DIXrÊHf Mltt -1. 264
RIO DE JANEIRO
VI
LETOILE
CH. IIOREL
PoDiiíiteor et IMtueteor to chef
16 Mil 1891
DU
SUD
t RlíVtRCOMMERClALK, FINAíSÓIIÍRli KT MA lllTTMB
!
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Secrétaire de Ia rédacüoo
*
ADMOTSTRATION BT rlÉDACTlOU
S3 RIA GOtÇALVES DIAS 83 ^
X. NEMO
m
\ORESSER LA CORRESPONDANCB
CAIXA—0 -CORREIO
PROPRIÉTÉ D UNE SOCIÉTÉ EN ÇOMMANINTE SIMPLE
"y
t alors ministre d Belgtque à Rm de Janeiro intérêls que son Onuvernenent a au
Or, nous ne saurious trop le rèpétcr,
Le nouveaa lralt«% «H Ia presase
'
offinne
le tresor n'av»it qn'â réscrver strlctement los ABnérleala*»e — Un
qm
que toutes les fami.les bel-jes Brésil.
imporjournal de»
élabüesaa Mrésil yivent contentes et ;ssEn somme, 9.*' Kx. (r\\o}m'ti*r,s, l|if rince aoniuies qui doivent l« tenir éloigné du marche tants de New-Vork couiinsíitlale plus
aSBntfcate
n ais mana
tufaites, que le i ti-iwt de Ia province de deOiimaf, narait Ah ne pas atteádre ses da ehange et rendre Texcôdunt a l'imporlation. comme suit ses imprcssions relativement au
"*». Pau-o est Mitn
Seul le rapport Ju secrtítaire d'Ktat aux fl. traité noril-aiiiéricain : « Cest aujourd'hui
•Mao
Brtttl .. ..
IMiné ienie du
et parfattement appro- nitionun x retour de
1*
nances, nous uiettra 1 niénie de ilxer cet excé- Avril,
«Sr. prié au lempérament des Buropéens et Sud, pour lanoer aa circulaire. Milíe foi» danl
que commercc a entrer en vigueur le
Mfr.
UaiMpottaJt
qui nous parait toutofois,et á priori, devoir traité dc réciproclté entre les Etals-Unis et le
ne tvssemble en rien à - re ciei d * feu • plus prolitable **ut—elle étA si elle clt pré- representer
les deux titíre de Ia somme de neuf brésil. Cest le commenccment d'une révolution
imagii 4 par M. le prince de Clitmay, II a venu leur embarqui ment dans un desports miilions
de livres.
commerciale consldérable, faite en dép:t des
•Valement lerapp.irt dc
Nua* nvouons, ea
M. Pely ile Thoxé du nor Ide 1'Kurop-*.
La per*ode correspondante qm ne com- i-lTorts du commorce de l'Aliemagno et de l'An'•, élre
(I)
n
500 n qui apprécie de Ia min are Ia plui f ivn- toute 4'icé it
p'us lniiiiués. nous portait
MM Ia mtm ila JmimI. UM-cm .. ..
que Ia pereepUn des droits cn papier gleterre, qui eomprennent que ce traité vo les
aultra-d'.
au
itaum- telle msère —monnaie,
s.teciacle
rable
le»
oonditinns
écunniii
ei
i
clim
quês
240 ra.
LaHpw
ne representa it au ehange moveu exclure d'un pays oü notre agricultura et
torogiques de Inprotincede S. P.iulo par- émtnant iles ?nridestJipitales de 1'aicun quo íes. 71,741.470.
notre industrie vont rencontrer un vrai Paticuli4rement; ila encore. nous nous per- monde. Qielque intvrj qu'«tt pu êtiv M.
clole.
(t) Nous supposons que celte somme est Ie reCelle iiégoelalion s'iinposait: Après Ie»
mellon» de Ia signaler è son souvenir Ia ie .Ministre des aTaires étrangè es ie B.-lgi- liquat de 1'emprunt de 6.000.000 de **, rontracté
Etots-Un:»,
le Drésil n'cst-il pas le premier des
collt ction «Se notre journal qui, de lout que par les inforUues «I nt il u eu le spec- parle eonseitler Francisco Bellsario de Souza et
Etats
du
nouvel
hémisphère? Sa déeision
tade.
il
n'a
senti,
tout
au
moins.
realisé
son
pas
temps, s'est occu|.ó aussi activemer.t que
par son suecesseur, conseiller João Alfre- n'est-elle
de
nature
a déterminer les autres
pas
PAHIM
do
de
Oliveira.
sineèrement de Ia question d'ó nigrnt ou et prgueild'Europi'eii,*leB--lge, de Prançtia,
(Ch. M.)
états
moins
importanls
a
suivre «on exemple?
'
révolter
encuntatuit que le nègre au Un «Iralia eu «m> ajuaad mémet...
spécinlement de Iémigration b-lg»* il.ins se
•au M leraaag» t*artaall ate* aa
Ce début est heureux et leplan politique
Iveaaaa
ses nunié.-is MO. U7. II'et i70de 1'mii i- H ésil. rhotiiino esclave enc-tre il ya trois —M. le ministre des Financesest ertródans do M, lllaine va s elendre 4 toutes les nation»
fraacate
1888—et oíi il peut trouver les reiis- i^ne- anii-ies. esl pris de pitit* I Ia vue de tous Ia Voie que nous avons indiquée á plusieurs du conlinent américain, y eompris nos voisins
¦«MM
du Nord. Quoique nous ne vlvions pas sous un
ments les plus préeis et les plus minutieux les mis robles que les trntisntlantiques reprises.
L'or du Gouvernement est rendu .1 Ia cir- gouvernement imperial, cette
fÉTOlLE DU SUD
sur le» rà-ipéties de leur t-xistence au Itié- ji-ttent nus et nflamés dnns le» port» hré
politique est
cubtion. Nous en soiiiiiii>s heureux, ayant èté vraiuient impériale. Elle embrasse le aonde
siliens
li.
I'in
mème,
ène
\ejiraboclo
;
qu,»
sil-ll a, disons-nous tous ces ducuments
premiers à préconiser telle mesure. Mais occidental et ses 130 mill'ons dlubilants, dont
L'inlgritioi Belge et Hs procedes de I. Ie qui, pour lui, doivent coiistitucr 1'unque le botiuvt-lo, si 1'oti veut. qui ne vit ici quo les
notre
pensée n'n pas été interprelée avec Io moilié oecupe notre territoire. Quatre si*cles
source oú il ait à puiser toutes les inlur- de solei I et de liberte, a l'nir de sc do* jitstessc.
Priice 4i Chiiny
se sont ccoules depuis ia découverte de ea conmatinns dont il a besoin et il piétere prè- mander si ce sont bien lü los des>*ndaiits Le gouveriienient a d'abord pris les ban- tinent et Ie voil» déjl pour ainsi dire indépcn*
No» ieclrur» »e rappellemnt que dans
deceuxquisontvenus.il ya quatre »éter une oreille complnisante à toutes ces
que» coiume intermédiaires. ("elles-ei, devant dant du vieux monde.
cie», leurpr cli-r lucivilisat>on. Pé^littj et ehetthcr dans leurs opérations
notre numero du 2 mm il*'rni-r mu* mu*
L'Aliemngne n'apprecie pas co traité avec
te plus grand
lauases iléclamntions et à loules res aceusomntM«iccu()«i»d'an«j«i:re'l*H publi- pnr
h fraternité.
Itenefire
se
méme
sont
le
enthousiasmc. Li chambre de comlivrées
i un agiotage
possible
aatinns gratuitement lanei'*»», contre le
M. le prince de ( hiinav disons- eHTém" asec Í'or du gouveraeuent. Cest Ia mercê dc llamliotirg a fait une représentation
XIndtptndance belge it itnn» le<|uel on iail
Que
Brésil, par des hommesqui, ennemi» du
un eomhre tableau de» miiAr>'8 par lesqupllet*
nou», assiste ane seule foisaa «Jebarque- deuane maintenant que celnici a cliargée de ou sénat pour adresser une protestation au
travail, snnt ver.us vivre ici pendant queiont passe* lc» premier» étnijjrants russes
ment i Rio de Janeiro, des emigrante em- vendre Cor aux importateurs.
gouvernement imperial contre le procede du
d^ 1'aninV d< rnière. Nou-* nvons dit ce que quês móis de celle \ie d'oit-ivete qu'ils Imrqu ;s à Anvers. «t lui. itulant que nou», Mais â quei prix? Avec une diference, sur le gouvernement brésiliens Elle declare qu'elle
filaientlàbaset qui ici comme duns leur
nou» pen»iiine au sujei ile toutes ce» résentira Ia honte lui monter nu visa-te, en laux du jour tellement minime qu'elle est corsidère ce procede comme un acte d'hostilité
le»
k
a
Ia
.nr>«Ve
et
conduits
ln
4
contre les Etais d'Europe et qu'clle espere quo
pays
criran ntiona et necusati ma furmulcV» pnr
songeaiit que Ia Bel|>ique n'a pu retenir éerisoire.
Legouvernetuent
dise-qiúrnnce!
les chambres brésillennes ne manqueront pas de
doit-il
eutrer
dans
Ia
spéde» éiiii^miil» i|UÍ iiVnt pa» voulu cssnyer
sur les rives de 1'Ksciiiit, les, laiubeaax de eultiiou
?
Lui-mtüie
sinon, co será Ia guerre des tarif» •
en
1'anuulcr:
n'aeeeptant
Ia
livre
Cette conduite de In pirt do M. le pr nce h-iil ons
qu'
it- vaincrt* le» dilfii ultr-s du début et qu',
qui porte» par les c<'ura'its jus auel^ngepair, n'aBrme-1-il nas qu' il enlend entre le Brésil et les grands pays commerciaux
par les pi listas qu'il» j-tteut à tou» les de Chimay est vniment étiang* et nous quVux porta du Nouveau moi
ódios, dumient un triste «emple de mati ne savons trop quels sont tes motifs qui aux popnlntion» qui IThnbitent, nos mi monéUiref II doit dtmr nous rendre l'or,
Cest un traité, d it-elle, qu'on a «rache au
qui
lui est superflu, eomtne il prétend 1'aceepter c'est gouvernement
s res et no» f lililesse» eur.ipJeuiies.
que de ciiurage. N us n aviuns pas penfté ont pu Ia lui dicter
provisoire et que le Congrès a
l-dire au même laux dc 848901a livre.
devoir in»'»ter sur celte question si imAtteiré par le mouvement sncialiste qui
ratifié commo il a ratifié cn bloe lous les aetes
fcniTjCiglgaãii ai
II est bienenlendu qu'il ne peut nous ra- de ce goiivemement.»
portante de riminigni-tion au Brésil, tou- se drtsse devant l'uutorité, lerrible ot memettre
D'un nutre cúté, un journal qui oecupe égaque son excédant d'or. Se défaire de coWOTICES DU DRÉSIL
jours. ai mal comprise et si mnl npprcciee naçent, iiVst il pas un peu tani pour parlui
donl
ii a besoin, c'esl-â-dire sexposer â ne lement une place niarquante dans Ia presse dc
Mais lu recente c rcutuire do M. le Minis- rttítre s,mtéressei au sort du proletária!
pouvoir faire face aux oxigences extérieurts, New-York, le Commticial Admtiter, pense
tre desaifuros • traii<*cies de Itelgique qui et en gagner le» sympathies; i»ait-il s'ima- raeaalalco Haaacters) — Nous établs- serait
criminei.
• qu'il ne faut pas s'empresser de chanter vidéconscille ú se» nationaux 1'éniigration giner que sa circulaire cera ta digue qui sons el-dossous un tableaii prés*mL.int les reEn vendant aux importateurs son excédant ctoire; car, vers cet horizon si souriont
qu'on
vers le Urésil mus olilig»- \ revetiic snr iirrèteru le llot toujnurs grossissant et tou- celtes de Ia douane do In capitale féilérale dc- d'or Ie
gouvernement les dégrúve de chorges lui montre, il découvre un polnt noir. Le traité,
divertes consular tions. Li lett-e de ,M. le jours nu muni de Ia fausse dém erntie?
puis le 15 Novenilire (890, date de Ia mise cn tro*i lòiirdcs it leur gré. II les satlsfait; il ac- dU-il, n'est quo la-tivre d'un gouvernement proIt. Antônio 1'ritdn ndresseo à Ia.Rédacttoi
Díuis ce cas, il fermerait hsyeuxàla vigueur des décrets qui a ordonné ia perception eomplit un acte de sage admiiiistratioii: car, visoire et rien ne démontre qu'il recevra Ia ras'il a le droit de nous imposer tels sacrifices lification de Ia législature.
de l'índèpendanre belge |iourrait pout-être lum te. La queslion d'è nigration est pour des dro:is d'importalion en or.
dons 1'intérâl commun, il a, por contre, lo M. Ilarrison a le droit d'aticmenler et de dinous en dispense r, IVininent patriote rófu TGunipe et Ia Helgique en paiticulier une
devoir de les proportionner à Ia necessite miuer les impôts: II s'est â coup súr imagine
•
de
iti.srn.
tant pari pasau le factum d Al. le prince
question de vie ou dc mort. II luut que
absolue. Dépasser Ia mesure, c'est commettre que le Présidcnt du gouvernement du Brés'1
( himay et faisant encore une foi» justice celle-ci iléverse le trop
plein de sa populaun abus de pouvoir. Enfin, il ne íovonsc pas Ia avait les mentes droits que lui; sans doule il
de» accusatioiis portees contre le Riósil tion dnns un lieu quelconque et quelle
en fracnt Pcriodepre- spéculalion,
natintKs
pu isque cel or va aux importa- avait ces droits lorsquo le traité a été eonclu,
cedente
Ku mi' reis
par tou» ces gens qui se font l>» messagers contree mieux appropriée pour le recevoir
leurs
et
â
eux
seuls.
mais on ne doit avoir qu'une légère esperance
ort
en
mil
reis
{change
du mensonge.
Malgr'les protestations des négociant» im- de voir les chambres législatives saaetionner*
que los ricli s et magnitiques province» de
Mais M le Dr. Antônio Trado est Bré- Sfto Paulo, i'c M nas. du Paraná, de Santa
portaleurs, ei de quelques-uns de nos eollegttes tout ce qui a été fait. Au reste, il n'esl pas posnous pcrsislons à conseiller lc majntíen du sible d'apprécier dès â présenl les avantages I
silien: on lui oppnsera ccrtaineiitent ceite Oatharina, etc, qui toutes j>uis»eiit d'un DutG.m30N'ov
WAV.KM 9.170.977 5(30818248 paiement cn or de Ia tolalllé des droits. Lc retirer du traité; il faut au préalable exaininer
qualité comme líu de non recevoir et on clitnat temiii ré sau» co*npter lu ferulité I8«J0
a..>U:f.»ÍS I0.U3.4IW 4,951 *.070S réduire á 50% est inutilo et dangereux Inulile, minutieiisement les larifs douaniers brésiliens.
31
IXc.d
Pau
lui dirá que nul ne peut ètre juge dnns sn sans «gale de son s4 A cette heure U Du
Du I' nu at Jan
¦¦u--rro rivile; 1891
5.050:130} 16.0*23.13C 5.594-.124S parce qu'une simple mesure administrative peul Une chosc est certainc. Lesdiplomates du Brésil
propre cnuse. Mui» con re nous qui depuis Bèlgique est en pioe à Ia
Dut'au28Fiv.d» t;800:0í5| 13,597.8*24 5.0tW:ÍUÜg produirè le méme résultat. Dangereux parce que sont les plus liahiles de cet hénvsphére et ils ont
dix-hii t nus somme» au Brésil qu-, depuis In griivtié de.-< évémeuts ublige le gouver- DuPauSIMar.d* 5,021 -ÀM 14.225.096 5,768:5588 le
gouvernement peut se trouver en face dobli- mainlcs fois trompé ceux des Etals-Unis. Ce
dix, cuiiilMttons pour Ia Wnté et ia justice, neinenl prendre les mesures le plus éner- Dufau 30 Avril 6,151:4451 17,426 ÜOi 5,159:6448 gations plus grandes que celtes d'aujourdlmi, et serait une absurdité de
d*
penser que le Brésil
contre nous qui sommes étrangers et qui giques etàdéciéter IVlatilestège |mur ceravoir un besoin imprévu d'une plu» grande nous a donné quelque chose pour rien.
quantitó d'or, sans avoir en main l'immédiot t Entre les article» mentiorihésdans Ia liste
pariam avons le devoir itnpérieux déclut- Ininrs villes uà Ia grave rst poiticutiè
28,447i03JS 80.:»8ü.óoi 28,881 :(09S nioyen de
rer nus compatriotes et de lairo Ia lumière rement intenst. N'estce pas le moinem
parer A cette éventualité.
du trai.é, beaucoup peuvcnt étre produil» au
Voici un exemple d'opératiou en douane:
complete en cette tmtiere, contre nou» qui de songer sérieusemeiit aux ihoyciu de
Rrésil â meilleur marche et cerlains dVntre eux
connaissons les condiiion» dnns lesquelles sotila^er Ia misire qui pousse les classes Le Tresor National a donc encaissé du chef Le négociant X. doit payer, pour le • dé- ont encore i subir une taxe de 5 ou 10 •/., de
sYffectue rimmigrutiiiii et qui voyons de pau vre» u de seis ex cs? El parmi ces de Ia perception dos droits en or ei pour Ia ca- douanemenl • de ses marchandises, 1:0002 en leito façon que Ia réduetion n'cst pas suffisante
or. Le gouvernement vient d'arrêterqu'il peul pour que nous puissions réaliser quelque béné*
pri» tous les úvéneinent» qui »'y. r>ppor- nioyens de salut, ne peut-on |ia» en toute pitale féilérale seiilemeiil, du 1G Novcmbrc
tem, oui, contre nou» quelle suspicion just ce indiquer J'eTrrigratioii comme un de» 1890 au :W Avrii 1891, fcs. 80,58o.50l (l)ou fournir aux importateurs 00 \ de i'or dont ils fice, •>
une nioyeniie inensuelle de tes. 14 milllons 650 auront besoin. 1:000i or valent á peu prés
L'aulcur do 1'articlc va méme jusqu'4 prépourrait^maouleveif Nous 1'avons dit et pluserücace» ? II ne peut ètre question de
a HS £ II vo donc acheter oú bon lui semble 561* endre que le traité favorise lc Brésil
equlvalant
cliiflrc»
ronds,
en
mille
franes
-ne
plus qué
nous le répèterons sans oe**, le ür«*l
voul ir ou de ne pa» vouloir; il ii'y a pns
au cour» du jour, soit par exemple 14 i le 'les Etals-Unis; il ajoute
«
68l,ISO.
faut
cependant
qu'il
doit pas ètre cotisitlé ó comme le depo'oir place pour le chotx et tous les décrets des
Ce sont bien lá les ehiffre» approximatifsque souveraln. Total: 784á. Arrivé * Ia douano, s'abstcnir de le condamner, car les réduetions
semhlent
se
europeus
de 1'Europe.
qui
gouvernement»
nous avons indique» dans notre arliele: Ihai- muni et de son or et do sou document, do tarif prolilent aux deux parties—aux eouil ira á un guichet spécial oü aprés vérifleation sommaleiirset aux prodiicteurs..
Oe qui occasitnue toutes oe» recrimina- co.iliser contre iV-miüratiini vers les pays nag* it Por du 15 de Mar» d'.:
*sud
de
iiVmjiechcroni
son document adminlslràtif d pourra acheter kVMuPetlro ¦¦ -rt aaliMha «ation», toutes ces laiiiehtatioiis et tous ces de l Amérique du
pas Lit douane de Ia capitale féilérale a'
'
56«aüeóurs
de 84890. Total*: 4974840 en ria**» — M. le conseiller Joaquim Saldanha
dégoutscest Vidce préconçue que »e fait quVIle »*iinpose à iux tou» comme une n
donc íourni du 15 Novembro 1890
écliange
desquels
on lui remeMra un reçu de Marinho vientdadresser une letlre ft M. le Dr.
réinigrant de n'av«irA se liifrer a un iude uessité incluctable.
au 30 Avril 1*991.. .. .. *.. .. « 3,197.8W de
56
£.
II
'
passera alors à Ia trtsorerio et ver Rozendo Moniz pour lc remorcier de 1'envoi
travn<l comnte l&.lua et de pouvoir sVn
Qtiaiit au noinbre d'éinigrmts belge» qui Les adminislrations des diver&j
será
1*
* achetéesen ville 2* le reçu des d'un cxeraplaire de son ouvraga intitule 7r*ata •
les
56
richir dunsun çirlrtespaílede temps. LMIu nrrivent au Brésil, ila été jusqici tiès re»- Etats ont dú produirè àpeu j
achelés
56
£
au
Wsor. Ces forroalitéj rempltes. Io» e crentes et dédié 4 l'ex-empereur du Brésil
" le ben
""""" de sortie
Do
]
sioa prulunde !''fô-As^tençe du Crf a*eur treint. Les stitistiques constatetit une |ttès nne somme rgale; disons:
signera
on
lui
de ses marcelte leltre empreinte d'une dignité et d'uno
..
......
"«1,801.660
Wiiloinenl..
M.
le michandisses.
qui;^'«^Mimní;.1jwihme\à manger son nioyennede3J0parau. En vérité
iioblnsse de langage admlrabtcs, nou» d taehons
D'npres un ti légrainmo passo cesy .
Et voilá comment le Gouvernement peut dé- los passages suivants: « La dédieaee dc votre
|»ain I Ia sueur df son front reç»it son nistre ne deveit pas se donner Ia neitte de
dernier» par le déléguií du
Timportation do Ia ose-ihe de scscliar- livro d 1'llliislre brésiiien D. Pedro de Alcântara
appllcation dans lous SM pays du mande. f «ire une circulaire pour détpurner ce cou- jours
gtriver
Irèsor nitional I Londies, nous
';.
sans favoriser Ia spéculalion» et tout en vous grandit dans restime de tou» ceux
ges,
1'ela dit;^u||ld. Io ptfik$ dejChimuy nou» rant d"éinigration si insigniliaut Nou-» p.*«*>
qui
y trouvlons, i Ia drspcsltion du , >_..J._i .!-_.. I-.....
.
«Wservant ie paiement ées droit» en or, c*est-â. gardent
dans leur coeur les
sentiments
de ^^
...
|
Iterinetie de trouversá manière d • proceder sons avec l'honorab|e M. Antíbtjio Pi*nd«| fouvernerueat bréslllen (I).. .. .« 3,000.500
dire, le moyen 4c faire face aux évontualités., connaissance et de justice.. II 8,'af it ici d'un Bré
ü
os^z
bien » ngul ère et assez incohérente.
façn»
pt
piu-J
qu*il o procédilfune
Nou»demandon»pardon Anos lecteurs pour slien illustre qui s'est táaatadonné
par
¦" ses
dente ên posant un t-cte qui est de nature
dni'
*
— ..
ou.
a
ministre
Ie
lesexplications,
si détaillées qu'eUe» en sont courtisans
f-1Eli quoi! ...41.
dans un momeni
critique
U
monnaie
d'or
de
da
sa vie
tept^ttatant^a^aotlaa-Mdt
Bvi»
avèu
fait
indisposer un |mys qui
jjit,
avoir dans les itrehh esdes nffures Etruns-èpaérilè», que nous avons donnéts éa-as Vnem- politique et conduit en !fxií,^iufet>ía «Ja
-*lVawsu)i
oe»
flrua
duposer
M»
a
t«^e
f«
re-Ues document* les plus préalsèlle» plus 4iqu(»;Une m«»y-f«»* de 40 mi.lit)»» d>»Tii-,-d«^i;%>»-«oqi^Aai)a» > ae pie pratique ci-dcssus. Nous i'avons f»U pour reaier Ia |ati*te,-/4stuli^-^'^^
M}&o^m*^
laétaua-L
los
cditipter
fépoadre aüx lettres que nous ont adressées quei- méme dévouement. Maf^ié^M^a;
rè,
pi4wmères pour 1'aider A distinguir, Ia yéVutj
j^t a» y&&
som
i-Wlette
cou
deà
fi^he)rch«ir
mtóotnbaii'dé
t
flae» iiaportatçurs peu verse» dans les chose» canhune., par ne iu'«np*tV*eflt
ww»m ^^tv^""——
MieijjMr; »«ii IU»
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üu nieiismige; il n seus lu miinW rappiri hhtuh/
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fiélal
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fljciel pté-entaen WSpar\l. il« Urèll^ iufor.i.ati :*j^. pu* yricuíês
qu'il é rendu de graads tervia» au
PRIX DE LABORNEMEaT
IMMCES ET RÊCIMES
M.M.IMCDÊE PRINCE & C.
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SUD
ias
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la pértode la plus diflleile do son organtsallon. nistro du BrOall ii Bruxollei, a ndro..t* !i M. W mi
Aujourd'liui oncore il les confirme par son ni.tre dei ufiuirei étranjsôres, nom pouvoni cepeodant
oonititueiit
abnégatlon et sim patrlotlsme. Un roi pauvre illrequo lu viimdo ficho et le* liarioots
une uonrritiire íaino, agréable. forllli.u.te ot piirffllta
est un roi digne do tou* los respecls.
IJro.il, quo le. o|iíitlml«Je voudra's l.;voir niijounChiii Pritidtnt de la ment approprléo nu nliinat du
miei no «out pas plus coimmmei au Bré|ll qii.'«,n
Republique, si je no cralgnals tle lu voir encon; liurope. st''que Io cílmat si torrlile ilo St-1'nul
une fols abuse et ainsi cuiiser A lu pntrio ot A n'iiUaint rpie lu moyciiiie d'onviron 10". Auul, dam
lul-mtmio de plus grandes iiifortunes. Jo' suis lu province de Sl-Putd, la morlalití cst-clle infôrkttre
co que j'ai toujours élé ot je me felicito d'avoir à celle, do n'importe quel pays d'Europe.
pour compatriote cot hoinme vertueux qui, ii Qunnt ii ln fuineuse úpidéinie qui a ravagé CaiudonsTexil, vuut plus quo s'il occiipait encore le piniis, rien n'est inoini certain quo «o soit lu fiòvre
Iróne.»
juiine. Le. miidoeim los plm úmineiiti ne sont pus
Nous pulil-otis celu lottro sans common- d'iiocord ii co aujet. On peut attribiierjilu»'logiqite*
lares, ninis nous no pouvons nous dispensei* de ment cctto épiilémie aux conditlons déte.tnblcs dam
souligner los mots •jetominiis le roir aujowd'- ifiqtiéílcs fe troiivt.it olori In vido do Campinas,
bui Pritidtnt de la Republique », car nous tri.u* rolutiveinont ii son syatèmo dVgouts ot do di.trivous cetle lilée toucliuntn, alors óiiianiint bution d'cau dout on .'oecupe séricuso.ncnt depui.
rotto ípidimie, laquolle, du reste, n'a plui reparu,
du seul rdpubCcain liistorique.
ne sc reprodoira plus,
et tout fait aspirar
¦eprétallles legitime*». La Prensa Giiniutnai allant ítro qu'ello
detéij d'uno inngniliquo canade Buenos Ayrcs publio los ligues süivanlês : liMition d'cnii, dnnt lc» travaux sont íi pon prl*s tor« Le ministre des afloires étrangéres a reiivs minei
au bureaii d'li}-gn*>iic une copie de In reclamation fuite par le ministro du Brésil relativo; Sur le inínie sujet. nous lisom dum l'«Vi>ònpm/i|<:
« La preste (|iiotidionno du UrUxolIet u publio lu
iii» nt Ala quarantainc rigourousc Imposéu au
solliillnó ilernií-n- un uvis úumnuut do source oHiciolIc,
vapeur franeais Comentes, sous pretexto d'un ot déoonseillunl róinigratlon imx llclges dans Io.
cas suspect do fiòvrejaune qui se serait pro*
provinces sud du llrésil.
duit ú lioril.
« Cet uvis cs. ooiii;'.i dam des tcruioi niulvoilliints
« La réclamalion a été luo en séancc ilu con- •*t eniproinls d'une oxagóration ívldente.
seil d'hygiéne ot ila été dócídô qu' on ollnit ¦i Nous connilissons dos eoiupiilricitos étulilis depuis
(jliolipios áulicos dum 1'Etat do í*ão Paulo, nous
préparer tous les rens^ignements uécessairos et avons uveo eux dos rupports luivil ot ils no cossenl
rappoler los antécédenls do co cas pour en for- do nous vnnttr In bontú du cliiuat. la rioliosso du s>>l
inuler ia réf.itntiun. Lo consuil prolitera do coito ot Ia
gónéroitsa liospitali.C* des 1'uiiliitai. II y a deux
circonstancc pour démoiitrcr que los autoritós ans, M. l*ely do Tliozóc, cônsul general bolgc nu
satiitaircs des Etots-Unis du Brésil n'ontpns Brésil, ciiicltuit ilan-i sou rapport le* coiiclusious lc*«
execute les clausos les plus cssentielles do Ia plus fnvornblos. Au]oilrd'lini. tout ost clinngé:
nous nous deiiinndons pnurquoi. II y n lá uu uiysconvenlion internotionale sanitaire. »
térc incxplicublo ot nuus iimis rensoignoroiis ii co
Nous nuus gardorons bi.*n d'émeltro la
itijct.
moindro critique coutro TinstiluUòn dos quai> Ku iiltemlant, nous apprcnous quo M. lo bnron
rantaines; nous pensnns quo l'Íiil«**rôt dc la de Tellc, ministro du Hrésil ii Itruxellcs. a remia an
santé publique exige pnrfois 1'applicalion de gouvcruomeiit belge une iiotd priitcstuut coutro los
cotio inesuro rigòuretisc. IVut. nutre còló nuus imputiitions caluinnioiitc. répamlucs contre l'émigriisavons quu 1'oxces en tout est un défnut et que tion au llrésil. »
los ntitorilís sonitoires de In Republique ArI.» ror|ioriilioii d«'N «•iiiirlicrK —
gontine mellcnt absoliiinont trop de zele dans Nous lisons dans le Jornal do Commercio du 10
mai dernier -que jtisquVm 1888 celle Corporation
rnccomplissonicut de leur mission.
II nu fii.it pns que In moindro indisposition ue compta.l que 25 membres et que tous se dtsd'un pnssuger soit coiisidérée coínine un ciis do tingiinicnt pnr la ponciunllté avec laquelle ilsexélièvre jnunc eljette l'nlarn.e ehez nos voisins du cutaient leurs cpntroU; Leurs clients polimidi. En matize de quarantainej il fnut de In vaiont dormir en paix enr Ils nva.ent des manprudeuce et de la reserve, enr oli sait les énor- dala'resuiiqul Ils déposníent um ei.lléreooiiliaii*
mes préjudicos que jour appliéalion entralne ceei llarr-vail excesslveinent rnrei.ient que la
pour les passagers, pour les compagnies nuiriti- trnhsnelioh ne se ró«iI'sAt*pos nu jòiir marque. Â
mes et pour le coimnerce. Si In Republique coito époquo ils n'avaient íi fotirnir qu'une cau*
Argentino véut perslster dans ce syslèiin: Ira- tioh de dix eosíoi de réisel ils n'élaienl nl rescassierqu'elle poursuit conlre le llrésil, que lc pousa Ides ni gnrnnls des allaires ü Irnler, mais,
guuvernemcnt brésilieii appliquc dês .1 present comine ils nvninnt ii neur d'Íionorcr leur corpoln loi des oompensations. Qu*il fosse subir Ia mliiin, ils falsoleilt tous leurs elTorts piíür remquarantniiie A tous ces nnviréüs qui nous plir leurs oliligatons çt souvent non sans préamènent sans cesso les vnrinleux et les vieli- jud-ce de leiirs pròpres intérils. A partir do
mes du typhus que la Republique Argentine cette -époquo lc gouveruniiien' u ji.*j«' bon de
déverse sur le sol brésilieu. On ne poiirra supprimer In llmltatlnn du nombre, aliinle pou*
certos pas nous censurér de vouloir oppli- voir faire enlrer toules ses créntures ; une avnquer cn matièro d'bygiéne publique le lanche d'individus sans aiicuno pratique du
príncipe eeil pour tril, denl pour denl. Trop coimnerce sest lancée dans celle cnrriéreet c'est
lieureux seroiis-nous si 1'appliiüitioil des qua- ainsi
qu'on a vu surgir tons ces o bus pr.it ques
rantaines poul nuus préserver de ln conlngiort
les
nouvenux colirtiers, au délrii.ient du
par
des antros innux qui allligent In Republique credl
des anciens.» l/aiiteiir de Partido unArgentine!
noiii'e qu'il sem pios explicite dans liii proclinin
O qae dlzcia de nó.«i!... — Un journal numero du inômc journal.
*IUnnIoiin. —
belge, qui socôupe spécialement de ln question
I.e
I.c («'rriloirc <!«-«
d'ómigrnt on, presente les còhsidératlòiis siiivnn- Co rei» d» l'iw:>
publio lu prologiie de fotivragc
trs nu sujet de In recente ciroulaire que M. lo do M. le lliirpn de Lndario sur In
question du
ministre des Afloires élrangéres en Belgiqiic tcrritóire des Missions.
vient d*adreSsér anx goiivtóriieurs des provinces
D^prés les osscrtlons de eu journal, le droil
et dans laquelle il tféconiéilló 1'éinigration dans du llrésil sur Ie lurrilpiru en llllgo serait
par
l'Amérique du Sud :
faiten.ent élaldi.
ii Le Brésil u 1'liõnnoitr il'être
Vnpcar frinif-iilw Arrun — Ou nnparticuliercniQnt vise
par cette circulàiro ; la viando lòcliè, les Imricot» nórice qu'un
liommó de rrquipnge do ce
sont UCCH3Ó3 ile prodiiiro oln*/. FEuropétHi des hinlrtenlié
lu
navire
11 mtil dernier dans le poil
ilies tri-s griivèl ; lo òlíriiat tnrriile (!) iles
provinces
ville uurnit été abaudoniu'' dans
dn sud cause tle* onlitliuliniés redontables ; la fievre do cetle
une ile deserte, après avoir roeu des cbAlljaune fait «lei ravagea múiiie dans i"mtérieur, còiiiuie
Une enquòto serait ouá panipinaB, oíi uno éjiiiléiiiie temida a décimé In ineuls còrporels.
verte.
ei
Ifi8!'! ! ! Siius vouloir utitiçlnor snr
population
e voliimineux rapport ipic M. le baron ile TuiVé, miSous toules reserves.
(trèva â la dauane — Sous pretexte cliiro d plusicurs personnes qu'il avait con-
d'iiisulBsan^' do saluíre. les ouvriers do Ia
iloiianese sont declares en grèvo mardi der*
nlor. Fort lieiireuseiiienl olle a (té de coiirle
diiréo. M. lo ministro des finunces s'est rendii
liiiiiiédiiilfiment aux bilreaiix do l.i douane.
Après avoir confere loiiguement avec M. 1'ins*
pecteur de ce service, il u recu en uiidienco uno
cominissiòn d'ouvr'ers. M. lo deputo Vinliaes
s'ost fait leur interpreto et o exposé les inutifs
do la greve.
M. Io ministre a promis dVxomiiier snigneusemonflpurs griefs ot d-i résoudro Ia question
de la nuinicre In plus fuvorablc possible.
II parati quo M. le ministre., a pris lo jour
mOmt! une décision tendant à fuiro tiiigmetilor
les sa In ires. Après avoir pris connaissance de
cette résolutlon, les ouvriers ont ropris leur
truvail.
Hoamage renda à M. rinapcctor geral daa ferras e roloulsa.
çaa.-— Dans Ia séancc tênue par Ia Companhia
ayricolayeindusliial fluminense ii Ia date du 10
mal dernier, M. lc Dirocteur. Io Dr. Moreira
Spnra, a proposé dc faire eonsigner dans le pró*;
ces verbal mm ndresse do renierclemenls A M.
VInspector• yeral da* krras c colonhactlo, ainsi
qti'A tous les employés ntlncbés A ce serviço cl
A celui de In douano, pour ln sollicilude et la
promptitude ovec lo-quelles ont étèoxécutèes
tontos les mosures relativos A ln réceplioii ei la
I envoi á deslinatidn deí/émlgrlnls eng.igés par
Ia Compagnie dans los ilesÁçòrtísol líadirepar
rinterinédiniro do leurs agents. Cette proposition a tté adopléo úd'unnnirtiité,
Poarle Brésil-Sous co lilre, k Pelii
Journul de Buenos-Aifes dit co qui suit:
La nombre dos personties, qui parlenl piur
Io Hrésil, ougmenlcde plus on plus. ot la rnuillouro preuve cn est.dnns lc nombre croissanl des
voyageurs, qui somlinripient pour Santos ou
Itio de Janeiro. On a beau savoir que ia liévro
janno décimo surlout ceux qui arrivent, rien
h'y fait, on part quand mame.
Entre moiirir do fnim ou risqíier de niourir
de IVpidémie, ou préfèru encore celle ijornidre
ai terna tive.
Vcnlc dc lor — \\. le niiiilslro des tinuntíes aadresse lo 10 Mai dernier A riitsppclour
de la douano 1'iivis dont In teiieur suit:
« Jovous autorise, jusquM noiívcl ordre, á
vemlre au bureau de la douano les snuveia.iis
tlor.ui fur ;l mosiire dos demandes
qui vous
eu seront f.iles ot ce, au prix du cliangó officicl du jour précé.lenl, avec róducllòn do i\\.
La venle ue |»ourrn s\'ffectuor
que pour le
paieiiicrit des droils ifimportation Vous preu*
drez lou'i"* los inesurcs quo vous ingere?
convenables pour la régularllõ du service ei
mu pro|iaserez celles qui no reiilrent pas dans
vos allrilfiilions. »
D'aulro pari, le nifinio niinislre n Ir.insmis
au 1'résidenl do la banque de la Republique
1'avis suivanl: « Je vous informe que pour
éviler les alius et Ia mauv.i;se flpplicalion des
SonveraiiiS dor nclietés dans los banques et
reinisAcelles-ci par le trésor pour èlre vendiis
au commercc, j'ai résulu qne ces ventos ne
poiiriunt dorénavaiit plus s'ell"ivluer que sur le
vu de lii f(?ulllü.d'expi!dition endouaiie, dúmenl
formulée, de uiaiiiérc á déinonlrcr d'unO façoii
evidente que 1'or vendii doil iM*-e appliqiió nu
pnienienl des droils (1'iniportntion. Je vous prie
de snigiier la bimne oxôcnt'orí de celle mestiro.
La venle des souvernins será faile au prix du
ébango olliciel du jour précédcnl, avec réduCllõíi de l|4. <>
ICniprrxn de Olinio Pulillrnw
11 connhissnil d'avance Ia sagçsse de sarepouse et la t'és'ilulion furujq de son jiigeiiiiiiiL
Hio so réçoncilicrait d'nulant uioins
qu'ellü
ayâil lõut fnit pour einpècher In ruplure. Elle
lie quíítcraít pns llassan qui 1'n'iiiqrajl ét In
(M(EUi!SÉ(nTTlKXM«;S) respecteiMit, landis qu'il availosé, lui, Ia ei.asser cl In inniidire.
131 pour nigiiiser encore son Inquietude
ja(Suite)
louse, au Teu de la cliéro abscnle qu'i| désirait,
Commo elle, avait su parlnger sa misére, se. il voyail A ses eólés les formes sòches, le CÒrps
travaux, ses lutles, lc lalieur Incèssnnt et ingrnl nngiiloux de Mnricrn, qui reposnit íroiiqiiiilo A
do Ia lerre á laquelle il fallait demnnder la vie ses cólés avec des ronlleineiiLs sonoros de bole
et- le pain de chaque jour I
lassée.
Une colore alVreuso rònváiiissnjt: II était lenlé
Au seul souvonirde ces cl.oses déjA loinlaide
se levor, do r.-issommor A coups do motte, do
nea, des lannes 1'aveuglaienl; c'élnit coniinoun
hôbloüisement, un anéant ssement de tout so ('étoulloi- A i'a*do du oli,1le quo tra*nail á ses
tdre, uno blessure largo et profondo qu'ori lui pleds. La lampo fuineuso éclairait eu plein son
aurait fait sons qu'il lo siit et d'od tout ^on visage tiefa.lt, .sos traits deformes do pnysnnne
llélrio sous les caresses ardentes du soloil d'Êgy.
sang s'éclmppait.
Ettandisqu'il avait détruit son bonliour et pie et la tache éerasante du travail des champs.
Sa boucl.o s'ouvrait en un rictus stupide, Inisgalé sá vie pour toujours, Falouma. imlillu- sant
voir les genoives ml trois donls nbsonlos
rente reeommenrait In síennc: peu soücicusò
faisaieut des trous noirs, et il revoyail en une
de ses douleurs et de son repentir, ello 1'uvail
assez prévenu que sans ello il n'élait pas pour Iniiige loinlaine les petites pedes de Fatoiimn,
son :lnir souiiro, les jolies poses
quVIlo prenail
lui de felicites possibles; ello avait assez lenlé
dans son sòmmeil d'enfant;
de roconqnéiir son cumr et de rnppeler sa raison
Cetle niemo.-fltimpe aVnit'éclairé sou front
que 1'ainbition avait égarée...
large
et lisse, ses pnbpiôres loürdos sous Ie
Cétait bien lui seul, qui avait voulu coito
1 poids dos cils trop longs, ses membres
souplos
soulTrai.ce, lui seul aussi qui avait prphoncé ce
blaspliéme de Ia répudialion que rien nininle- to.'i chaquo mnuvenient était une grAce, ces roni deurs çxqiíisus de rndolescetiee cfde la jeiinesse
nant ne pouvait plus ellhcer.
1
nu repôs des henutés do iriaibres
Si, poiii-tant, il sullisail qii'olÍo voulilt... enr qui preriáieiil
antiquos, tous ses mérilos, enlin, (|u'il avaít .1
dés rinstant o.'i un nutro nva'l prissn placo, elle
poino oppréciés qtíand Ile était A lui, ét
pouvait redovunir síennc, nlétárit pius'qii',uno iiiaiiitennnt In In deu.- nlírouse do Marióíii que
lu'.
'
étrangèrede pnr ln loi musiilmane.
reiidiiit d-úutaiil plus tlésirablcs qú'il ne pouvail
Mais il sentait bien quVIlc ne voudrail pas... ¦
y préíeudrò.
d»
Kraxil—On assurc que celle cninpagnio se
propine de reprendre la Compagnie CUg Improvcmenl* de Sarilos, pour Ia somme du
300,000 livres slorling.
I oMi|iaulilii Lcopoldinu»-On infor*
me quo M. le vi-onile de Uopoldino aura.l de-
.j^i.i..i..-ni>.iniirTfr<iM**.-ii».-.tif««. .v,>ti„a <o_ «»« ....tr^ . ~ ...,,
MLETON DE I/ÉT01LK DU SUD
POUR UNE FEMME l\
'
t/EltXLE 00
1/
-.
¦
-...nm-t>,->,(,
Knlounia nvnit rnison. il nVlnit pas beureiix
;
ces bieiis qp'i| nvnil swuliniíes nu
point de leur
sacrifier son honheiir palsible, la
joie du son
CCélír et rofgitcH de ses yeux, uo lui
proculaCnt que regreis et fa ligues.
II lul fnllnit Unvn.ller dnvautage,
payer do
plus lniirds inqiiMs. •
Mariom, forlo do sa dol, so monlrait iraseiblo
et paresseuso; ptilsqii'ollo avai
pris un antro
loMiiuio. c'élait A lui do veiller A leurs coiiimuns
iiilérèls;il avait fiirgcnl; oilii voulail le repôs.
El mainleiiüil. srtro que ,se lerre ne manquerait pns do brns pour Ia travnilUr, ni de
surveillance, faulo d'uno bouno diriv.lion. elle
s'abandonnnit A sn nonclialanto nnlure,
ses journées A se plaindre ou A dormir. LespáWnt
repus
n"élaiont jamais prôls, les vétoinóíits
point blunchis, et si le uialbeureiiv Aly essayait do se
plain*
dro, sa femine avait uno fnçon ,*! elle do lernppeler
A rordre, uue mnniérc parlUuljíro dn lui faire
entendre qu'l| nVl.iil rien ei
q.relle dtdil tout,
lui jetant son marche au visage, ei uieuaeaul
dòlerou.pi-e, si bien qu'il so taisail, Ins d'une
tlille oú il se savait vaincu d'(ivai.ce, et lie
trouvail d'nnlres n medes
que de fuir sn ninison, que la nouvello epouse lui remlait insup
porlnble.
Fatounin mainten,iiit soinblait Ires licureuso.
qn ln yojra'1 passor chaque soir allant¦puisef.iiu.
Ml ln provísion d Vau utile nu méiingo ei. sa
oruebe de ii-ne liardtjiièul
posêe sur sn UMo
Uno; elle allail gVacleustí, insoiicianlt-, au íiiüíeu
des rogards çurieux qui renlouinieni".
-,
(à suit" ej
Voici quelques détnils A ce sujei:
.racté A Londres di vers einprunls d'iin inqor
Ce procedo, qn* se nommc Ia «rchoinbro
total do 1,000,0(16 livros slerllng, Celle soiii' noire», esl, purail-.ll, três connu dans les
mo serall destinée A Ia Companhia Lcopoldina, pays Iropicaux, et M. üore'ii l'a perfcélionné.
o*. A dautivs eulreprises.
II s'i.git do souinetlro le inalado A uií
La innrée raonlnale des ronipii ¦tbníss ment gradm-l dc Ia températuro, an
guies.*—Volci lo tableau de quelque» unes dei- moveu de lu glncu ou plnlot du Fair renouvelles compagnies dont lo prospectus a froidl par lu glace, cor Ia glaco nu doit
pns
été publié:
toiicber le patient.
CAOITAI.
Uherlé, Kgsllle, fraternllet*- La
llaneu Regional do Pará o
dc Itio do Janeiro a fo"é, le LI coupopulalion
Amazonas
20.000:000^000
rant le Iroisieme anniversaire de l'abolition de
Agricülo, Colonisadora e ln*
IVsclaviige au Brésil.
.
dúsirjal S. Paulo e Matto*
•II a été soleimelloment
procede, rn présonce do
S.Ü0O:000í(KH)
Grosso. .*
liatits personnages, A 1'aulo-da-fé des dernlers
2.000:000^000
Ranço llomiincradur .. ..
vesliges do cotle nefasto institulion.
Companl.ias det Modas PariII no rosto plus, il parait, aucun document
sieuscs
600:"00ífl00 'crit
y relnlif.
Minerais da Itarra dé S. Joâu
200:lH)0í000
On a ainsi fnil disparaitro, de 1'liisloire du
27.700:0005000 Brésil, celle tacho que dos sià-los n'ont pu cnl.cs dtM-laritllonft dr .11. HurrlNon. lever des Irodilions qne nous ont léguées in—Lori d'iine réun*ün tênue A (ialveslon le tncles les maitros du monde commo un cnsoi20avr:l dernier, M. Ilnrrisun :i prononcé un dis- gncineiit aux penples qui sosunt dispute, decours au cours duquel il aurait declare «quo puis, 1'hérilage de Fempire roíuain.
Nous youlons cio're quo Ih dis^ours du trôn e
c'était lui qui avait pris 1'iillHnllvc, du bdl
lu
par 1'einpercur I). Pedro II dcvnnt les citam-,
rclotlf nu trnité de réciprocilé entro les Etals**
bfes lirésilieimes le 2í mai |8(i7 et qui posall'
Cnis et le llrésil ei que sn signaturo. nn ro*
pour Ia premièró ft)'s, Ia question de resclnvage',
présenlnit dono pas une simplc ralilieatioii n'a pas été épargné;
le décrelloi du'27
oiricielle; Lo ciunmerce du Brésil, nurait*il íoplcmlin* 1871 a óte quo
égaloníctit reduit en condil, nous apparlieiit A causo du voisinage, d ros ; qu'il no reste rien de 1'acle déliiiilif
dv
de lu facilite des comuiituicntiotis et aussi A r.ibolilon, sigo: lo l.'J mai 1888; ot
quo seiilo
cause de la sjnipalhie qui linit les pajü (í'uti n échappé A la (lamine vengoresse, et co ,en
nième Itéihispluüre sans roi. San- conuiictlre raison do sa valeur Jntrinseqiic, la pluiue en
uno ;hd'.scrétlon gouvcriicinciilolo, je puis vous or qui avait été offerte A celle bccasíon A S. A.
nlmoncer quo pan-il traité será bienlòl fnit I. Madaine la Priiicesso — llégenlo.
Ce quo nous savoqs pertnemmenl, c'esl
avoé d'autres nalions de 1'Athériquc CciHralc
que
les
esclayes vjvçnt Hbremeul nu Brésli ouét de rAniérique du Sud, de telle faeon que
les produils des Klnls-Cils nuront un libre joiird-bu' ei qne lês proliioleurs ou b*s s-gnaOiicèsoil iiii'moins uu nreis 'nvnulageiix d.ii.s In res des «Lver- decrets qu' ont aboli 1'esclavage out été bamiis du lejrilo re brésillen.
beauéoiip de porls do ces deux eoiilrées. »
Cio ie au pcuplo qui a fali de si
Husstt* vi ItrAnll — Lc eouvcriicmeut
grandes
cboscs
!
russo a ii.vilc ÜAIIemagne A i'nísòcler & lui
Pl.trcnu»nt dr «:ipifaii\. —- |)o tous
pour prendro des mesures conlre les ageneca
d'émigralíon nniéricalnes, Les deux puissances li...fa.lj eCDUdmiqimsdo.wjuekiious nous occundresseronl une noto collectiye au Brésil «t 1!.. pon-. dopiits qi.elquos móis-, un seul ne nous
Républiqüo Argentino puni- lesinviter A repous- parait niexplicable ni èxplíqVé'.*"
("est la luis-e qui se protluit sur los* valenrs
ser les éu.igranls arrivant sans au-ur.o resdes
cbemuis de fer ou llrésil et qui subteseril li
source, et A accorder tontos los facilites pour
depncinlion
leur rnpnlrlemcnl. .
proportionnellc cl justiliée de tous
-avçnir àpprécin('iinipiiiaH—Le 1'résideiiÍ do riiilcndai.ee les titres de compngnks sans
Ido.
iiiunicip.ile do celle ville a diVidé do convoquer
On le siit : la prospérilé des onlrepriscs de
uno asseuitiléo de plantcurs pour domnnder leur
voies
férreos esl nssureo par un des deux facleurs
avis enco qui concerne rouverturc «!•! liou
Imporlanls:
ou pjf rcxplollntion largflmont réveaux clioinins et les réparaliohs A faire aux
inunérée
pour certames ligues quj iraversent
anciens.
Pendanlle móis davrll dCTilior, pn cortS actuellenienl l«'S régíons les plus prolitablement
tale 139 ilec*\s dans culto villé, dòilt 88 de explorees et cultiveis, ou nu pis aller p-ir Ia
irfoins que pendant lc inCiiie niois de 1'aiméo garantiu cuiiriédce par lo gtmvérhòmciit aux
projeta tondatlt A pnrler ranimatiou, Ia vie, sur
deriiiére.
les lerriloires dunt les riebosses áonl iiirmeüsos
ini' laoi.tclii- l»;«iii<it.- à .lul/ dc
et donl on p*ut ib>s aiijüurd'hui osiumpter les
l'óra—-I.e Pharol aiinonce quo lo I*r. Konseea esperanceis. Cetle
du
Hermes ot d'nutres ont riutentipn de fpntlur élnbllo sur la luse("aranUo"/.. goiivqrnomejit ost
dé 0
une nouvello banque dans cetteyillc au capital
Quel esl lo capital in hg.n ¦ ou etiropôéii qui
de*iO,OOO.lHH.ti. |.|. Dr. Fonseca llenr.-s et ses
acttielleiuent de co laux, sans cour.T les
nmis par.iisseni disposésíi inotiopoliscr [eslrans* jouissi*
basards de rindivent ogiolage ou do Ia spécu*
actions de banque de Jui/. de Fora.
latlon ellrénée qui ont détruit depuis quelque*
II seinblu que rcxistoiice (1'une banque au ca*
móis nu llrésil toutes les nptlons sur Ia bonne
'10,000:000,*,
sem de iialure A sullire
pitai de
adiiiin.slratioii de í'dparguo puldiquo f
aux besoins d'une population de I0,o«i0 A
Les valenrs de voies forreis, roprésunlent
(Kitir,
12,000 hnbitnnts.
nous, uu placemeul du tout repôs, et nous
Iiivpfetarln
d» liy^iiViic — Nous croyons devoir les in liquer A cuv
dt! nos lecavons exposé dans noire numero du 2 mai der- leurs
qui onl pu cii temps tVhapper A I ondo
nier les noinliivnx griefs quo divers orgniicsdo
qui culmine vers 1'abtmo ceux qui sesunt
lapresSedo celle capilalo formuloient iontre laissés
In liôvre liiiauciére íjui n
prendre
1'llôpilnl Süo Sohnstião. .Nous croyons devoir dejn fait trop deparvicliuus.
reproduirè égulemenl les dóclarations faltes A
Les actions dc cliemins do fur nn llrésil out
cet égard par M. le Dr. Ilenlo Gonçalves Cruz subi les, c.msHiuonces de
la déliancoqui envalnt
A M. Io ministre dc 1'fntércur:
aujourd'bui tous les esprlls: c'est Io niomeul de
n M. le ministre de rmtorieur. — J'ai vis-.té i'iigir ei de
do Ia bals«e qui s'ést pioles bdpjtnuv dependants de 'mon, service d'in- il.iite sur ces profltpr
valenrs pour y revenlr hardimont
speclion et iai riio.ineur et la sallsfaction de dilt-uii sacrifier
pour cela los demiéres espéranvous infnrmer qun je les ai Irouvés dans uu état ces éveillées
par les basards dc la spéculntion
parfail de proprete. Quant A ràdmínislratlüil, inconsciente.
elle est irréprochalde.
I.clcotiirUô óciittoinfque —M.Rtiffet
La justice m'oblige h \*o.is allirmer que noest
riuveiiteur d'uho pile donl los élémenls solainmenl riiòpilnl Sfio Selinstino est nu dessus
lides
ivsseinlilenl :l ceux dos piles déja coimue*.
de lous les eloges, soil quant nu service medicai,
Les
élémenls liquides enlront dans uno com-,
miíi quant A son admtnislralioii íiitÜrietire) soit
bltiaisoil
nouvelle dont (cs résullnls extrnordienlin quant A la propreUvcl à 1'iirdro des inlii-,
sont
la oonslnnee. Ia bxiié ei í'abui.danco
(loiros
ineres ei dépendaiices. Cn ce qui concerne le
dans
la
produetion,
serv.ee du Iransport des malades il pour mil
LA dtfcompositfòh donne des oxydos de zinc
Òlre ciícoíõ ainélioré. «
.\omrllf Hde Não Pau'a-Oii anuonce pi des sous-produits; céux-ci, par une itinnipu(|ii'un liniiquierinipurlunl de. celle ville cluivhe lalion siliiplo oi rápido, so Iransforment en un
Is réaliser Ia fusion dos bniiqiies siiivàiilès: èngrnls exlfônioiileiil puissant, ot d'une vento
A bon iiinn:hiv, dom* fneile.
Cauções i/cS. /'nií/o o /fio, .tM.n/iar, Coiilmercia,
Los cnlculs fails par M. Lucion.export chiOperário e Teriilorial, Predial de S. 1'auh e
inisto dans uno grande fabrique belge, perEstado.
niellenl dVsthner que fe prix do revient serait.
Le Banco Operário deS. Paulú'va conslniire
do o fr. Oi par heiire et par lampo
un édilice. Diverses souiuissions onl élé présenpour les pro0,018
et
do
priélaires,
les
aboimés.
pour
lées, donl le chilVre varie enlro 185 ei 215* con4»«ocinUuii ('iimmcrciiilr de Balos do réis (entre 460 et oiO.OOO franes.)
, — La Companhia Nog^ana n fnil un contrat hia—-¦ Cotio associalion a adresso A Ia dato
avec 1 ingenieurTrap.no Machado pour la nm- du 9 mai dernier A celle de Rio de Janeiro un
slructionduprolongiMuenldo Uberaba .. Cliem- lél«**grai o conou dans ces lermos: « Les negoliuihn. I.n dépense esl évnluée A 2,t8í..)00,S cianls du llahia, ré.inis en assomblée exlraordiuaire, ont decide à runaiiiniité dil n_pos reli(tf,i"i*i,(>Ü0 1'rnncs.)
rei*
b s inareliandlses en donane A partir du 13
—Los néguciaiils de celle ville onl égale.uenl
moi
piocba.ii.nussilong tempsque lo gouvernepris Ia résolulion do ne plus retirer leurs marmeni nnb.ogera pas lu doeret sur les drpits on
títiuiidises de la douano aussi lóhglemps que lo
orou ne pnndra pns des mosures qufen mogotiveinemont n. prondra pas les mesures né- diliont losellels:
Ils deinandent A In Direction
cessaíros pniir meltre uu termo aux dillii-ullés
celle
do
AsM..*iatlon
desuivro leur exemple. »
du cominerco.
—Un journal do cet état
1'or
de
llinas
On nnnonce la disparilion d'un banquíèr
donne.
sur
1'or
les
rensoignonioiil suivoiils :
du celle inôn.e villa. Coito fuzile causer.i:t mi
« 1,'or a été découvert dans 1'ôlat' de Minas- •
aclionnaiivs.
aux
grand prejudico
ilierais en! ICOli, dans loncien béurg do Carmo,
Un viran^P traitenicnt.— Spus co
anjourd'liui villo coinmo sous le nom de Ma*
litro un journal elrangcr publio les ligues
eia.iiia. Ku 1700, conloruiéinenl nux ordros du
siCvniilcs:
.'oi, ou coiiiiiicnea h payer Fimpòt du cinquièNuus uvons aunoncé, il y n quelque temps,
ijie, qui rapporla «i la metrópole, depuis celle
qu'uii dóclour do Cuba ayaít découvert un date
jusqu'eu Décembre 1777, Ia quantitô dé
\ uui!i jourla guéiisni de la liôvre jaune. 19.8ii(308 oitavas
(1'oilava équivant A 3 gram*
LETOILK
#».^**«»«**««l*»»l»<
«Ml-..
II
OO
3
SUD
I .1
ni!».*. í>8 coiitig). Cet or vondti ii raison «lu l«5ò'00 Cmiüir — Arrivages «laja «lornièriJ si-hi.iíiic : enviroli
S,0O|_l bariii.
Yoiima, rcpiVsenta il dòne uiu* vnlfur de
Cuiirs
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:j'» mMU (íí.ítVI.t)'i() franch euvlr«>n;l Au prix
Wl.ifq
brotucri
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89400*—8o'S0a
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(Io Iti/. rélivbil Simoii.
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«ín ne petii rien trottver de ;' i elrítrai
CrÒlllQ S*illlOII Cunlle t.. fi,,
/«'•urj. — 1'vitaz l«'« cnntn»'.!«,tiii*. et véi.fle* Ciou Ut
»»)_;iiaturt! de S1MÜN. »i«j de 1'iavfitet, 30. /Mrd.
Au « 1'rliiloiiipH ..—.Nous iippislijii?. tout
«Ie nos luctours -ur
pãrliculiereitieiit l'nttontioi|
*i*
raniíonce faito .1 Ia
pago par k*s Umnds Mig.Hins du Veinlemps—lVins.
.üs*vi'*Y<»rk lil'** iiistiriuu*»* ('omfiany. — La iuòcursalo da eetlc roni^gitii»
d'as$urançes sur Ia vio, publio cliaquo mais
dans ÜJSloiU du Sud, IVIat nomliialjí ilf" pn*
1 ia*s liipiKliVs «tu llròsit pit suiil« des dée«^ y
advenus.
Ali 30 Avril tir.. los soturnos p.iyóes aux
as.*uri's s*élevaiout .1 I.S00 ou/oi dt rtis ou
.'iivih.ii '4 vnlliniis 701) mille punttl .ni Cliailgo
acluol.
—Ia Nouvelle ttevue, l'olltiat|ij,5CÍeiitiili|iie ».*l
llttéralro, paralssant !<•> I••* *-1 Í5dü chaque mois
Pri*** «le latmiinoiiifiit pour le Drôsll: Un an
ll-. iSjiMKi;
mnis Its. 1S/J0ÍK); trois mnis
•siCMM). l.es st\
nbiiiiiioinoiits partent des- j"1* ot IS
do chaipie uioi». A(lro»sor lòs deinandea d'àbohnoniOnls au Dtrectcur de l.'tUmle du Swl, 83 llu.i
Gunçdlvea Dias. Hio .Io Janeiro.
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.1 Ili
MARCHE DIMPORTATION
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I.BVÓ
Supèriftúr et tin....
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ARTIOLES DIT3 DE CARGAISON
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IjÜS- Vjn» ordiiiütrcs «le méme provenance,
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itálterlsw malntiennènt emn- KKIí* Pt I20< Ia
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285S a 3Ü08 Ia pip0. Les «Llsboone. riiiigo
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ClííijNo/ioarniK1 srèoiale pour Ia «Cie. Çoop.
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videmlo siipnlemcntar de 208 por oc.;âo do extineto
Banco dos LsWdos Unido» do Brazil, são coavidados
a vir reoel.ô-lo na tl.eaourarià do Bsnco «a IteN*
liliòa, aii «iiial terão de («asar, em livro «apocial*
detiilnado a este fim, «juitaçiu do referido dividendo.
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Ckapallcrlca:
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Oroftarlaa:
do Itio da Prata no .dia 27 do corrente, tahirft pare
LISBOA e BORDEOS, tocando ne RAUIA, PERhwtmtrt—Raa da «Quitanda a. 35.
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