agência Lusa que o re- conhecimento internacional dos produtos portugueses no têxtil e na decoração “não é propriamente novidade”. “Somos muito conhecidos cá fora pela qualidade, no serviço e no design no têxteis lar e nos tecidos. Esse reconhecimento internacional existe desde há décadas. Estamos nas melhores lojas do mundo inteiro. O que se nota é que as empresas portuguesas continuam a lutar pelo seu lugar no mercado internacional, cada vez mais competitivo”, acrescentou. A responsável considera que “haveria 30 ou 40 empresas da área dos têxteis com qualidade para expor nesta feira, mas uma vez que a ‘Maison & Objet’ cresceu muito nos últimos anos, o espaço é cada vez mais escasso”. le portugal Business Club de lyon fête ses 5 ans Le Club d’affaire franco-portugais lyonnais organise un cocktail dinatoire à la CCI de Lyon, le jeudi 26 janvier, à 19h30. Ce sera l’occasion de souffler les 5 bougies du club en présence de Philippe Valentin, Vice Président de la CCI de Lyon, en charge de l’industrie, d’António Barroso, Consul Général du Portugal à Lyon, et d’une centaine de chefs d’entreprises invités. Le Portugal Business Club a voulu remercier tous ses adhérents de leur présence et implication, en réali- lusojornal.com Les fondateurs du Portugal Business Club Lyon PBC sant un livre, avec la participation du photographe Ricardo Figueira: «Les visages du PBC». L’année 2012 étant à peine commencée, les co-Présidents, François Pereira et Anne Ferreira, présenteront les vœux du Club, ainsi que la nouvelle équipe et leur nouveau Président. Une équipe qui présentera les futurs lignes du Club, tant dans les actions qui seront menées en 2012, que sa communication. La ligne directrice du Club restant inchangée, «faire rencontrer les di- rigeants et cadres d’entreprises qui ont un intérêt au développement économique France / Portugal, ou qui souhaitent plus simplement échanger et mettre en commun leurs expériences», cette année un accent sera mis sur «les échanges avec les différents réseaux qui participent à cet objectif, la mise en avant des adhérents et le développement du Club et le soutient à des projets de création». Une soirée festive et conviviale en perspective! ensino le 25 janvier 2012 11 Adelaide Cristóvão teve de “reajustar” a rede de ensino Coordenadora salvou aulas a 300 alunos Quase 300 dos 2.700 alunos afetados pelo despedimento de 20 professores de português em França puderam continuar a ter aulas devido a um “moroso trabalho de reajustamento” da rede, disse à Lusa a Coordenadora do Ensino. Adelaide Cristóvão, Coordenadora do Ensino Português em França, explicou que depois da decisão do Governo de diminuir o número de professores de português no estrangeiro, que neste país afetaria 2.700 de um total de mais 16 mil alunos, foi preciso “fazer um levantamento de todas as turmas que não podiam cair”. “A questão que se punha é que havia algumas turmas que perdíamos com a saída destes professores que eram turmas muito grandes e/ou que estavam em zonas onde havia continuidade no ensino do francês do primário para o secundário (responsabilidade do Go- Adelaide Cristóvão LusoJornal / Edite Fonseca verno francês), que é um dos pontos pelos quais nós nos batemos”, acrescentou. Assim, foi preciso fazer “um moroso trabalho de reajustamento” e atribuir aos professores que ficavam e que tinham turmas “pouco importantes” turmas “consideradas mais importantes”. Este trabalho permitiu “recuperar” 279 alunos. “É claro que é problemático e dramático que alunos tenham ficado sem aulas. Mas o que é importante nestes quase 300 alunos é que salvaguardámos turmas que tinham continuidade”, disse. Para o ano letivo de 2012/2013, a Coordenadora garantiu que “a vontade é de continuar a assegurar todos os alunos, inclusivamente aqueles que agora ficaram sem aulas” e avançou que “está a ser estudada a forma de fazer isso”. “A questão que se põe é uma questão de orçamento. E com mais este problema: estando o ensino integrado no sistema escolar francês ele não pode sequer ser comparticipado pelos pais”, acrescentou. A responsável anunciou ainda que o Ministério da Educação e o Instituto Camões estão a estudar uma forma de certificação para todas as crianças que estudam português em França - inclusive as que viram interrompido o ano letivo -, que deverá ser posta em prática ainda no final deste ano letivo. O Instituto Camões anunciou no final de 2011 a redução de 20 professores de português em França: na Corse (1), em Bordeaux (1), em Lyon (2), em Orléans (1), em Strasbourg (1) e em Paris (14). A decisão tem motivado diversos protestos e manifestações por parte de pais, alunos, professores e associações da Comunidade portuguesa. Aulas da Professora Elisabete Lourenço Alunos dos cursos de português falam de fado em síntese em portugal no mundo... Do A há azeitonas, do B há bacalhau, do C há Compal, do D há douradas, do E há elétricos, do F há figos, do G há gelados, do H há hortas, do I há igrejas, do J há jardins, do K há karaoké, do L há limões, do M há montanhas, do N há natas, do O há oliveiras, do P há pinheiros, do Q há queijos, do R há rios, do S há sol, do T há touradas, do U há uvas, do V há vinhas, do W há Wii, do X há xailes, do Y há yoga, do Z há zebras... Que lindo e apetitoso alfabeto!!! Numa altura em que o Fado passa a integrar a lista do património imaterial da Unesco, a professora Elisabete Lourenço aproveitou para falar do assunto nas aulas de português. “No início ninguém sabia o que era o fado, mas no fim da aula a minha satisfação era enorme com os resultados dos miúdos” disse ao LusoJornal. Sabiam já responder a todas as perguntas do ‘Quiz’ e muito mais. Os desenhos aqui publicados provam o interesse da aula. “Os cadernos dos alunos ficaram lindos” garante Elisabete Lourenço. Rubrica juvenil será que a música popular portuguesa continua a fazer vibrar os lusodescendentes? Por Mélanie Pereira (*) Quem nunca terá ouvido músicas do Jorge Ferreira ou do Tony Carreira? Ora, estes como tantos outros, representam a música popular portuguesa e são a imagem da primeira geração de Portugueses em França. Contudo, pouco a pouco, verifica-se uma mudança de gostos musicais nos adolescentes. Foi o que constatámos quando interrogamos jovens da Secção portuguesa do Liceu Honoré de Balzac em Paris. É frequente associarmos este género musical à música eleita dos Portugueses. No fundo, esta faz parte da nossa cultura e é transmitida de geração em geração. Muitos consideramna como a “verdadeira” música portuguesa, sendo frequente nas grandes romarias durante o verão. E é no meio dessas festas tradicionais que se encontram, principalmente, os Emigrantes a dançarem ao ritmo de Quim Barreiros. Ana da Costa (15 anos) é um desses casos, onde a música popular portuguesa se sobrepõe ao badalado pop, sendo o Jorge Ferreira o seu cantor português preferido. Eduardo Machado (14 anos), aluno do mesmo liceu, partilha a mesma opinião, tendo como cantor português preferido, Tony Carreira. Assim, verificamos que a maioria dos adolescentes continua a ouvir a música popular portuguesa. Na minha opinião, tal deve-se à cultura transmitida de geração em geração. Na verdade, os adolescentes são frequentemente influenciados pelos gostos musicais dos pais, já que cresceram a ouvir “Eu gosto de mamar nos peitos da cabritinha”. Todavia, é crescente o número de jovens a ouvir a música pop portuguesa. A preferência de Danny Pereira (16 anos) vai para o grupo Da Weasel. É importante alargarmos o nosso leque musical a outros tipos de música, visando o conhecimento internacional do artista. Sophie Branco (15 anos) percebeu muito bem isso, pois o seu cantor português preferido é o Lucenzo, o qual tem vindo a ganhar grande popularidade entre a Comunidade portuguesa em França. Se por um lado os jovens continuam a gostar da música popular portu- guesa, o mesmo não acontece com a música popular internacional. Quando lhes perguntamos qual é o seu cantor estrangeiro preferido, a resposta parece evidente: a fabulosa Beyoncé, a extravagante Lady Gaga ou ainda a maravilhosa Rihanna. Então, como é possível gostar dos cantores de música popular portuguesa e das estrelas internacionais ao mesmo tempo? Jéssica Alvelos (13 anos) tem como cantora preferida Rihanna, mas o José Malhoa é seu o cantor português preferido. Este contraste musical mostra-nos que os jovens pretendem manter viva a música popular portuguesa, honrando as suas origens. Esta última continuará a fazer parte da nossa cultura e não será esquecida! (*) Mélanie Pereira é aluna na Secção portuguesa do colégio/liceu internacional Honoré de Balzac, em Paris, e realizou este texto no quadro de um estágio no LusoJornal. Poema realizado pelos alunos das aulas de português do CM1 e CM2, da escola 15 rue des Bauches, em Paris, cuja professora é Angélique Gazzabin. o Contador de histórias em França O Grupo O Contador de Histórias tem vindo a coordenar um conjunto de pedidos de diversas entidades para deslocações a diversos países europeus, num esforço de divulgação da Língua e Cultura Portuguesas, através do trabalho de promoção do livro e da leitura que desenvolve há cerca de 15 anos. Nos meses de março e abril o grupo estará em diversos países europeus, nomeadamente em França: 9 a 12 de março, em Bordeaux 13 de março, em Nantes 14 a 19 de março, em Paris Os interessados neste grupo, podem contactar diretamente: Filipe Lopes O Contador de Histórias Apartado 139 2304-909 Tomar +351.912.896.155 [email protected] lusojornal.com 12 Johnny le 25 janvier 2012 “Quero saber quem és” em síntese Apresentação do novo trabalho em sartrouville No próximo dia 26 de janeiro, no restaurante 5 Estrelas, em Sartrouville, vai ser apresentado o novo trabalho do autor, compositor e intérprete Johnny. O primeiro álbum desta nova fase do cantor só vai ser lançado em junho, mas esta semana vão ser desvendados os dois primeiros temas “Quero saber quem és”, um pop rock que dá título ao álbum, e “O que vai ser de mim”, uma balada que também marca o estilo do novo trabalho de Johnny. Em princípio de março vai ser lançado um novo single, também com dois temas, antes do trabalho final que vai ser lançado antes do verão. Uma produção da Alfama prod Este novo trabalho de Johnny “Quero saber quem és”, tem produção de Jacques Fernandes da Alfama Prod. Mais do que uma produtora que existe há dois anos, a Alfama Prod é também um estúdio de gravação, em Nanterre, no qual Johnny também está implicado. É aliás no estúdio da produtora que o disco está a ser gravado. Mais do que um produtor, Jacques Fernandes é um amigo do cantor e os dois homens trabalham em estreita colaboração. Um single distribuído gratuitamente O primeiro single do futuro álbum de Johnny, “Quero saber quem és”, vai ser distribuído gratuitamente. Graças aos patrocínios do Banque BCP e do Hall du Portugal, entre outros, o disco vai ser distribuído gratuitamente nas agências do Banque BCP, em alguns bares e restaurantes, no supermercado Les Halles du Portugal e pode ser enviado gratuitamente para cada. Para receber o disco em casa, basta solicitá-lo por mail, no site oficial do cantor ou no da produtora. www.youtube.com/johnnyoficialtv www.johnny.pt www.alfamaprod.com [email protected] lusojornal.com Johnny relança a sua carreira art com o primeiro single no novo álb Par Carlos Pereira em Louco” e foi produzido pela Espacial. Johnny tem 29 anos e nasceu em França, filho de pais portugueses: a mãe é do Soito e o pai é de Pinhel, no distrito da Guarda. Quando era pequeno sonhava ser desenhador, mas acabou por tirar um curso de contabilidade, mesmo se nunca exerceu profissionalmente nesta área. Numa conversa com o LusoJornal explica como mergulhou no mundo da música, há 12 anos, fazendo dela a sua profissão. Conta também em que condições gravou um primeiro álbum há 7 anos, num projeto que o desiludiu, e como nasceu o projeto deste novo álbum, a partir de uma história de amor. LusoJornal: E depois regressaste a França? Johnny: Estive cerca de um ano e meio em Portugal, gravei o disco e comecei a fazer promoções. Só que aquilo não correu como devia ter corrido. Fui quatro vezes à televisão, dei uma entrevista à rádio local da minha terra, mais nada. Eu vi que aquilo não andava, que não tinha promoção suficiente e então decidi acabar com tudo e regressar a França. LusoJornal: Começamos pelo princípio. Como descobriste o mundo da música? Johnny: Foi há cerca de 12 anos e tudo aconteceu por acaso. Um dia entrei numa loja de pianos com a minha mãe e vi um demonstrador a tocar. Estava a tocar uma música do filme Beverly Hills e eu fiquei encantado ao ponto que a minha mãe teve de me comprar um órgão. LusoJornal: Nunca tinhas aprendido música antes? Johnny: Não, nunca tinha aprendido. Mas em casa fui tocando. Lembro-me que uma das primeiras músicas que toquei foi o “Apita o Comboio” (risos). Não parei de aprender, sozinho, sempre em casa, até que dois anos depois, já tinha um reportório bastante grande e comecei a tocar em bares e em restaurantes. Não cantava. Só tocava, sozinho com o meu órgão. LusoJornal: Até que um dia gravaste um primeiro disco... Johnny: Um dia encontrei uma pessoa que me ouviu e me sugeriu de gravar um disco em Portugal, com o Ricardo Landum. A ideia de gravar um disco seduziume porque já tocava em bares há vários anos. Quis experimentar. LusoJornal: E experimentaste? Johnny: Sim, decidi ir para Portugal viver, escolhemos os temas, só retomas de músicas que eu já tocava, não havia nenhum tema original. O disco chamava-se “Dou LusoJornal: Vieste desiludido? Johnny: Sim, desiludido. Eu era jovem e pensava que tudo ia ser um mar de rosas. Afinal não foi. Decidi parar tudo e quando cheguei a França não recomecei a tocar. LusoJornal: Paraste completamente com a música? Johnny: Sim, completamente. Estava mesmo desanimado. Mas as pessoas que me conheciam aqui, não paravam de insistir. Insistiram tanto que voltei a tocar nos bares e nos restaurantes. E é o que faço há cerca de 7 anos. LusoJornal: O que te fez gravar um novo disco? Johnny: Encontrei certas pessoas que me motivaram a gravar um novo álbum Há 7 anos, quando gravei o primeiro disco, havia músicas de vários estilos, não sabia bem qual era a minha direção musical. Hoje encontrei-me. Encontrei primeiro o meu produtor, o Jacques Fernandes, que me ajudou a encontrar-me a mim próprio. Quando conheci o Jacques, pensava que era eu, somos muito parecidos, ele parece que sou eu com mais anos. Foi uma ligação que funcionou logo à primeira. LusoJornal: E por que tipo de música optaste? Johnny: Há uma vertente que eu não conhecia em mim, que é o pop. E este novo disco pode ser considerado de pop romântico. Sempre fui romântico. Por vezes, até demais... LusoJornal: São todos temas inéditos? Johnny: Sim, tudo é inédito neste álbum. Eu componho, mas o Jacques, a Noémia, Alfama prod / Olivia de Soares Un album préparé par une équip Jacques Fernandes Noémie Gomes Paulo Matos Laetitia Fernandes Producteur C’est la stratégie, qui fait quoi où et comment. Celui qui détermine les objectifs, l’interlocuteur, qui met les moyens pour les réalisations. Toujours présent lors des apparitions de Johnny. C’est le lien de l’artiste. Coordination Elle est la rigueur, elle s’occupe de savoir si chacun remplit son rôle au bon moment et si les plannings sont respectés. Elle vérifie si les lignes budgétaires sont tenues et veille à l’administration du proejt. Elle établi les statistiques et assiste le producteur. Elle vieille à ce que l’artiste ne manque de rien lors d’un spectacle. Elle est la clé de voûte du dispositif de l’équipe et de l’artiste. Ingénieur du son Il est l’homme de la technique, entre le studio, la production et l’artiste, il veille à ce que les moyens prévus soient la! Il développe et anticipe les mixages et les prises de son, il met en œuvre les plateformes nécessaires à la production. Il est l’homme des moyens, il fait en sorte que tout soit là au moment qu’il faut pour ce qu’il faut et surtout que tout se passe bien, notamment avec l’artiste et les musiciens. C’est la tranquillité de l’artiste. Chef de projet design Elle est l’interlocutrice de la production, elle crée les supports graphiques à la promotion, elle réalise les supports publicitaires ainsi que la conception des pochettes de disque. Elle défini les lettrages et les logos, toujours pleine d’idées. C’est mademoiselle image de l’artiste. Johnny le 25 janvier 2012 tística bum 13 em síntese o Paulo, também ajudam, trabalhamos juntos, fazemos música juntos. LusoJornal: Mas quais são os temas que te inspiram? Johnny: O álbum conta um caso de namoro e paixão que me marcou muito, que durou tanto tempo que dá para fazer um álbum. Como disse, eu sou romântico e por isso componho sobre mim. Nos 12 temas, cada música corresponde a uma fase que eu tive com essa pessoa, uma rapariga, uma namorada. Cada música é um capítulo desse romance. Foi com ela que comecei a compor. Até lá nunca me passou pela cabeça escrever. LusoJornal: Ainda estás apaixonado? Johnny: Apaixonado... não. Mas sempre vou gostar desta pessoa. LusoJornal: E o romance acabou? Johnny: Sim... mas a gente nunca sabe quando acaba. Por vezes pensamos que acabou, mas não acaba... Eu só espero que as pessoas gostem, que as pessoas se reconheçam na minha música. Há pelo menos uma música que vai dizer alguma coisa a quem vai ouvir o disco. LusoJornal: Johnny é um nome artístico ou é o teu verdadeiro nome? Johnny: É o meu verdadeiro nome, o que está no Bilhete de identidade. Ainda pensámos em escolher um nome artístico, mas eu sempre achei que Johnny soava bem. Por acaso os meus pais escolheram bem o nome. Eu gosto. E é diferente (risos). LusoJornal: Onde gostavas de promover o disco? Johnny: Gostava de promover o disco onde houver Portugueses, em França, em Portugal, noutros países. Vamos dizer que espero que haja muita gente a conhecer a minha história. LusoJornal: Só cantas em português? Johnny: Também canto em francês e em inglês. Alguns temas do disco vão ter três versões, uma em português, outra em inglês e ainda outra em francês. Mesmo não falando bem inglês, gosto da musicalidade dessa língua. Aliás quando estou a compor faço-o sempre em inglês. LusoJornal: Quais os cantores que mais te inspiram? Johnny: A minha mãe ouvia muito Tony Carreira. Eu também ouvia, claro, e aquilo começou-me a entrar: a voz e as músicas. Gosto muito da Céline Dion, sou muito fã dela, sonho cantar um dia com ela, para mim é a melhor artista do mundo. Mas também gosto do David Bisebal, do Bryan Adams,... de vários. LusoJornal: Também já compuseste para outros artistas? Johnny: Sim, para bastantes. O mais conhecido é o Luís Manuel. O último álbum dele tem cinco temas meus, o penúltimo tinha dois. Também compus para a Cristel, o Hugo Manuel, o Dany da Silva, o Joaquim Cena, a Morgan, a Cristina Araújo,... LusoJornal: E em que momentos do dia compões? Johnny: De manhã é complicado porque me deito muito tarde. Mas não há momentos para escrever e para compor. Depende do estado de espírito. Por exemplo, já compus um tema num carro, nos engarrafamentos. Mas gosto de trabalhar em casa ou no estúdio. LusoJornal: Dizem que és um solitário. É verdade? Johnny: Gosto muito de chegar a casa e de estar sozinho Necessito de estar só, por vezes em silêncio, por vezes com música, mas necessito deste momento de solidão todos os dias. LusoJornal: O que te podemos desejar para 2012? Johnny: Música. Muita música. Sempre música. pe solide de Alfama prod Aida Pereira Olivia de Soares Pierre Branner Styliste C’est les doigts de fée de Johnny, la spécialiste de la personnalisation, celle qui fait que c’est différent et beau. L’obsédée du détail, rien ne lui fait peur. Elle crée, imagine, transforme. Avec elle tout est en cohérence avec Johnny. Le petit plus, qui fait la différence. C’est l’esthétique de l’artiste. Photographe Elle est celle qui met Johnny en image, qui trouve ce qui lui correspond, qui transmet à travers ses photos la personnalité de Johnny. Elle est capable de tout, pourvu que Johnny soit lui-même, dans des lieux et avec les lumières qui lui vont bien. En un seul clic elle met en avant le coté romantique, rêveur et bohême de Johnny. Elle est la complice de l’artiste. Ingénieur du son C’est l’homme du final, complice avec Paulo qui écoute ce que veut Johnny en finalité. Qui met en son la musique, qui est le lien entre Johnny et les oreilles des auditeurs, qui fait le mastering. C’est l’homme de la critique, qui cherchera à savoir si c’est trop aigu ou trop grave. Il cherchera toujours à faire mieux. C’est les oreilles de l’artiste. les musiciens Serge Eymard Guitariste Il a un talent indiscutable, c’est un musicien de studio. Il travaille avec les plus grands. Il est une des couleurs de l’album de Johnny. Paolo Fiorito Bassiste Un musicien énorme, un chercheur, qui ne se déplace jamais sans une demi-douzaine d’instruments. Une bête de studio. Il est la profondeur le l’album de johnny. Luis Machado Batteur Il vient d’ailleurs. Il met plus de temps à chercher le son de ses peaux, qu’à faire une prise d’enregistrement. Chaque chanson à sa sonorité. Il a une collection d’instruments impressionante. Il est le groove de Johnny. Yura Silva et Irina Matata Choristes Ils sont allés les chercher au Portugal. Des perfectionnistes et des voix comme des instruments. C’est la chaleur de Johnny. Lydia Nebout et Filipe da Rocha Choristes Comme pour Yura et Irina, ce sont des instruments vocaux. Des spécialistes des harmoniques. C’est la sensibilité de Johnny. Jacques Fernandes, o produtor Jacques Fernandes já cruzou muitos artistas na sua carreira. Foi chefe de orquestra de Marco Paulo, tocou com José Cid, e hoje é o produtor de Johnny. “Há autores compositores portugueses que não se conhecem a eles próprios, que nós não conhecemos, mas que se podem alinhar com os grandes. E Johnny é um desses” diz ao LusoJornal. Johnny é músico antes de ser cantor. “Com este trabalho vamos mostrar as capacidades do artista. Ele é fora do comum” confirma Jacques Fernandes. “Ele é incapaz de fazer outra coisa. Trabalha todos os dias do ano, sempre na música, nunca para”. Jacques Fernandes diz que Johnny “consegue fazer músicas simples, tão simples, daquelas que todos os músicos gostariam de fazer, mas nem sempre conseguem”. lusojornal.com Cultura 14 le 25 janvier 2012 Artiste engagé s’indigne face à la destruction de la planète exposition: sérgio Bello présente Éros & gaïa em síntese Par Clara Teixeira sculptures d’yves pires exposées à paris Par Cristina Branco Le sculpteur Yves Pires, expose ses œuvres à l’Artclub Galery (172 rue de Rivoli, à Paris 01), du 28 janvier au 18 février. Cette exposition, pour admirer ou pour acheter, nous offre un voyage à travers l’univers féminin de cet artiste qui met la femme au cœur de son œuvre - des sculptures en bronze et résine. Des instantanées de mouvement ou d’abandon de corps. Comme une capture de rêves ou de visions. Ses femmes souvent en repos ou en plein envol, on l’allure d’anges déchus. Ce qui pousse Yves Pires dans l’univers du corps de la femme c’est évidemment la passion. La passion pour une muse ou par la femme, les lignes et le mouvement féminin. Ici l’image de la femme n’est pas exploitée comme un objet de désir, c’est La Femme au cœur d’une exposition, sublimée par les mains expertes d’un sculpteur passionné et passionnel. Yves Pires est français, de racines portugaises, un artiste atypique, autodidacte. Puisque les longues études l’ennuyaient, il a travaillé en plusieurs secteurs, sans jamais lâcher prise de son art. Peintre, sculpteur, décorateur, un perfectionniste, d’une exigence extrême avec lui même et son œuvre artistique. Un génie poétique l’anime, quoi que soit le domaine où il travaille. www.yvespires.com PUB L’artiste brésilien Sérgio Bello expose ses œuvres individuellement du 3 février au 3 mars dans la Galerie Ricardo Fernandes, à Paris. Sous le nom ‘Eros & Gaïa’, Sérgio Bello présente ici deux séries de travaux «Les cris d’Éros» (1982-1983) et «Cris de la Terre» (1994-1995), réalisées à des époques différentes qui s’assemblent ici pour affirmer leur force et leur engagement artistiques. «Au cours de toutes mes années de recherches, le centre de mes préoccupations d’homme et d’artiste a toujours été la capacité de l’humanité de créer et de détruire - Eros et Thanatos. Dans les grandes civilisations, les hommes ont construit des pyramides, des cathédrales, des amphithéâtres; ils ont eux-mêmes détruit les Tours de Babel des uns et des autres», explique l’artiste au LusoJornal. «L’intolérance si inhumaine, l’oppression entre les peuples, m’ont toujours ému. Je me sens souvent blessé, mais j’ai la certitude que mes cris picturaux sont pour moi l’unique moyen de transcender mon indignation face à ce que nous faisons subir à notre prochain et à notre planète». L’exposition confirme ainsi la place de Sérgio Bello sur la scène artistique contemporaine et affirme sa position La Terre-Roue sur le dos de Sérgio Bello Pascale Lismonde d’artiste engagé et engageant. A travers cet évènement, la galerie exprime enfin son attachement à la création contemporaine brésilienne et latinoaméricaine dont elle garantit le développement. Originaire de Recife (Nord-est du Brésil), Sérgio Bello vit à Paris depuis 1978. Peintre et plasticien reconnu, il débute sa carrière dans son pays natal où il rencontre un vif succès qui le mène à poursuivre ses études et son travail à Paris. Artiste engagé, ses œuvres traduisent ses préoccupations sociales et environnementales et nous invitent à la découverte d’une nature tropicale en agitation, où la faune et la flore nous interpellent sur l’urgence d’une prise de conscience écologiste. La Galerie Ricardo Fernandes s’attache à présenter l’art contemporain brésilien et latino-américain au marché européen. Elle s’inscrit dans la continuité d’un travail de plus de vingt ans, débuté par l’inauguration d’une première galerie au Brésil, puis d’une carrière à l’international où Ricardo Fernandes s’implique activement dans la promotion de ses artistes. Implantée dans le quartier du Marais, la galerie accueille diverses formes d’arts plastiques (peinture, sculpture, photographie, installations…) et s’ouvre à une large variété d’expressions artistiques contemporaines. Sérgio Bello expose régulièrement dans la capitale ainsi que dans son pays natal; toujours souriant, il ne cache pas cependant sa démarche écologique en se manifestant souvent contre l’être humain. Son immense talent reconnu par tous, arrive toujours à nous surprendre et on ne s’en lasse jamais. Le vernissage aura lieu, en présence de l’artiste, le 2 février de 18h00 à 22h00. Du mardi au samedi, de 11h00 à 19h00 Galerie Ricardo Fernandes 7 rue Vertbois, Paris 3ème Pintura Fundação Arpad szenes-Vieira da silva junta “Amigos de paris” em exposição A Fundação Arpad Szenes-Vieira da Silva, em Lisboa (Praça das Amoreiras 58), em colaboração com o CAMFundação Calouste Gulbenkian, inaugura neste dia 26 de janeiro a exposição “Amigos de Paris” com obras de Lourdes Castro, René Bertholo, José Escada e Jorge Martins, comissariada por Ana Vasconcelos e Melo e Marina Bairrão Ruivo. A exposição, que vai estar patente ao público até 15 de abril, reúne obras de quatro artistas que tiveram uma ligação especial ao casal Szenes, pela amizade e pela orientação artística. Arpad Szenes (em 1925) e Vieira da Silva (em 1928) optaram por sair dos seus países de origem para viver em Paris, motivados pelas necessidades de uma pintura cada vez mais exigente e pelo estímulo cultural e intelectual da cidade. Conheceram o exílio no Brasil (1940-1947) e permaneceram apátridas até 1956, ano em que lhes foi concedida a nacionalidade francesa. O casal manteve sempre um contacto regular com artistas e intelectuais portugueses, nas visitas a Portugal ou em Paris, onde eram frequentemente procurados. Nos anos 50 a sua pintura atinge a maturidade e ganha notoriedade em França e no estrangeiro, enquanto o clima cultural em Portugal é marcado pelo isolamento, pela censura e pela estética modernista própria do regime e da sua ideologia repressiva, pela ausência de possibilidades no ensino, no mercado e nas instituições. O desejo de renovação cultural e artística, a procura da possibilidade de trabalhar ou a recusa em participar na guerra colonial (1961-1974) levaram uma geração de jovens artistas portugueses a abandonar o país. A generosidade de Maria Helena Vieira da Silva e de Arpad Szenes era conhecida, em especial para com os jovens artistas portugueses que chegavam a Paris com poucos recursos. O casal interessava-se pelas suas experiências pictóricas, providenciava discretamente para que não lhes faltassem materiais, visitava os seus ateliês e convidava-os regularmente para sua casa, oferecendo-lhes um desenho ou um guache para poderem vender quando a necessidade era mais premente. Por seu lado, também os jovens artistas ofereciam obras suas ao casal. Lourdes Castro (1930) e René Bertholo (1935-2005) partiram para Munique em 1957, mudando-se pouco depois para Paris, onde permaneceram até ao final da década de 70. Aí fundaram o grupo KWY, junto com Costa Pinheiro, Gonçalo Duarte, João Vieira, José Escada, Jan Voss e Christo, do qual resultou uma revista com o mesmo nome, editada em doze números. Arpad Szenes e Vieira da Silva assinaram a revista desde o primeiro número e nela colaboraram, com a cedência de matrizes para a edição de serigrafias. Lourdes Castro prosseguia a sua pesquisa sobre a representação da sombra, que em 1964 se materializou no recurso ao plexiglas (mais tarde projetando a representação das sombras em lençóis), após ter realizado (1961-1963) objetos-caixas com assemblagem de diferentes objetos de utilização quotidiana e consumo corrente. Foi em Paris que René Bertholo construiu a sua linguagem. Adepto da edição de múltiplos (serigrafia, litografia, edições de artistas), dedicouse nos primeiros anos à revista KWY. Após uma fase de aprendizagem abstrata, equaciona a relação entre figuração e abstração na pintura, introduzindo num discurso neo-figurativo irónico e poético, figuras e motivos da vida quotidiana, numa espécie de inventário da realidade e dos seus símbolos. Após 1965, os objetos pintados passam a objetos e mecanismos tridimensionais com pequenos motores elétricos que provocam movimentos lúdicos e repetitivos, também estes múltiplos por opção. José Escada (1932-1980), juntou-se ao projeto da revista KWY, desde Lisboa. Em 1959 ganha uma bolsa da Gulbenkian para estudar pintura em Paris, tendo como orientadores Maria Helena Vieira da Silva e Arpad Szenes. Chega a Paris no início de 60, dedicando-se ao desenho e a aguarela, em exercícios caligráficos imaginários. As composições labirínticas são transpostas para dobragens de papel simétricas, também elas obsessivas, que conduziram a uma pesquisa relacionada com o corpo humano. O seu trabalho confundiuse com a procura metafísica do artista e sua busca de ordem jamais teria fim. Jorge Martins (1940) foi para Paris em 1961, não integrou o grupo KWY, nem foi bolseiro da Gulbenkian. Foi, todavia, o que permaneceu mais tempo em Paris (1961-1974; 19761991) e foi dos mais próximos de Vieira da Silva e de Arpad Szenes, trabalhando largas temporadas nos ateliês dos artistas, em Paris e em Yèvre-le-Châtel. Nos estimulantes anos 60 parisienses Jorge Martins investigou e exercitou um inventário de formas, jogos de luz e uma linguagem plástica em escultura, fotografia, pintura e no desenho - que terá um lugar determinante na sua obra. Cultura le 25 janvier 2012 15 ‘Israel’ e ‘Sonho de Uma Noite de Verão’ no Festival Standard Idéal mC93 Bobigny acolhe produções de Teatro praga Par Clara Teixeira O Teatro Praga vai estar em Paris no Festival Le Standard Idéal a convite de Patrick Sommier do MC93 Bobigny, onde vai apresentar duas das suas últimas produções: “Israel”, um one man show do criador do Teatro Praga, Pedro Zegre Penim e “Sonho de uma noite de verão”, com o apoio da Fundação Calouste Gulbenkian, da Embaixada Portuguesa em França e do Instituto Camões. Pedro Penim declarou à imprensa, não ser judeu ou ter qualquer intenção em se converter. Nasceu em Lisboa “e como muitos Portugueses, cresci com um desconhecimento global sobre os judeus e o judaísmo. Até sair da universidade não me lembro de ter conhecido ninguém que se identificasse como judeu. Não tenho qualquer interesse seja ele qual for que me possa beneficiar pelo facto de defender e gostar de Israel. Este projeto é um objeto artístico: não é propaganda, não é pedagógico, não é documental”. Tratando-se de um país que se encontra frequentemente em confronto, dando origem a um dos conflitos que mais divisão causa da comunidade internacional, Penim apresenta esta peça com cuidado. A peça é uma carta de amor ao país Israel, numa produção do Teatro Praga. “Pode-se amar um país em guerra sem ter de levar a discussão para um campo pes- antes de nós?”, mas numa vontade e necessidade de se confrontar com as respostas a essas perguntas. Os espetáculos são acontecimentos que, sem porem de lado a sua condição física de teatro (ficção), vão em busca da “responsabilidade máxima do espetador”, ou seja, de encontrar uma comunidade no meio do caos ficcional. O Teatro Praga nasceu em 1995 e está sedeado no Hospital Miguel Bombarda, em Lisboa. Em 2008, o Teatro Praga recebeu pela primeira vez um apoio de 4 anos da DGArtes. A apresentação de uma série de espetáculos em alguns dos locais de maior prestígio em Portugal, e a importância e o impacto das suas propostas artísticas, garantiram ao coletivo um grande número de convites e parcerias, o que tornou possível produções maiores e mais ambiciosas. Colabora regularmente com algumas das mais prestigiadas estruturas culturais em Portugal e tem-se apresentado em festivais e teatros de diversos países europeus (Itália, Reino Unido, Alemanha, França, Hungria, Eslovénia, Estónia e Dinamarca). “Sonho de uma noite de verão” pelo Teatro Praga DR soal? Israel é um bom exercício para admiradores e curiosos do país e da arte”. Quem quiser saber ainda mais sobre a peça, deve marcar presença no Festival Le Standard Idéal. O outro espetáculo “Sonho de uma noite de verão”, conta com a colabo- ração dos Músicos do Tejo, coproduzido pelo Centro Cultural de Belém. Baseado na peça de Shakespeare e na ópera “The Fairy Queen” de Henry Purcell. “Para quê fazer teatro quando só se pensa no Verão e no Amor”? Teatro Praga é um grupo de artistas que trabalham sem encenador e que pretendem sublinhar a irrepetibilidade da prática teatral. São sempre diferentes, estão em constante metamorfose e sujeitam-se a variações imprevisíveis deles próprios. O grupo encontra a sua diferença e identidade não em perguntas como “O que é que nós fazemos?” ou “O que foi feito “Israel” - dia 3 de fevereiro às 20h30, dia 4 de fevereiro às 17h30 e dia 5 de fevereiro às 15h30 “Sonho de uma noite de verão” - dia 4 de fevereiro às 20h00, dia 5 de fevereiro às 15h30 e dia 6 de fevereiro às 20h00 Théâtre: «A Paixão de Ajuricaba» Fin de la tournée du TesC de manaus en France Par Dominique Stoenesco Pari gagné par l’association «Les ateliers du moulin» et succès amplement mérité pour la Compagnie du TESC de Manaus qui vient d’achever une tournée de deux semaines en France avec la pièce «A Paixão de Ajuricaba», écrite et mise en scène par l’écrivain brésilien Márcio Souza. Cette pièce raconte l’histoire tragique du chef indien Ajuricaba qui organisa la résistance contre les colonisateurs européens au XVIIIè siècle dans le Haut Rio Negro. La valorisation des cultures indigènes, l’intégration de leur imaginaire et la réhabilitation de leur mémoire sont quelques-unes des singularités du théâtre indigène créé par Márcio Souza. La Compagnie du TESC (Théâtre Expérimental, subventionné par le SESC - Service social du secteur commercial de Manaus) est composée principalement de jeunes étudiants issus des milieux défavorisés. Faisaient partie de la troupe en tournée les acteurs Daniely Peinado, Carla Menezes, Efraim Mourão, Sidney Fernandes, Robson Ney Costa, Emerson Nascimento et Dimas Mendonça, ainsi que le technicien lumière Jorge Trindade Carneiro et le producteur Robson Medina. Ce que l’on note d’emblée dans cette pièce est une mise en scène assez sobre rendant le texte de Márcio Une des scènes de la pièce LusoJornal / Dominique Stoenesco Souza encore plus fort et plus beau. À travers un discours à la fois dramatique et libertaire, lyrique et ironique, l’auteur crée une tension permanente jusqu’à la fin de la pièce. Durant sa tournée en France, le TESC a donné quatre représentations de «A Paixão de Ajuricaba». Le 11 janvier, au Théâtre de l’ADEC, à Rennes. Cette activité théâtrale a précédé la Journée d’études sur la littérature brésilienne qui eut lieu à l’Université de Rennes 2 et à laquelle participaient Márcio Souza, ainsi que Brigitte Thiérion, traductrice de «A Paixão de Ajuricaba» et chercheur associée à l’université. Brigitte Thiérion, avec Rita Godet, Directrice du Département de langue portugaise de Rennes 2, sont à l’origine de cette tournée du TESC en France. Dans la capitale bretonne, comme dans les autres villes-étape du groupe, des rencontres et des échanges eurent lieu entre l’auteur, les comédiens et des étudiants d’art dramatique. Ce fut l’occasion d’aborder la création théâtrale contemporaine et aussi de confronter les manières de pratiquer cet art au Brésil et en France. À Toulouse, «A Paixão de Ajuricaba» fut jouée le 15 janvier au Théâtre Jules Julien, devant un vaste public et le lendemain devant plus de 300 élèves. Outre la dimension humaine de ce projet, il y avait aussi l’aspect pédagogique et la volonté de parler de l’Amazonie loin des clichés exotiques. Ainsi, parallèlement au théâtre, une exposition intitulée «Dialogues amazoniens» fut organisée à la Bibliothèque centrale de l’Université du Mirail par les élèves du Lycée des Métiers d’art du bois et de l’ameublement de Revel. Visible jusqu’au 27 janvier, cette exposition nous invite à interpréter l’Amazonie au travers des métiers d’art du bois. Par ailleurs, dans cette même bibliothèque, une rencontre et des débats extrêmement riches eurent lieu entre Márcio Souza et de très nombreux étudiants. Enfin, le 19 janvier, le TESC était au Théâtre Antoine Vitez de l’Université d’Aix-en-Provence, puis le lendemain l’auteur de la pièce était également invité à une rencontre littéraire au Département de langue portugaise. À la veille du retour du groupe au Brésil, Márcio Souza nous fit part de son appréciation très positive concernant aussi bien l’accueil des organisateurs que le vif intérêt des étudiants et du public en général pour les questions liées à la culture et à l’histoire de l’Amazonie. On pourra aussi mieux connaître cet épisode de l’histoire du Brésil en consultant le livre «Ajuricaba, le guerrier des forêts», de Márcio Souza, traduit par Brigitte Thiérion (éd. Les ateliers du moulin, Toulouse, 2011, 80 p.). [email protected] lusojornal.com 16 Cultura le 25 janvier 2012 Literatura em síntese Fotos de pierre gonnord em lisboa Uma exposição intitulada “Políptico” com fotografias de do fotógrafo francês Pierre Gonnord, vai estar patente ao público entre os dias 26 de janeiro e 24 de abril no BES Arte & Finança, em Lisboa (Praça Marquês de Pombal nº3). Na exposição participam outros fotógrafos como Carmela García, Cristina Lucas, José Luís Neto, José Maçãs de Carvalho e Pedro Cabral Santo. “Políptico” é uma exposição de fotografia integrada na 2ª edição do Interferências – Mostra Pública de Arte, evocativa dos Painéis de São Vicente de Fora, aqui reinterpretados em versão fotográfica e reportados à sociedade portuguesa de hoje, com comissariado de Nuno Aníbal Figueiredo e D. André de Quiroga. exposição “les portugais à paris” de irene Bonacina romance “A noite das mulheres Cantoras” de lídia Jorge, publicado em França O mais recente romance da escritora Lídia Jorge, “A Noite das Mulheres Cantoras”, foi publicado em França na quinta feira da semana passada com chancela da Métailié, anunciou a editora portuguesa Dom Quixote. Traduzido por Geneviève Leibrich e intitulado na edição francesa “La Nuit des Femmes qui Chantent”, trata-se de um romance sobre a construção do êxito e respetivas consequências, em que a escritora conta a história de uma banda dos anos 1980 vista de dentro e narrada 21 anos depois, em monólogo. A Métailié, responsável pela publicação em França da obra de Lídia Jorge, apresenta assim a obra e a autora: “Romancista no auge da sua arte, com domínio perfeito de uma linguagem refinada e subtil, que nos conduz ao mais profundo dos sentimentos e às histórias das mudanças de uma sociedade, Lídia Jorge escreve aqui um romance poderoso e límpido”. Em entrevista à Lusa em março deste ano, quando “A Noite das Mulheres Cantoras” foi lançado em Portugal, a escritora revelou que o livro se centrava num “grupo de cinco raparigas com uma ambição normal mas que se torna desmedida em relação àquilo que elas podem realizar” e se tecia “em torno dessa relação de poder que se estabelece no interior do grupo e da sua relação com a sociedade que a envolve”. “É um romance, de certa forma, de geração - definiu -, é um livro de instrução em torno da construção de figuras muito jovens que aprendem a viver e se tornam adultas sob o efeito do impacto dos seus atos em relação a um projeto que as ultrapassa”. No início do livro, numa espécie de declaração de intenções, Lídia Jorge - ou, melhor dizendo, a narradora, Solange de Matos, a letrista da banda - escreve que esta é a história de um bando mas que através dela se conta também a história de um povo e explica: “A relação que elas têm com o mundo que as rodeia dá conta daquilo que foi uma geração ao longo de 21 anos. No fundo, há aqui o eco daquilo que o país foi e se foi tornando”. Passa-se no final dos anos 80 do século XX a ação principal do romance, mas “há uma outra ação narrada nos nossos dias por uma delas, Solange de Matos, que foi quem ficou para contar”, resumiu. Lídia Jorge DR «l’étrange affaire Angelica» de manoel de oliveira sort en DVD O Consulado-Geral de Portugal em Paris inaugura na próxima sextafeira, dia 27 de janeiro, a exposição de desenhos “Les Portugais à Paris” da artista plástica Irene Bonacina. Esta exposição dá-nos a possibilidade de vermos os originais dos desenhos que Irene Bonacina fez para o livro “Os Portugueses em Paris - ao longo dos séculos e por bairro” escrito por Agnés Pellerin, com a colaboração de Anne Lima e Xavier de Castro. Lançado pela editora francesa Chandeigne, o livro tem por objetivo “mostrar que a presença portuguesa em França é muito antiga” e dá-la a ver “na vertente cultural, económica e social de uma forma divertida e descontraída”, refere o editor Michel Chandeigne. A exposição pode ser vista até ao próximo dia 15 de fevereiro, das 8h00 às 18h00, nas instalações do Consulado Geral de Portugal em Paris (6 rue Georges Berger, em Paris 17). lusojornal.com Le DVD du film «L’étrange affaire Angelica» de Manoel de Oliveira (sélection officielle sur Un certain regard au Festival de Cannes) vient de sortir en France en ce début janvier. Une nuit, Isaac, jeune photographe et locataire de la pension de Dona Rosa à Régua, est appelé d’urgence par une riche famille, afin de faire le dernier portrait de leur fille Angélica, une jeune femme morte juste après son mariage. Dans la maison en deuil, Isaac dé- couvre Angélica et reste sidéré par sa beauté. Lorsqu’il porte à son œil l’objectif de son appareil photo, la jeune femme semble reprendre vie, pour lui seul. Isaac tombe instantanément amoureux d’elle. Dès lors, Angélica le hantera nuit et jour, jusqu’à l’épuisement. Le film dure 95 minutes, en portugais, sous-titré en anglais et en français, est joué par Ricardo Trêpa, Pilar López de Ayala, Leonor Silveira et Luís Miguel Cintra, entre autres. Mais le DVD dure 150 minutes car il y a, en bonus, un court-métrage co-réalisé par Manoel de Oliveira et Jean Rouch «En une poignée de mains amies». Il y a aussi l’avant-première du film «L’étrange affaire Angelica», des interviews exclusives de Manoel de Oliveira et Ricardo Trêpa, la filmographie du réalisateur, une galerie photos et les bande-annonce. Concernant l’actualité de Manoel de Oliveira, son prochain film, «Gebo et l’Ombre», sortira en France, courant 2012. Filmes portugueses e brasileiros no Festival de Clermont Ferrand A Agência da Curta Metragem estará presente na próxima edição do Mercado da Curta-Metragem de Clermont-Ferrand, que terá lugar entre os dias 27 de janeiro e 4 de fevereiro, inserido no 34º Festival Internacional de Curta Metragem de Clermont-Ferrand, o maior e mais importante festival europeu de curtas metragens. Para a Competição Internacional deste certame estão selecionados dois filmes portugueses: o documentário “Água Fria” de Pedro Neves e a animação “Fado do Homem Crescido” de Pedro Brito. “Água Fria” é um documentário de 13 minutos de Pedro Neves, que assina também a montagem, sobre a romaria de São Bartolomeu do Mar, em Esposende, e já tinha sido selecionado, no ano passado, para o festival Doclisboa. Já “Fado do Homem Crescido” (07:20), de Pedro Brito, é uma ficção em animação, produzida pela Animanostra, a partir de um argu- mento de João Paulo Cotrim, com música de João Lucas e voz off do músico António Zambujo. A participação da Agência da Curta Metragem em Clermont-Ferrand é apoiada pelo Instituto Camões, Embaixada de Portugal em Paris e dos vinhos Niepoort. No festival participam também três filmes brasileiros: “A fábrica” de Alysson Muritiba, “Alcides” de Gabriel Martins (competição internacional) e “O Céu no Andar de Baixo”, de Leonardo Cata Preta (competição Labo). Uma delegação brasileira estará presente em Clermont-Ferrand, composta por António Leal, Diretor de Cine-Foot (festival de filmes de futebol), Ailton Franco Jr. e de Paulo Jr., de Festival internacional de curtasmetragens de Rio de Janeiro, Beth Sá Freire e Zita Carvalhosa, do Festival internacional de curtas-metragens de São Paulo e Tetê Mattos, Diretora do Festival Araribóia Cine. Cultura le 25 janvier 2012 17 Fado Concert de mísia au Bataclan de paris Mísia, une des plus grandes interprètes du Fado contemporain sera en concert le mardi 31 janvier, au Bataclan, à Paris, pour présenter son dernier album “Senhora da Noite”, édité en France en novembre de 2011. “Senhora da Noite”, le dixième album de Mísia est un retour au Fado traditionnel avec une mise en scène plus intimiste, imprégnée de l’émotion de la chanteuse, après 20 ans de carrière marqués par «Mísia» en 1991 et «Ritual» en 2001. Les musiques traditionnelles sont au cœur de ce projet, avec des textes écrits exclusivement par des femmes - poétesses, écrivaines (Agustina Bessa Luís, Natália Correia, Lídia Jorge,…), chanteuses ou fadistes ellesmêmes, comme Amália Rodrigues, Amélia Muge, ou bien Mísia en personne. Pour la première fois dans l’histoire du Fado, voici un album dans lequel la femme n’est pas seulement la muse ou la chanteuse: elle est auteur et créatrice. Tous les textes de cet album sont écrits spécialement pour la voix de Mísia, comme il est d’usage dans tous ses disques, à l’exception de certains poèmes choisis dans l’œuvre d’écrivaines disparues. Les musiques du vieux Fado traditionnel seront portées, au-delà du trio de guitare, par les lignes mélodiques de l’accordéon, du piano et du violon, des instruments que Mísia a introduits dans son Fado depuis ses premiers enregistrements et qui constituent sa “sonorité”. Selon le dossier de presse de la chanteuse, au Bataclan, Mísia sera accompagnée au piano par Carlos Azevedo, qui a fait les arrangements musicaux, Bernardo Couto (guitare portugaise), Carlos Manuel Proença (viole de fado), Luis Cunha (violon), Pedro Santos (accordéon), et les artistes invités João Bengala et Manuel Rocha. O músico e cantor caboverdiano Rui Lima esteve no sábado passado em Gennevilliers (92), numa festa organizada pela associação caboverdiana local, recentemente criada. Apesar de também dirigir o projeto “Rui Lima Band”, de música tradicional caboverdiana, em Gennevilliers, Rui Lima apresentou o seu trabalho a solo e alegrou a noite. “Estamos muito felizes pelo bom desenrolar da primeira festa da nossa associação” disse ao LusoJornal o Presidente Orlando Dias. “Temos como objetivo divulgar a cultura caboverdiana através da nossa música, como é o caso hoje com o Rui Lima que é um dos Embaixadores da nossa música”. Também Rui Lima se mostrou contente com a noite. “Foi com muito prazer que pude apresentar o meu show com os meus músicos e quero agradecer a todos os que estiveram presentes e que vibraram com as minhas músicas, bem como a toda a organização que me fez confiança” disse ao LusoJornal, visivelmente contente com o espetáculo. “Vamos organizar regularmente eventos destes para que possamos reunir cada vez mais a nossa Comunidade” prometeu Orlando Dias. Rui Lima em concerto LusoJornal / Paulo Matos Discos o “Chapéu ao Contrário” de nelson Costa Por Joaquim Pereira Com 20 anos de idade, o jovem Nelson Costa editou mais um álbum de música popular portuguesa, inspirada nas suas raízes minhotas, intitulado “Chapéu ao Contrário”. Nelson Costa nasceu em França, onde sempre viveu, mas desde os três anos de idade que carrega com uma concertina, influenciado pelo pai. “Aprendi a tocar de ouvido, quando ainda mal podia com a concertina” disse ao LusoJornal. Desde sempre frequentou grupos de folclore, onde sempre tocou, com o pai. “Digamos que o meu pai me motivou, me ensinou as bases, mas depois eu ultrapassei o nível dele” (risos). Este não é o primeiro trabalho gravado por Nelson Costa. Com 11 anos gravou uma cassete com um título sugestivo: “O mais novo tocador do Alto Minho”. Depois, com 14 anos grava um segundo trabalho “Nelson Costa e a sua concertina 2”. Dois anos mais tarde grava com Filipe Pedrosa, filho do grande afinador de concertinas Carlos Pedrosa” e aos 17 anos é convidado a gravar no primeiro disco de “Mike da Gaita”. Com 18 anos compõe o tema “Maria Nelson Costa com a sua concertina LusoJornal / Joaquim Pereira Prepara o Pito” e depois seguiram outros que o levaram aos palcos tanto em França, como noutros países. “No ano passado tive um espetáculo em Nova Iorque, na América, e por acaso passou um rapaz com um chapéu ao contrário. Eu nunca tinha visto isso, então fui lá a uma loja, mandei fazer um chapéu com o meu nome, vim para as terras de Paris e o pessoal começou a achar piada” conta ao LusoJornal. Foi assim que decidiu fazer a tal música do “Chapéu ao contrá- rio” que deu origem ao nome do álbum, que já foi apresentado ao público aquando de um concerto em Eiras, nos Arcos de Valdevez, no dia 15 de agosto do ano passado. São 12 temas, todos de música popular portuguesa, todos com letra e música da autoria de Nelson Costa, que entretanto fundou a sua própria banda e não tem parado de fazer concertos desde setembro do ano passado. “Não temos um único fim de semana para descansar” confessa oquestrada à l’Alhambra de paris Por Mário Cantarinha Le mardi 31 janvier Bataclan 50 boulevard Voltaire 75011 Paris música: show de rui lima em gennevilliers Por Paulo Matos em síntese ao LusoJornal. O grupo chama-se Nelson Costa e sua Banda e é composta por 9 elementos, três tocadores de concertina, um teclado, um baterista e duas bailarinas. No disco canta também com o pai, uma “cantiga ao desafio”, uma desgarrada entre pai e filho, “onde o pai quer atacar o filho e onde o filho quer atacar o pai”. “Mas sempre na brincadeira, guardando a piada das cantigas à desgarrada” esclarece Nelson da Costa. O pai acusa o filho “de arranjar sempre raparigas na internet” e o filho diz que o pai “anda sempre com a mesma velha - a velha é a minha mãe - e come sempre na mesma pia”. “São brincadeiras que saem na hora. As cantigas à desgarrada não podem ser escritas, têm de ser mesmo improvisadas na hora” diz Nelson Costa. “Naquele dia saiu assim, o pessoal que estava no estúdio fartou-se de rir” e assim ficou no disco. Nelson Costa está já a programar um novo disco, a gravar em fevereiro e a ser editado no próximo verão. “Sempre com temas malandrecos” garante “mas um disco mais maduro e mais completo”. Le vendredi 20 janvier, à l’Alhambra de Paris, plus de 300 personnes (salle pleine) ont fait le déplacement pour écouter les OqueStrada, ce groupe lisboète formé au début des années 2000, qui s’inspire des musiques qui viennent de loin, des banlieues de Lisboa, des bals et des bars, des lieux canailles. Les OqueStrada en concert c’est une chanteuse à voix, Marta, une “contre bassine”, des cuivres et un accordéon, unis pour un show tonique, entre numéros de charme et rythmes déjantés. Avec tous ces rythmes, le publique aussi a déjanté e a dansé. L’ambiance était si forte que le public a rappelé à deux reprises la chanteuse et les musiciens. On dirait qu’il souhaitait rester jusqu’au petit matin, comme dans les bars et fêtes portugaises. António Zambujo em seis palcos franceses António Zambujo acabou ontem uma digressão por seis palcos franceses para apresentar “Guia”, considerado um dos dez melhores álbuns de 2010 na área das músicas do mundo, pela revista britânica Songlines. António Zambujo começou a digressão em Cenon integrando o cartaz do Festival de músicas do mundo Le Rocher de Palmer. Depois esteve em Bayonne, seguindo-se Villejuif, La Courneuve, Saint Cloud e Limoges. lusojornal.com 18 Associações le 25 janvier 2012 Pontault-Combault boa notícia palavras, leva-as o vento O Evangelho do próximo domingo, dia 29, apresenta-nos uma das profissões de fé mais claras e diretas que podemos encontrar nas páginas do Novo Testamento: “Sei quem Tu és: o Santo de Deus”. E quem o diz? Surpresa das surpresas, um homem que a Bíblia descreve como um endemoninhado, uma pessoa possuída por “um espírito impuro”. Sabemos que no tempo de Jesus, todas as doenças (físicas e mentais) eram consideradas de origem “demoníaca”. Isto não significa que não hajam alguns casos (muito raros e muito delicados) que desafiam a ciência médica moderna e que podem levar a Igreja a considerar a presença real de uma influência demoníaca. Mas não nos é possível determinar a natureza do mal que afligia aquele homem e nem devemos deixar que esta questão nos distraia da catequese que o texto nos quer propor. Com este episódio, aprendemos que qualquer pessoa (até um demónio) pode reconhecer o Messias e anunciá-lo aos quatro ventos! Todavia, a verdadeira fé não se vê nas palavras bonitas ou nas declarações pomposas, mas sim, numa mudança profunda de vida e no abandono de egoísmos, invejas e ódios. Não basta um “começar a ir à igreja mais vezes...”. O Evangelho diz-nos que foi precisamente na sinagoga que Jesus encontrou aquele homem. Talvez nem suspeitasse que era prisioneiro de um demónio: só a presença de Jesus foi capaz de revelar o engano e restituir-lhe a liberdade perdida. É por isso que vos repito: não basta uma mudança superficial. Não basta crer com palavras e dizer que somos cristãos: é preciso “viver a fé” e testemunhar o Evangelho com a própria vida. P. Carlos Caetano padrecarloscaetano.blogspot.com Sugestão de missa da semana Paroisse de Puteaux 33 rue Saulnier 92800 Puteaux Missa em português ao domingo, às 9h00. lusojornal.com ApCs promove atelier mensal de cozinha Por Flávia Rocha Na passada sexta feira, dia 20 de janeiro, a Associação Portuguesa de Pontault-Combault (APCS) concretizou o primeiro atelier de cozinha deste ano. O projeto tem vindo a ser executado, uma vez por mês, desde março de 2011, com o intuito de difundir a todas as Comunidades um pouco da gastronomia portuguesa. O convívio contou com a presença de 12 pessoas, não só da Comunidade portuguesa, como também da Comunidade francesa, incluindo o próprio Presidente da APCS, Mário Castilho, que disse estar presente no evento para aprender a cozinhar. A mentora desta iniciativa é Christine Pereira, que através do seu gosto de cozinhar, pretende divul- Participantes no atelier de cozinha da APCS LusoJornal / Flávia Rocha gar a sua cultura portuguesa ensinando aquilo que sabe. O seu objetivo é que cada pessoa aprenda, mas também que seja capaz de realizar em conjunto a confeção de cada receita. “É como se fossemos uma grande família, onde todos interagimos”, revelou ao LusoJornal. Os participantes mostraram-se satisfeitos com a iniciativa. “É um momento de convívio muito agradável e juntos aprendemos a cozinhar pratos típicos do nosso país”, disse Nelly Lopo, participante da atividade. O Presidente da associação, Mário Castilho, divulgou que “tem sido uma ação muito importante, temos sempre muitas pessoas interessadas em participar. Mas o mais surpreendente é ver a presença de muitos jovens e observar o interesse e a curiosidade que estes têm pela nossa gastronomia. Foi uma aposta que tem trazido bastante sucesso”. A escolha do menu é feita com a devida antecedência, à qual todos os inscritos têm, também, a possibilidade de o poder fazer. O atelier terminou com a degustação das culinárias. Clermont-Ferrand mantém tradição do Dia de reis Por Sheila Ferreira Os Camponeses Minhotos de Clermont-Ferrand, associação folclórica e cultural, mantém as tradições do Dia de Reis que começa no dia 5 de janeiro e se prolonga até ao dia 20. Com efeito, desde a sua criação, em 1980, os membros desta associação juntamse para festejar este período de festa e de alegria. Em que consistem essas tradições? Os Camponeses Minhotos vão todos os fins de semana, pela noite, pelas portas das casas dos Portugueses, cantar os Reis. São canções tradicionais da vida de Jesus e saudações à família e aos donos da casa. Como sempre, o canto é acompanhado com instrumentos populares, como o acor- Cantares dos Reis em Clermont-Ferrand LusoJornal / Sheila Ferreira deão, o bombo, a viola, os ferrinhos, a pandeireta,... As mulheres vestem o tradicional lenço de folclore minhoto, para dar vida e cor à festa. Depois de cantarem, os donos da casa convidam os “reizeiros” para entrar e oferecemlhes comida e bebida. No último dia, dia 20 de janeiro, Os Camponeses Minhotos acabam o percurso nas instalações da Rádio Altitude, a rádio associativa portuguesa de Clermont-Ferrand, para partilhar a festa com toda a Comunidade portuguesa. “Gosto muito do ambiente dessas festas. Estamos com a família, os amigos, a passar bons momentos. É um prazer de partilhar a nossa alegria com outras pessoas” disse uma jovem lusodescendente ao LusoJornal. “Acho importante de manter estas tradições dos Reis”. Os jovens também participam nesse evento e cada ano estão mesmo mais presentes. Um fato importante que nos deixa pensar que as tradições do Dia de Reis vão continuar por alguns anos ainda. Organizado pela associação Convergência muita gente no convívio de folclore de montreuil Por Joaquim Pereira Foi numa Escola Diderot a abarrotar, com muitos Portugueses, que teve lugar no domingo passado, mais um convívio folclórico organizado pela associação Convergência de Montreuil (93). Regularmente a associação consegue mobilizar muita gente, mas no domingo passado, a sala estava particularmente cheia. Por lá passaram os grupos Rosas de Portugal de Montreuil, Amicale FrancoPortugaise de Châtenay-Malabry, Aldeias de Portugal de Fontenays/Bois, Províncias do Minho de Chelles, mas também o grupo das concertinas da associação. “Todas as sextas-feiras um grupo de 17 tocadores de concertina juntam-se à volta do Senhor Magalhães” explica ao LusoJornal António Silva, o Presidente da coletividade. Muita gente no convívio da associação Convergência LusoJornal / Mário Cantarinha A associação foi criada há 27 anos, mas muitos dos fundadores ainda pertencem aos corpos gerentes atuais. O grupo de folclore, Rosas de Portugal, tem cerca de 55 mem- bros, desde os mais pequeninos com 7 anos, até outros com 65 anos ou mais. “Não é um grupo federado. O grupo está bom, mas a Federação pede coisas que é difícil de introdu- zir no grupo” explica António Silva ao LusoJornal. No entanto explica que “há muito rigor” no grupo. “Estamos a representar uma região bem específica, o Baixo Minho” diz o Presidente. “Há elementos da Federação de Folclore Português que já nos disseram que estamos bem trajados e dançamos melhor do que alguns grupos federados, mas eu sinto que ainda não chegou o momento de pedir a afiliação do grupo” declara ao LusoJornal. Os dirigentes não toleram brincos, piercings e relógios nos elementos do grupo. “Estamos aqui para representar as tradições antigas e não as modernas, por isso essas coisas não se vêm no nosso grupo”. António Silva é originário do distrito de Viseu e mora em França há 45 anos. No domingo viveu mais um dia feliz, porque estava muita gente na festa de Montreuil. PUB Desporto 20 le 25 janvier 2012 Automobilismo Armindo Araújo 10º no rali de monte Carlo em síntese Foi criada a Associação portuguesa de sueca Por Jorge Campos Mini de Armindo Araújo no Rali de Monte Carlo DR O organizador do Campeonato de sueca na região de Lyon, Manuel dos Santos, decidiu criar uma associação com o nome “Associação Portuguesa de Sueca”. “Após cinco anos de existência do Campeonato, tinha de formalizar e declarar na Préfecture toda esta organização, até para gerir as finanças, ter uma conta no banco e funcionar o mais transparente possível” explicou ao LusoJornal. “Hoje estamos só três pessoas na direção, eu como Presidente, a minha filha Elisabeth dos Santos, Secretária-Tesoureira, e o Mário Loureiro, que me ajuda no terreno, mas se o Campeonato crescer, tenho que apelar a outras pessoas”. Manuel dos Santos põe em evidência “um histórico de cinco anos” e garante que “estes encontros ao nível associativo são muito apreciados”. “Quero também informar que os fundos do saldo positivo das contas de fim de ano, não utilizados na organização e eventos da associação, serão utilizados em ajudas caritativas e obras sociais. São os nossos objetivos e isto também em acordo com as associações que participam no Campeonato pois são elas que é claro cotizam para participarem, nesta única, por enquanto, atividade da associação” declarou ao LusoJornal Manuel dos Santos. PUB Após cinco dias de competição e percorridos mais de quatrocentos quilómetros de especiais, Armindo Araújo e Miguel Ramalho concluíram o Rali de Monte Carlo com um positivo 10° lugar da geral, numa prova ganha pelo francês Sebastien Loeb (Citroen), oito vezes Campeão do mundo. A correr pela primeira vez na mítica prova monegasca, a dupla portuguesa do Mini JCW WRC iniciou a época 2012 com o pé direito, alcançando o primeiros pontos da tempo- rada para a classificação individual e também para o Campeonato de equipas/marcas. Na última especial de 5,16 quilómetros, Armindo Araújo jogou pelo seguro e não arriscou em demasia durante toda a “Power Stage” de Ste Agnés, Col de la Madone. “Fizemos a última classificativa num bom ritmo mas não queríamos correr riscos desnecessários e comprometer o bom trabalho que realizámos até aqui. Sabíamos que seria muito difícil anular a diferença para o Martin Prokop e que a nossa posição dentro do top-ten estava já assegurada. Foi muito bom ter conseguido terminar nos pontos, logo na nossa estreia no Rali de Monte Carlo”, começou por dizer o piloto português, minutos depois de ter passado pelo pódio final instalado no Mónaco. As inúmeras alterações das condições atmosféricas e as características únicas de uma prova como o Rali de Monte Carlo foram, para a dupla da equipa Armindo Araújo World Rally Team, um grande desafio. “Este rali é mítico pelos motivos que todos conhecem e mostrou-se este ano uma verdadeira maratona. Durante cinco dias tivemos que gerir, da melhor forma, situações que nunca tínhamos experimentado” e acrescenta: “Espero regressar cá no próximo ano e voltar a sentir este ambiente fantástico de Monte Carlo”. Taça de França 16° avos-de-final o Bordeaux não ganhou para o susto em Créteil Por Alfredo Cadete Créteil/Lusitanos (N) 1 - Bordeaux (L1) 1 (2-2 a/p e 3-4 g/p) Jogo no estádio Dominique Duvauchelle, em Créteil Espetadores: 11.000 Árbitro: Turpin Clement, auxiliado por Danos Nicolas e Haquette Frederic Golos: Créteil/Lusitanos: Marcel Assombée (77’ e 90+5’). Bordeaux: Míckael Ciani (60’) e Henri Saivet (111’) Ação disciplinar: Créteil/Lusitanos: Nirlo (87’) e Lesage (108’). Expulsão: Lesage (108’) Créteil/Lusitanos: Tibault Ferrand; Lafon, Di Bartolomeu, Gondouin e Tomas; Nirlo, Laifa (Emssobé, 70’), Dabo (Da Cruz, 79’), Lesage e Partouche (Djellilahin, 51’); Hélder Esteves Treinador: Jean-Luc Vasseur Bordeaux: Cédric Carasso; Mariano, Planus, Ciani e Tremoulinas; Nguemo, Sertic (Beu Khaljallah, 91’), Plasil, Obraniak (Saivet, 83’) e Goufrain (Bellon, 98’); MauriceBelay Treinador: Francis Gillot Ao intervalo (0-0) Ambiente de euforia, foi o que se viveu durante cento e trinta minutos no estádio Dominique Duvauchelle no jogo entre a equipa lusogaulesa do Créteil/Lusitanos (13° no Campeonato Nacional) e o Bordeaux (9° na Liga 1), que teve lugar no passado sábado e que contou para os 16° avos Taça de França. Onze mil e duzentos espetadores, foi a mesma moldura humana que esteve presente neste mesmo estádio, aquando do jogo que contou também para a Taça de França, entre os Lusitanos de St Maur do Presidente Armando Lopes, e o Bordeaux de Pedro Pauleta e Bruno Basto. Só que neste encontro quem levou a melhor foram os homens do então Presidente Armando Lopes, que eliminou o Bordeaux (2-0). Ferrand e Essombé os homens do jogo Quanto ao jogo, se em campo havia duas equipas de escalões diferentes, a verdade se diga, que essa diferença quase nem se notou. O Créteil/Lusitanos começou por entrar bem no jogo com Lesage a ameaçar logo nos primeiros minutos a baliza de Cédric Carrasso, para mais tarde pertencer ao Bordeaux duas excelentes ocasiões, uma delas a levar a bola a bater no poste à guarda de Tibault Ferrand. No segundo tempo, tudo se modificou com ambas as equipas a procurarem o golo da tranquilidade que veio a pertencer ao Bordeaux, por Mickael Cianic (60’) no aproveitamento de um pontapé de canto a cabecear e fazer o primeiro golo. Um golo que não assustou Jean-Luc Vasseur, já que de imediato fez saltar do banco o novo reforço, Marcel Essembé, que não tardou a se estrear com a sua nova camisola, marcando o golo do empate (1-1) (77’), fazendo vibrar os onze mil e duzentos espetadores que logo começaram acreditar que a surpresa poderia acontecer. Mas não. Estava-se nos minutos finais, quando numa confusão dentro da grande-área de Tibault Ferrand, em que o árbitro não hesitou em assinalar grande penalidade, que Tibault Ferrand negou, obrigando os 22 atores a forçado prolongamento com mais um golo para cada lado (22), até que se teve que recorrer à marcação de grandes-penalidades para se encontrar o feliz contemplado que acabou por ser o Bordeaux (3-4). Agora o Campeonato Se o Bordeaux seguiu em frente para os oitavos-de-final, em que os seus adeptos não ganharam para o susto, resta agora aos homens do Presidente Armando Lopes pensarem a sério no Campeonato que regressa esta sexta-feira, com a 22ª jornada e com a receção do Épinal. Já agora um referência para dois jogadores do Créteil/Lusitanos: o guarda-redes Tibault Ferrand e o novo reforço Marcel Essembé. O primeiro por ter evitado que o jogo terminasse dentro do tempo regulamentar ao defender o penálti a três minutos do fim, e o segundo por se ter estreado com dois excelentes golos. De referir ainda que o Créteil/Lusitanos ficou reduzido a dez por expulsão de Lesage aos (114’) por acumulação do segundo cartão amarelo. Boa arbitragem. o que eles disseram no final do jogo Jean-Luc Vasseur (Treinador do Créteil/Lusitanos) “Sinto-me triste e desanimado porque os meus homens tudo deram para que continuássemos a fazer história na Taça de França. Mas os penáltis são uma roleta-russa e ela sorriu ao Bordeaux. Já agora aproveito para homenagear os meus jogadores pela coragem que tiveram e por tudo o que deram. Tudo o que espero a partir de agora, é voltar à regularidade no Campeonato”. Cédric Carasso (Guarda-redes do Bordeaux) “Se olharmos para as muitas ocasiões que desperdiçámos, não tínhamos necessidade de sofrer como sofremos. Seja qual for a equipa que tenhamos pela frente, não conseguimos ser lúcidos. Curiosamente, já é a segunda vez que passamos através das grandes-penalidades. Já é tempo de nos concentramos” concluiu. Desporto le 25 janvier 2012 21 Promotion d’Excellence - District du Rhône Feyzin remporte le derby lyonnais em síntese Par Mário Loureiro Dimanche dernier, le 22 janvier, a eu lieu au stade Jean Bouin, à Feyzin, le derby de la région lyonnaise entre les Portugais de Feyzin et ceux de Saint Fons. Feyzin remporte (3-2) cette première manche, comptant pour le Championnat de Promotion d’Excellence du district du Rhône. Dans une première mi-temps, plus ou moins équilibrée, les visiteurs, par une tête de Milifarge à l’entrée de la surface, ouvrent le score pour Saint Fons, dès la 15ème minute de jeu (0-1). Feyzin part à l’attaque mais bute sur une défense menée par Barreto, ainsi que sur la barre transversale. A la 44ème minute, les saintfoniards, sur un centre d’Ibrahim, Rodrigues, d’un tir à bout portant, aggrave le score (0-2). Dans la minute qui suit, Sanchez commet une main dans la surface de réparation. Pénalty inévitable transformé et réussi par Aklit (1-2). Dès la reprise, le même Aklit touche de nouveau la transversale. Pourtant le jeu reste équilibré jusqu’à la 65ème minute, sans véritablement d’occasion franche. A la 67ème, resultados do Futebol Amador Por : Alfredo Cadete Taça de França 16° de final Liga de Paris (11ª jornada) DSR, Grupo B Bon esprit de fair-play entre deux équipes portugaises LusoJornal / Mário Loureiro après une longue course et une hésitation du portier saintfoniard, Delbianco marque le but égalisateur (2-2). Peu de temps après, environ 2 minutes, Aklit crucifie Saint Fons en marquant le but de la victoire, dans les mêmes conditions que le but précédant (3-2). Liga de Paris A partir de là, Feyzin prend le dessus sur la rencontre mais le résultat restera figé, avec la victoire de l’équipe locale. Espérons que les Portugais de Saint Fons sauront relever la tête afin de sauver leur saison en Promotion, échelon qu’ils viennent d’atteindre cette année et souhaitons aussi bonne continuation à l’équipe de Feyzin. A noter que cette rencontre s’est déroulée dans un très bon esprit de fair-play entre deux équipes portugaises, ce qui n’est pas souvent le cas. Voleibol primeira derrota dos lusitanos poitiers na liga dos Campeões Por Alfredo Cadete Por Alfredo Cadete Com os primeiros quarenta e cinco minutos equilibrados e sem golos (0-0) e desfalcados de quatro bons elementos por lesão, o Treinador Adérito Moreira não teve outra solução que recorrer a outras alternativas do seu plantel. Mas não foi o suficiente para evitar a primeira derrota do Campeonato e do novo Ano que agora começou, sobretudo em casa do último classificado, o Ivry US. No entanto, o Lusitanos de Saint Maur continua na liderança do Campeonato DHR da Liga de Paris, uma vez que o jogo Igny-Colombienne, ficou adiado. No próximo domingo, a contar para a décima segunda jornada, o Lusitanos de Saint Maur desloca-se a Torcy para defrontar a equipa local que ocupa o 5° lugar, num jogo que o Presidente Artur Machado considera importante, dado que o Torcy é também uma das sérias candidatas ao pódio. Ao receberem na passada quartafeira e vencerem os Checos do Ceske Budejovice (3-1), os três Portugueses Carlos Teixeira, André Lopes e Nuno Pinheiro ao serviço do Poitiers Volley, caribaram o passaporte para a play-off da Liga dos Campeões Europeus. Até já conhecem o próximo adversário, os russos Zénit Kazan, após sorteio realizado no Luxemburgo na passada quintafeira. PUB Quanto às datas para os quatro jogos da play-off, jogados em duas mãos, os dois jogos da primeira mão terão lugar em Poitiers, a 31 de janeiro e 2 de fevereiro, e depois na Rússia a 7 e 9 de fevereiro. Entretanto, ao vencer no passado sábado o Toulouse (3-1) - 16ª jornada do Campeonato Nacional Liga A -, e com a derrota do Tours em Cannes (3-1), o Poitiers Volley recuperou a liderança que tinha perdido na jornada anterior para o seu mais direto perseguidor, o Tours Volley. Thibaut Vion em estreia na liga portuguesa O avançado francês Thibaut Vion, jovem de 18 anos da equipa de sub-19, foi a grande novidade nos convocados do FC Porto, que recebeu domingo o Vitória de Guimarães, na 16ª jornada da Liga de futebol. Face às ausências de Hulk e Cristian Rodriguez, ambos lesionados, e de Djalma, ao serviço de Angola na CAN, o treinador Vítor Pereira chamou o gaulês, que já tinha estado nos eleitos para o embate da Taça da Liga (1-0 ao Estoril). Alfortville-Créteil/Lusitanos (c) 2-2 Classificação: 1° Les Mureaux com 41 pontos, 9° Créteil/Lusitanos (c) 14 DHR, Grupo A Ivry (b)-Lusitanos de St Maur 1-0 Classificação: 1° Lusitanos de St Maur com 37 pontos, 2° Colombienne (-1 jogo) 33, 3° Torcy 29. PH, Grupo B Chelles-Portugueses de Goussainville 0-5 Classificação: 1° Aubervilliers (b) com 37 pontos, 5° Portugueses de Goussainville 26. Liga Centro PH, Grupo B Contres-Portugueses de Bourges 3-1 Portugueses de Tours-St Avertin 1-4 Classificação: 1° St Doulchard com 35 pontos, 11° Portugueses de Bourges (-1 jogo) 18, 12° Portugueses de Tours (-1 jogo) 15. Campeonatos Distritais Val de Marne (94) Campeonato de Excellence Villejuif-Sporting Club de Paris 1-0 Classificação: 1° Paris FC (c) com 34 pontos, 2° Sporting Club de Paris 32, 3° Maisons Alfort 32. Voleibol Liga dos Campeões Europeus Poitiers-Budejovie 3-1 Apurados para a play-off: Cuneu (Itália), Poitiers (França) e Tours (França). Campeonato Nacional Liga A Toulouse-Poitiers Volley 1-3 Classificação: 1° Poitiers com 39 pontos, 2° Tours Volley 37. Agenda Desportiva Futebol Campeonato Nacional (22ª jornada) Sexta-feira, 20h00: Créteil/LusitanosÉpinal CFA (16ª jornada) Pau-Rodez (Rui Pataca) CFA 2 (14ª jornada) Grupo A: Rouen (b)-Issy FC (António Tavares) Grupo B: Reims (b)-Créteil/Lusitanos Grupo G: Chartres (Manuel Abreu)Verton Voleibol Campeonato Nacional Liga A (17ª jornada): Poitiers Volley-Cannes lusojornal.com 22 Tempo livre le 25 janvier 2012 sorTeZ De CheZ VoUs EXPOSITIONS Du 27 janvier au 15 février Exposition de dessins “Les Portugais à Paris” de Irene Bonacina au Consulat Général du Portugal à Paris, 6 rue Georges Berger, à Paris 17. Jusqu’au 30 janvier Exposition de peinture de Roxane Torrão, à la Galerie Artmonti, 10/12 rue Budé, à Paris 4. Infos: 09.77.62.09.41. Jusqu’au 7 février Exposition du peintre brésilien Favoretto, invité d’honneur de l’Hivernal de Lyon, 56e Salon d’hiver de Lyon. Palais municipal, 20 quai de Bondy, à Lyon 05. CINEMA Le samedi 11 février, 14h30 «Orfeu negro», un film de Marcel Camus, adapté d’une pièce du brésilien Vinicius de Moraes au Musée Dapper, 35 bis rue Paul Valéry, à Paris 16. Infos: 01.45.00.91.75. THÉÂTRE Janvier/février «Olá!» ‘one man show’ de l’humoriste José Cruz au Théâtre Pandora, 30 rue Keller, à Paris 11. Tous les jeudis et vendredis, à 21h00. Le dimanche 29 janvier, 17h00 «Olá!» (version en langue portugaise) ‘one man show’ de l’humoriste José Cruz au Théâtre Popul’aire, 36 rue Henri Chevreau, à Paris 20. Le mardi 31 janvier, 21h00 Lecture et Mise en jeu de textes de Clarice Lispector par la compagnie Latinomania (lecture: Sandra Teixeira, mise en espace: Smaël Benabdelouhab). Maison de l’Amérique latine, 217 boulevard Saint Germain, à Paris 7. Le vendredi 3 février, 20h30 Le samedi 4 février, 17h30; Le 5 février 15h30 “Israel”, un one man show de Pedro Zegre Penim, Teatro Praga de Lisboa (en anglais et en français), dans le cadre du Festival Le Standard Idéal, à la Maison de la Culture MC93 de Bobigny (93). Le samedi 4 février, 20h00 Le dimanche 5 février, 15h30 Le lundi 6 février, 20h00 “Sonho de uma noite de verão” par le Teatro Praga de Lisboa (en portugais, soutitré en français), en collaboration avec Músicos do Tejo, basé sur l’oeuvre de Shakespeare et l’opéra “The Fairy Queen” de Henry Purcell, dans le cadre du Festival Le Standard Idéal, à la Maison de la Culture MC93 de Bobigny (93). FADO Le vendredi 27 janvier Fado avec Diogo Rocha et Andreia Filipa, accompagnés par Filipe de Sousa et Hugo Miguel. Restaurant Sinfonia, 132 avenue Henri Ginoux, à Montrouge (92). Infos: 01.46.56.70.04. Le vendredi 27 janvier Fado avec Conceição Guadalupe, présentée par Sousa Santos, accompagnée par Manuel Corgas et Flaviano Ramos. Restaurant O Lusitano, 1 rue du Président Roosevelt, à Clamart (92). Infos: 01.46.42.58.31. Le samedi 28 janvier, 20h30 Concert de fado avec Cristina Maria, la nouvelle voix du fado et Custódio Castelo, le maître de la guitare portugaise, organisé par CapSao. Salle Molière, 18 quai de Bondy, à Lyon 5. Infos: 07.86.83.35.23. Le dimanche 29 janvier Fado avec Conceição Guadalupe accompagnée par Manuel Corgas et Flaviano Ramos, présentée par Sousa Santos et Júlia Silva. Restaurant L’Express, 148 rue Cardinet, à Paris 17. Infos: 01.53.11.57.82. Le mardi 31 janvier, 19h30 Concert de Mísia, “Senhora da Noite”, au Le Bataclan, 50 boulevard Voltaire, à Paris 11. Le vendredi 3 février, 21h00 Soirée fado avec Aristides Torres, Susana Lopes, Manuel Miranda, Maria Manuela, Diogo Rocha e Cláudia Costa, accompagnés par Manuel Miranda, Pompeu Gomes et Tony Correia, organisée par Rádio Alfa. Salle Vasco da Gama, 1 rue Vasco da Gama, à Valenton (94). Infos: 01.45.10.98.60. Le vendredi 3 février, soir Soirée Fado Vadio, avec José Rodrigues (guitare portugaise) et Zéca Afonso. Les Jardins de Montesson, 29 boulevard de la République, à Montesson (78). Infos: 01.30.71.59.85. Le samedi 4 février, 20h30 «La Nuit du Fado» organisée par la Fédération des Associations Portugaises Rhône-Alpes. Salle Espace 140, 291 rue d’Athènes, à Rillieux-la-Pape (69). Le samedi 4 février, 20h30 18° Soirée du Fado avec Isilda Miranda, Juliana Duarte, Filomena Silva et Gonçalo Mendes (fado de Coimbra), accompagnés par Artur Caldeira, Daniel Pareces et Mário Henriques. Organisée par l’Association d’amitié franco-portugaise nemourienne. Salle de Fêtes, à Nemours (77). Infos: 01.64.78.09.94. Le vendredi 10 février, 20h00 Dîner/conférence musicale avec Fado de Lisboa et Fado de Coimbra, par Manuel Mendes, organisé par l’Institut de Langue et de Culture Portugaise au Restaurant Le Canelas, à Lyon. Infos: 04.78.93.38.88. CONCERTS Le jeudi 26 janvier Concert de Ramiro Naka au restaurant Sinfonia, 132 avenue Henri Ginoux, à Montrouge (92). Infos: 01.46.56.70.04. Le vendredi 27 janvier, 19h30 Concert de choro avec Maria Inês Guimarães (piano), Bruno Wilhelm (saxophone), Paul Mindy (percussion, voix et flûte) et Dominique Muzeau (basse acoustique). Au Swan Jazz Bar, 165 boulevard du Montparnasse, à Paris 6. Le samedi 28 janvier Semba-Jazz avec Carlos Nascimento. Restaurant Sinfonia, 132 avenue Henri Ginoux, à Montrouge (92). Infos: 01.46.56.70.04. Les lundis 30 janvier, 6 et 13 février, 18h30 Apéro Luso avec Bévinda accompagnée par Gilles Clément à la guitare. Ozo, 37 rue de Quincampoix, à Paris 4. Infos: 01.42.77.10.03. Entrée libre. Le samedi 11 février, 20h30 Concert de Sara Tavares dans le cadre du Festival Au Fil des Voix, à l’Alhambra de Paris, 21 rue Yves Toudic, à Paris 10. Info: 01.40.20.40.25. SPECTACLES Le samedi 28 janvier, 21h00 Soirée «galette» organisée par le Comité de jumelage Achères-Amarante, animée par Marco et Alicia. Salle Boris Vian (face à la gare RER), à Achères (78). Entrée gratuite sur réservation. Infos: 06.10.88.01.72. Le samedi 28 janvier, 20h30 «Bruno-Michel Abati, le samba français» à La Taverne de Dada, 25 rue de la République, à St Romain au Mont d’Or (69). Infos: 04.72.42.25.19. Le dimanche 29 janvier, 12h30 Repas dansant de solidarité pour les démunis de la Communauté portugaise, organisé par l’association Agora et la Santa Casa da Misericórdia de Paris, avec Luis Manuel, Paula Soares, Dj Aníbal, Mike da Gaita, Lurdes Santana, Zé Amaro et Linda. Salle Jean Vilar, boulevard Heloïse, à Argenteuil (95). Infos: 06.24.25.79.27. avec André Sardet, Ana Ritta, Nelson Ritchie, Belito Campos, Luis Manuel, Manuel Campos, Michael & Steven, Smack e Sabrina Simões. Palais des Sports de l’Ile de Vannes, 11-15 boulevard Maréchal Paul, à Ile Saint Denis (93). Les 11 et 12 février Fête de la Radio Portugas avec plusieurs artistes: Maria Lisboa, Kassio, Paula Soares, Dyogo Douro, Hugo Sampaio, Anjos da Noite et David Garcia. Salle Polyvalente, à Saint Gilles (30). Infos: 04.66.21.61.44. FOLKLORE Le dimanche 5 février Après-midi de concertinas organisé par l’Association Musicale Franco Portugaise Ile de France et le groupe de folklore Verde Minho de Maisons-Alfort. Salle des Planètes, Centre Culturel, 149 rue Marc Sangnier, à Maisons Alfort (94). Infos: 06.68.32.17.57. Le dimanche 5 février, 14h00 Festival de folklore organisé par l’ARCOP, avec les groupes Estrelas de Portugal de Cergy-Pontoise, Casa dos Arcos da região de Paris, Flores do Lima de Villiers-le-Bel, Flores de Portugal de Puteaux, Aldeias do Minho de Malakof, Alegres do Minho de Paris 13 et Arcop de Nanterre. Salle des Congrès, rue du 8 mai 1945, à Nanterre (92). Infos: 06.07.44.86.72. DIVERS Le dimanche 29 janvier, 14h30 Torneio de Sueca, organisé par l’Association Folklorique Jeunesse Portugaise de Paris 7. Salle C3B, 54 rue Emeriau, à Paris 15. Infos: 01.45.54.06.11. Le samedi 4 février, 21h30 Fête portugaise animée par Carlos Ribeiro et son orchestre, organisée par l’ARCOP à la Salle des Congrès, rue du 8 mai 1945, à Nanterre (92). Infos: 06.07.44.86.72. Le dimanche 5 février, 15h00 Chocolat littéraire sur «La musique en toutes lettres», organisé par l’association Vagamundo et la Bibliothèque de Rosporden, 17, rue Alsace Lorraine, à Rosporden (19). Le samedi 11 février, 21h00 Festival da Comunidade e da Solidariedade, organisé par l’ACP et Dyam, Le dimanche 5 février, 13h00 «Journée Portugal» à l’Hippodrome de Paris Vincennes, à Paris. PUB ABonnemenT o Oui, je veux recevoir chez moi, ! 20 numéros de LusoJornal (30 euros) 50 numéros de LusoJornal (75 euros). Participation aux frais Mon nom et adresse complète (j’écris bien lisible) Prénom + Nom Adresse Code Postal Ville Tel. Ma date de naissance J’envoie ce coupon-réponse avec un chèque à l’ordre de LusoJornal, à l’adresse suivante : LusoJornal: 63 rue de Boulainvilliers 75016 Paris LJ 066-II lusojornal.com Tempo livre le 25 janvier 2012 TeleVisÃo | progrAmAÇÃo DA rTp inTernACionAl Quarta QuInta 25.01 08:00 Bom Dia Portugal 11:00 Praça da alegria 14:00 Jornal da Tarde 15:15 O Preço certo 16:15 Alta pressão 16:45 Portugal no coração 19:00 Portugal em direto 20:00 Ler +, ler melhor 20:15 Vingança 21:00 Telejornal 22:00 Linha da frente 22:30 Velhos amigos 23:15 Quem quer ser milionário 00:15 Grande reportagem SIC 00:45 Ler +, ler melhor 01:00 24 horas seXta 26.01 27.01 08:00 Bom Dia Portugal 11:00 Praça da alegria 14:00 Jornal da Tarde 15:15 O Preço certo 16:15 Prova dos 3 16:45 Portugal no coração 19:00 Portugal em direto 20:00 Ler +, ler melhor 20:15 Vingança 21:00 Telejornal 22:00 Portugal de negócios 22:30 Estado de graça 23:30 Inesquecível 00:45 Ler +, ler melhor 01:00 24 horas 08:00 Bom Dia Portugal 11:00 Praça da alegria 14:00 Jornal da Tarde 15:15 O Preço certo 16:15 Prova dos 3 16:45 Portugal no coração 19:00 Portugal em direto 20:00 Ler +, ler melhor 20:15 Vingança 21:00 Telejornal 22:00 Grande entrevista 22:30 Barcelona, cidade neutral 23:30 Quem quer ser milionário 00:15 Correspondentes 00:45 Ler +, ler melhor 01:00 24 horas sÁbado domInGo 28.01 29.01 terÇa 30.01 31.01 08:00 Bom Dia Portugal 11:00 Praça da alegria 14:00 Jornal da Tarde 15:15 O Preço Certo 16:15 Ingrediente secreto 16:45 Portugal no coração 19:00 Portugal em direto 20:00 Ler +, ler melhor 20:15 Vingança 21:00 Telejornal 22:00 30 Minutos 22:30 Quem quer ser milionário 23:30 Trio d’ataque 01:00 24 horas 08:00 Bom Dia Portugal 11:00 Praça da alegria 14:00 Jornal da Tarde 15:15 O Preço Certo 16:15 Venezuela contacto 16:45 Portugal no coração 19:00 Portugal em direto 20:00 Ler +, ler melhor 20:15 Vingança 21:00 Telejornal 22:00 Best of Portugal 22:30 Quem quer ser milionário 23:30 Prós e contras 02:00 24 horas 08:00 Áfric@global 08:30 Universidade aberta 09:00 Bom dia Portugal 10:00 Zig zag 11:00 Cuidado com a língua 11:15 Eucaristia dominical 12:15 Podium 13:30 Gostos e sabores 14:00 Jornal da tarde 15:15 Mais Europa 15:45 Cinco sentidos 16:45 A festa é nossa 19:30 Poplusa 20:15 Pai à força 21:00 Telejornal 22:15 Estranha forma de vida 22:45 Os compadres 23:30 Herman 2012 00:30 Novas direcções 01:00 24 horas 08:00 África 7 dias 08:30 Consigo 09:00 Bom Dia Portugal 10:00 Zig Zag 10:45 Um dia no museu 11:15 Velhos amigos 12:00 P.sem fronteiras 14:00 Jornal da Tarde 15:15 Os compadres 16:00 Desporto 2 17:30 M.memória 18:00 Atlântida (Madeira) 19:30 Austrália contacto 20:00 Prova dos 3 20:30 Novas direcções 21:00 Telejornal 22:00 Voz do cidadão 22:15 Futebol: Liga Zon Sagres 23:45 Nico à noite 00:15 A hora de Baco 00:45 Ler +, ler melhor 02:00 Notícias seGunda TeleVisÃo | progrAmAÇÃo DA siC inTernACionAl Quarta QuInta 25.01 07:00 SIC Notícias 08:00 Edição da manhã 10:15 Espaços e casas 10:30 Cartas da Maya 11:15 Querida Júlia 14:00 1° Jornal 15:30 Mais mulher 16:30 Imagens marca 16:45 Cartaz 17:00 Boa Tarde 19:30 Laços de Sangue 20:15 Alô Portugal 21:00 Jornal da noite 22:30 Rosa Fogo 23:15 Famashow 00:00 Volante 00:15 Gosto disto 01:00 Jornal da Noite seXta 26.01 07:00 SIC Notícias 08:00 Edição da manhã 10:15 Escape 10:30 Cartas da Maya 11:15 Querida Júlia 14:00 1° Jornal 15:30 Entre nós 16:30 Magazine 16:45 Cartaz 17:00 Boa Tarde 20:15 Alô Portugal 21:00 Jornal da noite 22:30 Rosa Fogo 23:15 Quadratura do círculo 00:15 Gosto disto 01:00 Jornal da Noite 07:00 SIC Notícias 08:00 Edição da manhã 10:15 Terra alerta 10:30 Cartas da Maya 11:15 Querida Júlia 14:00 1° Jornal 15:30 Mais Mulher 16:30 Volante 16:45 Golf report 17:00 Boa Tarde 19:30 Laços de Sangue 20:15 Alô Portugal 21:00 Jornal da noite 22:30 Rosa Fogo 23:15 Portugal 2012 Paulo Portas 00:15 Alta definição 00:45 Cartaz 01:00 Jornal da Noite sUDoKU 6 5 3 2 6 5 9 7 3 2 7 5 6 1 2 5 8 PUB 1 4 1 2 4 29.01 seGunda terÇa 30.01 07:00 SIC Notícias 08:00 Edição da manhã 10:15 Volante 10:30 Cartas da Maya 11:15 Querida Júlia 14:00 1°Jornal 15:30 Mais Mulher 16:30 Alta definição 17:00 Boa tarde 19:30 Laços de sangue 20:15 Alô Portugal 21:00 Jornal da Noite 22:30 Rosa Fogo 23:15 O dia seguinte 01:15 Jornal da Noite 07:00 SIC Notícias 08:00 Edição da manhã 10:15 Golf Report 10:30 Cartas da Maya 11:15 Querida Júlia 14:00 1°Jornal 15:30 Mais Mulher 16:30 Chakall e pulga 17:00 Boa tarde 19:30 Laços de sangue 20:15 Alô Portugal 21:00 Jornal da Noite 22:30 Rosa Fogo 23:15 Imagens marca 23:45 Vizinho, mudei a loja 00:15 Gosto disto 01:00 Jornal da Noite 07:00 Entre nós 08:00 Q. mudei de casa 08:45 Capeta 09:00 Factor K 09:15 Rebelde way 10:30 Curto Circuito 12:30 Imagens marca 13:00 Não há crise! 14:00 1° Jornal 15:30 Laços de sangue 17:00 Q. mudei de casa 17:45 Espaços e casas 18:00 Quad.do círculo 19:00 Golf report 19:15 Chakall e pulga 19:45 Alta definição 20:15 Gosto disto 21:00 Jornal da noite 22:15 Grande reportagem 22:45 Ganha num minuto 00:45 Volante 01:00 Jornal da noite 31.01 sopA De leTrAs 9 7 domInGo 28.01 07:00 Mais mulher 08:00 Q. mudei de casa 08:45 Capeta 09:00 Factor K 09:15 Rebelde way 10:30 Curto Circuito 12:30 Alta definição 13:00 Não há crise! 14:00 1° Jornal 15:30 Laços de sangue 17:00 Q. mudei de casa 17:45 G. num minuto 19:15 V. mudei a loja 19:45 Famashow 20:15 Gosto disto 21:00 Jornal da Noite 21:30 Futebol: Feirense vs Benfica 23:15 J.da noite (cont) 00:15 P. e achados 00:30 Dr White 01:45 Ex.da meia-noite 02:45 Rosa fogo 03:30 Jornal da Noite 4 9 8 sÁbado nível : médio 1 4 27.01 8 R F D C I A O H T N C I D C L P E A R P T O T O T P E O I P D H O A M U S H N O A Q D A S A E G A N I R P T G S T C F A C I Z R Z S I R G F C F C A R L A T P E Q O A U I U X T O J A C E R F C M O U T M N G H G G Q J W W W W W I O A C T E O L U I S C J O M W W W W W N R H J R P I R O D C I L L P W W W W W A L A E H P F T I T O E P H P W W W W W E C S J C A I O Q S U S A C N W W W W W T A S P T F P C I N S Z S M I G U E L U E Q U I A H O Q A F U A U P H A O H T N C G M O D X N M N G S I S T C F E O T P D A J I T C C T E C J F J F D I A N A G I H J N U N O P E D R O C M O U I R J F C C R I Z A H O A U C S A C T M P A N A O J D O A T A Descubra as palavras Ana Carla Catarina Diana Fátima Joana Luis Manuel Miguel Nuno nomes Pedro Rodrigo Sofia Teresa Tiago 23 em síntese Vasco maurício convidado na rádio enghien No próximo sábado, dia 28 de janeiro, a equipa do programa ‘Voz de Portugal’ da rádio Enghien vai receber Vasco Maurício, responsável pela marca de roupa Scovandeli. No sábado seguinte, dia 4 de fevereiro, a convidada do programa é Paula Soares que vai apresentar o seu nome tema “No ritmo do coração”. O programa tem lugar aos sábados, das 14h30 às 16h30, e pode ser ouvido na região norte de Paris em FM 98,0 ou por internet em www.idfm98.fr. Diogo rocha convidado na rádio Alfa O fadista Diogo Rocha vai ser o convidado do programa de rádio “Só Fado” que é emitido na próxima sexta-feira, dia 27 de janeiro, entre as 21h00 e as 23h00 na Rádio Alfa, animado semanalmente por Odete Fernandes e Manuel Miranda. O programa pode ser ouvido em direto, na região de Paris, em 98,6 FM ou por internet em www.radioalfa.net. siC internacional gosto Disto! Há vida para além da crise. É este o propósito do “Gosto Disto!”. No novo programa de entretenimento da SIC Internacional não há austeridade, nem troika, nem dívidas soberanas. Com apresentação de César Mourão e Andreia Rodrigues, “Gosto Disto!” reflete um mundo que é hoje maior que o nosso: são mais de 100 milhões de vídeos vistos por dia no Youtube e 3 mil milhões de visualizações diárias - o equivalente a quase metade da população mundial .Um programa original para toda a família, para rir do princípio ao fim. Aos sábados e domingos, às 20h15 (hora francesa), na SIC Internacional. lusojornal.com PUB