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Edition nº 66 | Série II, du 25 janvier 2012
Hebdomadaire Franco-Portugais
GRATUIT
O jornal das Comunidades lusófonas de França, editado por CCIFP Editions,
da Câmara de Comércio e Indústria Franco Portuguesa
morreu João Teotónio pereira,
07 ex-Cônsul geral de portugal
em paris e Chefe de gabinete
de paulo portas.
Edition
F R A N C E
Fr
lusojornal.com
03
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09
PUB
21
Remessas. As remessas dos emigrantes diminuíram em 2011, sobretudo
de França, embora continue a ser o país
que mais envia dinheiro para Portugal.
Geminação. Uma delegação de Fafe
vai no próximo fim de semana a Sens
com vista à assinatura de uma geminação.
Empresários. Entrevista com Valdemar
Francisco, empresário português e membro da Câmara de Comércio e Indústria
Franco-Portuguesa.
Futebol. O Créteil/Lusitanos empatou
com o Bordeaux para a Taça de França,
mas acabou por ser eliminado nos
penáltis.
Johnny
primeiro single
D
&
12
13
“Quero saber Quem és” apresentado esta semana
Olívia de Soares
02
opinião
le 25 janvier 2012
Chronique d’opinion
em
síntese
pergunta do pCp
sobre ensino
O Deputado Comunista João
Ramos, apresentou na semana
passada, na Assembleia da República, uma pergunta ao Ministro
dos Negócios Estrangeiros sobre a
Alterações no ensino do português
no estrangeiro.
“As alterações ao sistema de Ensino do Português no Estrangeiro,
de cuja estrutura o Ministério dispensou 49 professores no final do
ano passado, deixaram sem
acesso ao ensino da cultura e da
língua portuguesas grande número de Portugueses e lusodescendentes. Passada a fase em
que o Instituto Camões dispensou
os professores e abdicou da sua
obrigação de proporcionar essa
oferta aos Portugueses residentes
no estrangeiro, surgem agora, pelo
menos na Suíça, as notícias das
mais diversas formas de colmatar
a falta provocada pela retirada do
Instituto Camões. Acontece que
estas alternativas estão envolvidas
de muito
pouca clareza” escreve o Deputado João Ramos.
Segundo o Deputado “parece
haver professores a quem os pais
pagam diretamente. Outros regressaram à sua escola de origem
em Portugal e agora voltam por
destacamento ao mesmo horário
mas com o vencimento dessa
mesma escola de origem. E ainda
há notícia da existência de protocolos entre o Instituto Camões e
várias comissões de país”.
O Deputado Comunista diz que
“temos agora o ensino não a dois
mas a três níveis. O dos Portugueses que têm acesso ao ensino
da responsabilidade do Instituto
Camões, o daqueles que podem
pagar a um professor para que os
filhos tenham acesso ao ensino e
ainda o dos que não podem pagar
e não têm acesso ao ensino da língua e cultura portuguesas”.
Preocupado com esta situação,
João Ramos pergunta se o Ministro conhece “da existência de professores a quem os pais pagam
diretamente, que articulação têm
estes professores com o sistema
oficial do EPE, como são certificados os níveis de formação destes
alunos e de quem é a responsabilidade pelos espaços onde ocorrem as aulas, pelos materiais e até
pelos seguros escolares.
henri de Carvalho
Écrivain à L’Isle Jourdain
simple retour
[email protected]
Les BRICS, vous connaissez?
C’est par cet acronyme que l’on désigne les principaux pays émergents:
Brésil, Russie, Inde, Chine et South
Africa (Afrique du Sud).
On parle souvent, à l’heure actuelle,
de globalisation, de mondialisation et
même d’asiatisation. Pourquoi?
Il y a quelques décennies, dans un
film intitulé «Les dieux sont tombés
sur la tête», un indigène en pleine
brousse africaine, voyait tomber à ses
pieds une bouteille de ‘coca-cola’, en
même temps qu’un avion s’éloignait
dans le ciel vers l’horizon. Et tout le
film montre notre héros à essayer de
comprendre le signe que les dieux du
ciel lui avaient envoyé. Tout en restant
dans l’ignorance que des bouteilles
comme celle-là, envahissaient le
monde entier, par milliards, comme
d’autres Pepsy, MacDo, Microsoft,
Whisky, séries américaines, et tout
cela en langue anglaise.
Depuis la ‘Perestroïka’ de Mikhaïl Gorbatchev et du démantèlement du bloc
soviétique, le monde appartenait à
l’Amérique triomphante. Mais depuis
une dizaine d’années, de nouvelles
entités: les BRICS, émergent à vue
d’œil, du fin fond de l’âge de la pierre,
selon ce que veulent nous faire croire
les mauvaises langues occidentales,
mais détrompons-nous, ne nous y
laissons pas piéger.
Prenons par exemple l’Inde et la
Chine: à toutes les deux, leur population équivaut à 240 fois celle du Portugal, et elles ont dominé le monde
depuis bien avant l’avènement chrétien. 500 ans avant notre ère, le
Bouddha en Inde ainsi que Lao-Tseu
et Confucius en Chine, ont crée le
processus identitaire de deux grandes
civilisations et de deux grands ateliers
du monde. Il y a 2000 ans, la Chine
maîtrisait déjà la fabrication et la cuisson de la porcelaine, alors que 15 siècles plus tard, les européens
mangeaient encore dans des écuelles
en terre cuite. Idem pour la métallurgie et notamment l’industrie du fer
(500 ans av. JC.); les explosifs, le papier, les techniques agricoles de
masse, la joaillerie, les arts et l’artisanat en général, mais surtout l’exploitation de la soie. Dans tout cela,
comptez de 500 à 1.000 ans
d’avance par rapport à l’Europe. On
peut comprendre mieux en sachant
que la Mésopotamie (une grande partie de l’Iraq actuel) a été, 5.000 ans
avant JC le berceau de toutes les civilisations, avec son organisation sociale en villages d’agriculteurs, des
techniques agricoles par systèmes
d’irrigation, les arts et surtout l’invention et le développement de l’écriture,
qui se sont propagées vers l’Egypte, la
vallée de l’Indus et la Chine.
L’Inde était, à l’époque de la Renaissance en Europe, le principal moteur
de l’économie mondial, constituée, en
plus de l’Inde actuel, du Pakistan
d’un côté, du Bangladesh de l’autre,
ainsi que d’une partie de l’Afghanistan, et forte de 150 millions d’habitants. Ses techniques dans le travail
de la soie, de l’orfèvrerie, du sertissage, des émaux, du cuir pour la cavalerie, étaient à l’apogée. Ses
fondeurs en bronze, cuivre et fer
étaient réputés et respectés dans
toute l’Asie.
Quand Vasco da Gama, et plus tard
Pedro Alvares Cabral, suivis d’autres
‘grands’ européens arrivèrent en Inde,
ils se sont sentit comme des enfants
éblouis dans une boutique de bonbons, tellement s’étalait la finesse, la
beauté et la richesse des choses et
des marchandises. Eux qui y sont arrivés avec des peaux et autres babioles pour faire du troc,
s’entendaient répondre à peu près
ceci: «Qu’est-ce que vous voulez
qu’on en foute de ça!?... Rapporteznous plutôt de l’or, de l’argent et des
pierres précieuses et nous vous en fabriquerons de belles choses». Et c’est
ce que les européens ont fait: un tiers
de ces métaux nobles et pierreries volées aux civilisations d’Amérique du
Sud, ou arrachées par l’esclavage
dans les mines du haut Sénégal, en
Côte d’Or, au Zimbabwe, c’est-à-dire
par centaines de tonnes, sont reparties en Inde et en Chine pour payer
des épices exotiques, et habiller ces
messires et nobles dames des cours
européennes, bien pauvres et démodés par rapport à l’Asie.
Hélas!... Au début du 18ème siècle,
l’arrivée en force des ‘compagnies’ européennes, surtout anglaises, bien décidées à mettre la patte sur ces
richesses et savoir faire, ont fait basculer cet ensemble millénaire, dans la
plantation forcée d’opium, de coton et
dans la ruine, jusqu’à ce que le grand
Gandhi arrive. C’est encore à partir de
ce siècle, soit disant des ‘Lumières’ et
du début de l’industrialisation, l’Europe armée et instruite de tous les savoirs, grappillés aux quatre coins du
monde, depuis la Renaissance, que
ce soit an Asie pour l’évolution technologique; en Afrique pour la richesse
du sol, du sous-sol et de ses esclaves,
ainsi qu’en Amérique du Sud pour ses
trésors et ses mines, repartit donc, à
la conquête de la planète.
Mais depuis deux décennies, notre
monde a complètement chamboulé
de nouveau, dans un espace temps
très court: la fin de l’‘apartheid’ en
Afrique du Sud; les réformes de Deng
Xiaoping en Chine et de Manmohan
Singh en Inde; Poutine en Russie,
avec ses atouts énergétiques (et ses
mafias); le dynamisme de Lula et de
l’agro-alimentaire brésilien; d’un autre
côté, les leçons d’humilité?... de
l’Amérique au Vietnam, en Iraq, en
Afghanistan, ont remis en mouvement
une réinitialisation de la place de
l’Asie dans le monde. Aujourd’hui ce
sont eux qui ont l’argent et le pouvoir
de venir faire des emplettes en Europe. Selon une étude du Pew Research Center en 2011: 87% des
chinois ont confiance dans l’avenir,
comme 50% des brésiliens, contre
seulement 30% des américains et…
26% des français. Sans commentaire.
Il nous reste, bien entendu, certaines
valeurs dont nous pouvons, pour un
certain temps encore, en retirer
quelque fierté: la pratique de la démocratie, et la mise à disposition de
chacun, des savoirs nécessaires pour
faire évoluer son projet d’expression et
réalisation personnelle. Mais l’Asie
aussi, nous a transmit, et surtout aujourd’hui, des formes de spiritualité
haut de gamme, basées sur le détachement du matérialisme maladif; la
recherche de l’harmonie de nos propres énergies; l’appropriation personnelle d’une transcendance non
dogmatique, etc. Il y a une légende en
Inde qui raconte qu’Alexandre le
Grand, y est allé à la recherche d’un
sage très connu. L’ayant trouvé dans
un recoin de montagne, il lui dit:
«Mon ami, je suis un grand roi, que
puis-je faire pour toi?» et le vieux sage
de lui répondre: «Tu me caches la lumière du Soleil, écarte-toi un peu,
c’est tout ce que je te demande».
C’est un peu cela la spiritualité en
Inde.
Aujourd’hui, heureusement, de plus
en plus d’historiens se soucient
d’éclairer d’un regard nouveau, l’Histoire humaine, replacée dans ses
contextes géographiques et temporels
et relue sur place, au lieu de celle, apprise dans notre enfance, qui nous expliquait que l’Europe était le centre
du monde, et qu’autour ne régnait
que l’obscurité, l’ignorance et la misère. Cela ne veut nullement dire que
tout était, ou est parfait, dans les autres continents, mais, qui peut admettre actuellement, que le notre est ou
a été un phare d’exemplarité?
En tout cas, il n’est jamais trop tard,
pour tous ceux qui veulent garder les
yeux et l’esprit ouverts, de s’habituer
à une relecture plus contemporaine
de l’Histoire des peuples, et de
constater par là même, que nous, européens, avons bien plus reçu que
donné.
Sources: Réseau Asie £ Pacific
Bilateral
reuniu Comissão mista sobre ensino
Reuniram na segunda-feira desta semana, já depois do fecho desta edição
do LusoJornal, delegações do Ministérios da Educação de França e de
Portugal.
Antes da reunião, o Secretário de Estado das Comunidades, José Cesário
disse que “nos últimos anos, houve
um desequilíbrio muito grande. Portugal assegura aulas a 230 mil alunos
de francês no secundário, enquanto
que França tem a seu cargo apenas
35 mil de português. É nossa intenção que haja maior investimento por
parte do Governo francês nesta área”,
afirmou.
José Cesário lembrou que “o português é hoje uma língua de trabalho
em diversos pontos do mundo” e
considerou que “o Governo entende
que o ensino da língua portuguesa
também interessa a França”.
“Sabemos que não é a melhor altura
para discutir esta questão porque
todos os Estados estão a passar dificuldades e estão a implementar medidas de redução da despesa, mas
isto estará em cima da mesa”, até
porque, acrescentou, “a resposta de
Portugal ao nível do ensino básico é
muito significativa, mesmo depois dos
cortes na rede de professores, e é preciso que esses alunos tenham oportunidade de continuar a aprender a
língua”.
Ao abrigo deste acordo bilateral de cooperação, o Governo português assegura o ensino do português em França
durante os anos do básico e o Governo
francês durante o secundário.
LusoJornal. Le seul hebdomadaire franco-portugais d’information | Édité par: CCIFP Editions SAS, une société d’édition de la Chambre de commerce et d’industrie franco-portugaise.
N°siret: 52538833600014 | Represéntée par: Carlos Vinhas Pereira | Directeur: Carlos Pereira | Collaboration: Alfredo Cadete (desporto), António Marrucho, Aurélio Pinto, Carlos dos Reis,
Clara Teixeira, Cristina Branco, Dominique Stoenesco, Duarte Pereira (ciclismo), Elodie de Barros, Fátima Sampaio (Reims), Flávia Rocha, Henri de Carvalho, Inês Vaz (Nantes), Joana
Valente (Alpes), Joaquim Pereira, Jorge Campos (Lyon), José Paiva (Orléans), Julien Milhavet, Liliana Araújo, Luis Horta, Manuel Martins, Mélanie Pereira, Manuel do Nascimento, Maria
Fernanda Pinto, Maria João Gonçalves Pozzetti, Natércia Gonçalves (Clermont-Ferrand), Nathalie de Oliveira, Norberto Guerreiro, Nuno Gomes Garcia, Padre Carlos Caetano, Sheila Ferreira
(Clermont-Ferrand), Valérie Jan | Chroniqueurs: Aurélio Pinto, Carlos dos Reis, Carlos Gonçalves, Carlos Vinhas Pereira, Daniel Ribeiro, Henri de Carvalho, José Paiva, Manuel de Sousa
Fonseca, Nathalie Oliveira, Padre Nuno Aurélio, Paulo Dentinho, Paulo Pisco | Les auteurs d’articles d’opinion prennent la responsabilité de leurs écrits | Agence de presse: Lusa | Photos:
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Comunidade
le 25 janvier 2012
03
Vinhas Pereira diz que Portugal não atrai dinheiro dos emigrantes
emigrantes mandam menos dinheiro
para portugal
Carlos Vinhas Pereira diz que Portugal não cria incentivos
CCIFP
Por Carlos Pereira, com Lusa
As remessas dos emigrantes caíram
22,8 milhões de euros nos primeiros
11 meses de 2011 em relação ao período homólogo anterior, situando-se
nos 2.138 milhões de euros, segundo
dados do Banco de Portugal divulgados na semana passada.
De acordo com o Boletim Estatístico
de janeiro, até novembro de 2011, os
portugueses residentes fora do país
tinham enviado 2.138,934 milhões
de euros para Portugal, enquanto no
mesmo período de 2010, o dinheiro
enviado do estrangeiro atingiu os
2.160,934 milhões de euros.
A maior queda registou-se nas remessas enviadas pelos Portugueses de
França, que mandaram menos 33,2
milhões de euros. No entanto, com
790.509 milhões de euros enviados
no período em análise, a França continua a ser o país de onde é enviado
mais dinheiro para Portugal.
A Espanha registou a segunda maior
queda, 20,8 milhões de euros, tendo
sido enviados deste país 78.976 milhões de euros. Segue-se o Luxemburgo, com menos 18,2 milhões
enviados e um valor global de remes-
sas na ordem dos 57.425 milhões de
euros. Alemanha (menos 9,2 milhões), Canadá (menos 7,1 milhões),
Venezuela (7,1 milhões), Brasil (2,2
milhões) e Estados Unidos (menos
831 mil euros) são países que registaram igualmente quebras no envio
de dinheiro para Portugal.
A Suíça foi o país que mais viu crescer as remessas de divisas para Portugal, mais 54,7 milhões para um
total de 565.607 milhões de euros.
Os Portugueses do Reino Unido enviaram mais 10,3 milhões de euros,
atingindo os 97.010 milhões de
euros, e as remessas da rubrica
“Resto do Mundo” cresceram 4,3
milhões para 181.693 milhões de
euros.
Novos emigrantes não
compensam a descida
A quebra das remessas enviadas por
emigrantes portugueses em França
deve ser cruzada com o facto que
cada vez chegam mais Portugueses a
este país. Os emigrantes que chegam
agora, trazem, em geral, dívidas em
Portugal, que têm de pagar e as diferentes instituições bancárias contac-
tadas pelo LusoJornal têm confirmado
que as práticas dos “novos emigrantes” são efetivamente de fazerem
transferências de fundos para as
contas bancárias que têm em Portugal.
Se há gente a enviar dinheiro para
Portugal, e mesmo assim há uma
baixa no envio, quer dizer que a emigração “mais instalada” manda efetivamente menos fundos para Portugal.
A prova está que, na Suíça, com uma
emigração bem mais recente (e crescente), as remessas continuam a
subir.
Por outro lado, os dados agora divulgados correspondem aos primeiros
onze meses do ano 2011. O pedido
de ajuda de Portugal às instituições
financeiras internacionais já ocorreu
no meio do ano, mas a instabilidade
política, essa, já vem de mais longe.
Provavelmente a diminuição ainda vai
ser maior em 2012, porque os emigrantes gostam de estabilidade e não
das turbulências atuais.
Portugal não sabe atrair
remessas
Carlos Vinhas Pereira, o Presidente da
Câmara de Comércio e Indústria
Franco-Portuguesa (CCIFP), economista de formação, disse ao LusoJornal que “compreende” esta descida
das remessas dos emigrantes.
“Temos de ver que a França, mesmo
se está numa situação melhor do que
Portugal, também foi muito afetada
por esta crise financeira mundial e por
isso, não é de estranhar que os Portugueses que aqui residem, sigam a
tendência geral de poupar mais, e de
guardar as suas poupanças próximo
deles” explicou Carlos Vinhas Pereira.
“Esta é uma medida de precaução
perfeitamente compreensível”.
Mas o Presidente da CCIFP tem outra
explicação: “Portugal não soube criar
nenhum incentivo para atrair os depósitos dos Portugueses que estão no
estrangeiro”.
Segundo Carlos Vinhas Pereira, que
também é professor de economia na
Universidade de Paris Dauphine, “os
Portugueses também têm alguma
cultura financeira e se não têm eles,
têm os filhos. Por isso sabem bem se
há rendimento em colocar o dinheiro
em Portugal ou não. E o certo é que
atualmente não há qualquer incentivo”. Por isso não se mostrou admirado com esta descida. “Portugal tem
todo o interesse em criar produtos financeiros para que os emigrantes
ponham o dinheiro em Portugal, retribuindo os depósitos de quem mora
fora, de forma consequente. Vale mais
isso do que ir buscar dinheiro ao mercado, a preços bem mais altos”.
“O comportamento dos emigrantes
face à colocação dos fundos é o
mesmo que os outros atores económicos, ou seja, eles colocam os fundos
onde é mais interessante e penso que
hoje Portugal não sabe atrair estes
fundos” diz Carlos Vinhas Pereira. “O
famoso rácio risco/rentabilidade está
contra nós, mas como pode ver no
rácio basta aumentar a rentabilidade
para suscitar procura. Infelizmente
não se pode influenciar a vertente
risco porque ainda é muito cedo para
poder verificar uma baixa do risco” explicou ao LusoJornal.
em
síntese
45.000
portugueses
órfãos na área
consular de
nantes
Por Inês Vaz
Na sexta-feira, dia 13 de janeiro, encerrou, como previsto, o Vice-Consulado de Portugal em Nantes. Os
membros da Comunidade portuguesa presentes esperaram pelas
15h30, hora em que se ouviu a fechadura fechar definitivamente a
porta, e depois foi colocado simbolicamente um ramo de flores para
mostrar que a partir desse dia os Portugueses estarão em luto.
O Vice-Consulado de Nantes era um
dos mais antigos e cobria a superfície
de 8 departamentos (22, 29, 35, 44,
49, 56, 79 e 85). Portanto a partir de
agora os habitantes das cidades de
Saint Brieuc, Quimper, Rennes,
Nantes, Angers, Vannes, Niort, La
Roche-sur-Yon, etc... deverão ir até
Paris para tratar dos documentos portugueses.
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lusojornal.com
Comunidade
04
le 25 janvier 2012
Carta foi entregue ao Embaixador Seixas da Costa
em
síntese
sTCDe reclama a
extensão da
assistência na
doença
O Sindicato dos Trabalhadores
Consulares (STCDE) que representa
os trabalhadores dos serviços externos do Ministério dos Negócios Estrangeiros, escreveu na semana
passada ao Ministro da Finanças e ao
Ministro dos Negócios Estrangeiros
reclamando a extensão da assistência na doença concedida à carreira
diplomática, através da Portaria
conjunta nº 305/2011, de 20 dezembro, que institui um seguro de saúde.
Este diploma, mandado publicar
pelos dois Ministros em dezembro
passado, visa “salvaguardar as situações em que o funcionário diplomático e o seu agregado familiar, por
força do exercício de funções daquele fora do Espaço Económico Europeu, carecem de recorrer a redes
privadas de cuidados de saúde, em
países em que é demasiado oneroso
suportar os custos dessa rede”.
Entende o Sindicato que exercem
funções nos serviços externos do
MNE, “para além dos funcionários diplomáticos, trabalhadores que se encontram abrangidos pelo âmbito
estatutário aprovado pelo DL
nº444/99 de 3 de novembro, os quais
exercem a sua atividade, precisamente, nas mesmas condições que
os referenciados funcionários diplomáticos, nomeadamente, considerando os países abrangidos por
aquela norma legislativa, enfrentando
os mesmos condicionalismos e as
mesmas dificuldades de acesso aos
cuidados de saúde de que carecem
e que, por Imperativo de Justiça, necessitam de ver analogamente salvaguardados”.
Assim, o STCDE requereu “célere informação sobre se é intenção do Governo fazer estender os efeitos
jurídicos decorrente da Portaria nº
305/2011 aos Trabalhadores abrangidos pelo EPSEMNE e, sendo essa
a intenção legislativa, para quando se
prevê a produção de efeitos daquela
eventual extensão”.
Neste contexto, o STCDE invoca “o
Princípio da Igualdade consagrado
no artigo 13º da Constituição da República Portuguesa, bem como o Direito à Proteção da Saúde plasmado
no artigo 64º da mesma Constituição”.
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Comissão de Defesa dos Direitos
dos portugueses em França escreve carta
a Cavaco silva
A Comissão de Defesa dos Direitos
dos Portugueses em França
(CDDPF), criada pela Comunidade
em resposta aos cortes anunciados
pelo Governo no Ensino do Português no Estrangeiro e na rede
consular, escreveu uma carta a Cavaco Silva.
A carta foi entregue na semana
passada ao Embaixador de Portugal em França, Francisco Seixas da
Costa.
O LusoJornal transcreve na íntegra
a carta:
Exmo. Senhor Presidente, da República Portuguesa, Aníbal Cavaco
Silva,
A Comissão de Defesa dos Direitos
dos Portugueses em França vem
respeitosamente alertar e solicitar
a intervenção do Senhor Presidente
sobre a situação incompreensível e
injusta como estão a ser tratados
os cidadãos Portugueses em
França e na Europa.
A comissão não desconhece a situação económica difícil na qual se
encontra Portugal atualmente. Os
Portugueses residentes no estrangeiro são cidadãos responsáveis e
solidários que estão disponíveis a
prestar o apoio necessário para ajudar o país a sair da situação inconfortável na qual se encontra.
Lembramos que estes enviam
anualmente remessas no valor de 2
mil milhões de euros, quantia que
merece consideração para um país
tão endividado como é Portugal
neste momento!
Nas diferentes intervenções e mensagens, o Senhor Presidente, sempre deu o seu apoio às
Comunidades portuguesas do estrangeiro alertando os diferentes
Governos para o potencial que elas
representam.
Os Portugueses no estrangeiro são
os melhores embaixadores de Portugal. Eles são os vetores indispensáveis nas exportações dos
produtos portugueses, mas também grandes investidores em Portugal. São portanto uma mais valia
para a economia portuguesa e os
melhores parceiros comerciais. Em
suma, eles são a ajuda de que
tanto precisa Portugal nesta altura
para sair da situação de quase falência a que chegou.
Por todas estas razões, Senhor Presidente, é incompreensível o desprezo como estão a ser tratados os
Portugueses no estrangeiro pelo
Governo atual que decidiu perentoriamente e sem concertação, fechar Embaixadas, Consulados e
suprimir 49 postos de professores
de ensino de português língua estrangeira, pondo fim ao contrato
destes professores a 31 de dezembro de 2011 – os professores
foram avisados do fim dos contratos 15 dias antes! Fabulosa prenda
de Natal que deixou estes professores em situação precária, sem
mencionar a ilegalidade jurídica
Parcídio Peixoto, Lurdes Rodrigues e José Martins com o Embaixador
LusoJornal / Susana Alexandre
deste tipo de decisões.
Estas medidas, Senhor Presidente,
são chocantes e escandalosas e
deixam em França por exemplo,
mais de 2.600 alunos sem aulas
em janeiro 2012. Os alunos começaram as aulas em setembro e não
chegam a acabar o ano escolar! É
uma situação injusta e aberrante.
A Comissão relembra ao Senhor
Presidente que é um dever constitucional assegurar o ensino da língua portuguesa aos Portugueses e
filhos de Portugueses no estrangeiro.
Que imagem vão ter estas crianças
de um país de que eles tanto gostam e que querem aprender a sua
língua e a sua cultura e que os
abandona a meio do caminho? A
língua portuguesa é a pátria dos
Portugueses que residem no estrangeiro. Tirar-lhes a língua é retirar-lhes a identidade. A língua é o
laço emotivo que os liga a Portugal.
Sem esse elo, eles vão acabar por
virar as costas a Portugal. Será
essa a vontade do Governo atual?
Que imagem dá o nosso país às
instituições e parceiros locais com
estes procedimentos?
O Senhor Secretário das Comunidades, o Senhor Dr. José Cesário
alega que é meramente por razões
económicas que estas medidas
foram tomadas mas acabou por
confessar nas redes sociais que
cada vez acredita menos no ensino
público. Que o ensino da língua
devia ser atributo das associações
ou das paróquias. É um retrocesso
aos anos sessenta, setenta! A língua portuguesa só adquirirá o estatuto de língua internacional se for
lecionada nas escolas e universidades. Mas na realidade, trata-se
antes de tudo de uma privatização
do ensino. Estas medidas foram tomadas, Senhor Presidente, não por
razões económicas mas ideológicas.
Quanto ao encerramento dos ViceConsulados e das Embaixadas, é
outra decisão incompreensível. Se
Comissão de Defesa dos Direitos
dos portugueses em França
Álvaro Pimenta, Conselheiro das Comunidades, Bordeaux
António Fonseca, Vice-Presidente do CP-CCP, Paris
António Oliveira, Secretário da ADEPBA, Paris
João Barbosa, Presidente da Associação Católica, Roubaix
João Veloso, Presidente da associação Camponeses Minhotos,
Clermont-Ferrand
José Cardina, Presidente da CCPF, Paris
José Justo Martins, Empresário, Paris
Nathalie de Oliveira, Conselheira municipal, Metz
Manuel Ferreira, Presidente de CAP OUEST, Nantes
Maria de Lurdes Rodrigues, membro do STCDE, Hauts-de-Seine
Parcídio Cunha Peixoto, Conselheiro das Comunidades Portuguesas,
Yvelines
Susana Alexandre, Artista Plástica, Paris
as razões destas extinções são económicas, seria útil fazer um levantamento do que representam estas
estruturas públicas em despesas e
benefícios. Vários estudos apontam
os Vice-Consulados como sendo
beneficitários. De resto a função de
um serviço público é de prestar
antes de tudo um serviço em benefício dos cidadãos e não de ser lucrativo.
Milhares de portugueses serão
obrigados doravante a se deslocarem duzentos, trezentos e quatrocentos
quilómetros.
Frequentemente são os mais idosos, os reformados que são obrigados a se deslocarem, serão estes,
os recém chegados e vindouros os
mais penalizados, pois os Portugueses de segunda e terceira geração tendo também a nacionalidade
francesa, simplesmente desistirão
da portuguesa. Será essa a consideração que tem Portugal por
essas pessoas que tanto se sacrificaram para enviar divisas durante
largos anos?
Também devido à situação atual e
empurrados pelo Governo, milhares
e milhares de Portugueses estão a
deixar Portugal e a partir para o estrangeiro. Como é possível apelar
os Portugueses a partir e ao mesmo
tempo suprimir as estruturas de
acolhimento e apoio no estrangeiro?!
Sem esquecer, além disso, o trabalho desenvolvido pelos funcionários nas Embaixadas e Consulados.
Com encerramentos feitos de
forma “cega”, Portugal vai perder
muito mais do que vai beneficiar.
Os funcionários além de prestar os
serviços correntes são também os
Embaixadores junto das Comunidades onde residem promovendo
eventos culturais, a língua, produtos e empresas portuguesas e incentivando e facilitando o
investimento em Portugal.
Para concluir, Senhor Presidente,
A situação é grave e dramática para
os milhões de Portugueses residentes no estrangeiro. O desprezo
com o qual são tratados pelo Governo atual é escandaloso e inadmissível. Todas as medidas
tomadas são irresponsáveis e chocantes. É por todas estas razões
que a Comissão de defesa dos direitos dos Portugueses em França
faz apelo ao Senhor Presidente da
República para intervir junto do
Governo atual afim que este reconsidere a situação.
Nós, cidadãos portugueses, preocupados com a situação no estrangeiro e em Portugal, ficamos
portanto a aguardar uma intervenção positiva do Senhor Presidente
da República que é constitucionalmente o grande defensor dos direitos dos Portugueses.
Queira receber, Senhor Presidente
da República, os nossos cumprimentos cívicos e a nossa mais elevada consideração.
Comunidade
le 25 janvier 2012
05
Com vista a uma futura geminação
Delegação de Fafe desloca-se a sens
No próximo fim de semana, entre os
dias 27 e 29 de janeiro, uma delegação de Fafe vai deslocar-se a Sens, a
convite do Maire daquela cidade francesa, Daniel Paris, estabelecendo as
primeiras bases para uma futura geminação entre as duas cidades.
A delegação de Fafe vai ser chefiada
pelo Presidente da Câmara Municipal,
José Ribeiro e integra várias personalidades locais, dirigentes associativos
e empresários.
A comitiva vai chegar ao aeroporto de
Orly no dia 27 e depois segue para
Sens onde vai ser acolhida por Daniel
Paris e por Marie-Paule Chappuit, Adjunta com o pelouro das relações internacionais.
A ideia de geminar Sens com Fafe é
antiga. Já houve visitas de ambas as
partes, mas as mudanças de autarcas
fizeram com que os contactos tivessem sido perdidos. Recentemente,
aquando da visita do Cônsul Geral de
Portugal em Paris a Sens, o Maire Daniel Paris pediu a ajuda de Luís Ferraz
para voltar a restabelecer contactos
com a municipalidade portuguesa.
“Temos uma forte Comunidade portuguesa na cidade, temos mesmo uma
Conselheira municipal de nacionalidade portuguesa e queremos criar
uma relação mais estreita com uma
cidade portuguesa” disse na altura o
Maire Daniel Paris, ao LusoJornal.
Luís Ferraz estabeleceu de imediato o
contacto e a oportunidade para um
primeiro encontro surgiu quando José
Ribeiro, o Presidente de Câmara Municipal de Fafe, veio a Paris para a
apresentação do livro de Daniel Bastos no Consulado Geral de Paris. Na
altura, Marie-Paule Chappuit deslocou
se a Paris para encontrar José Ribeiro
e veio acompanhada pela Conselheira
municipal Manuela Godinho e pelo
Presidente da associação portuguesa
M. Leiras. “Foi um encontro muito positivo e está lançada a pedra para uma
geminação” disse ao LusoJornal Manuela Godinho.
Durante a estadia em Franca, a comitiva portuguesa vai visitar Sens, vai
encontrar-se com algumas das estruturas da cidade e está marcada uma
reunião bilateral onde devem ser definidos os eixos principais da geminação. Só nessa altura vai ser
estabelecido um programa para a assinatura efetiva da geminação.
Composição da Comitiva
de Fafe
José Ribeiro,
Presidente da Câmara Municipal
Victor Moreira,
Vereador do Turismo e Atividades Económicas
Hernâni Costa, Presidente da Associação Empresarial de Fafe
Laurentino Ferreira, Secretário-Geral
da Associação Empresarial
Pompeu, Pintor
Manuel Joaquim Lima, Empresário
Vitivinícola
Jorge Ramos Freitas, Empresário
Metalúrgico
Carlos Mendes, Empresário de
Alumínios
Ricardo Gonçalves, Empresário
Turístico e Diretor da Naturfafe
Humberto Filipe Teixeira, Técnico da
ADRAVE (Agência de Desenvolvimento Regional do Vale do Ave)
Vai ser recebido com uma manifestação em Clermont-Ferrand
José Cesário em lyon e em Clermont-Ferrand
O Secretário de Estado das Comunidades inicia esta quarta-feira uma
viagem de dois dias a Clermont-Ferrand e Lyon, em França, seguindo
depois para Düsseldorf, na Alemanha, para discutir a rede de Permanências consulares e o ensino do
português.
José Cesário disse à agência Lusa
que em Clermont-Ferrand, uma das
três cidades de França que perderam
o Vice-Consulado, vai encontrar-se
com representantes dos Portugueses
ali emigrados, dirigentes associativos
e Conselheiros das comunidades,
para “ouvi-los acerca do mapa de futuras Permanências consulares e
acerca da possibilidade de criação
de um Consulado honorário na cidade”.
O Porta-voz do Coletivo de dez associações de Portugueses em França
que têm contestado o encerramento
do Vice-Consulado em Clermont-Ferrand, João Veloso, disse à Lusa que
os Portugueses convocaram uma
manifestação para a hora de chegada do Secretário de Estado.
“Vamos reunir-nos com José Cesário
depois de almoço, no edifício do an-
PUB
tigo Consulado. A Comunidade decidiu manifestar-se à porta”, afirmou,
garantindo que vai tratar-se de uma
manifestação “simbólica, calma e
cívica”.
O objetivo é, explicou, “mostrar o
descontentamento da Comunidade e
tentar preservar o Vice-Consulado”:
“À primeira vista discordamos da solução do Consulado honorário. Se
não houver mesmo outra possibilidade, queremos, pelo menos, poder
escolher o Cônsul”, acrescentou.
Questionado sobre se o nome já sugerido pelo Embaixador de Portugal
em França, Francisco Seixas da
Costa, para Cônsul honorário estaria
entre as questões a discutir nesta
reunião, o Secretário de Estado respondeu que não.
José Cesário vai encontrar-se em
Lyon com o Conselheiro das Comunidades, José da Rocha.
Desde o dia 13 de janeiro que os residentes em Clermont-Ferrand passaram a ter que recorrer ao
Consulado-geral em Lyon, a 200
quilómetros, os de Nantes e de Lille
a dirigir-se a Paris, a 400 e 200 quilómetros, respetivamente.
PUB
em
síntese
grupo de apoio
ao CCp em
Bordeaux
No passado dia 14 de janeiro, reuniuse no Consulado Geral de Portugal
em Bordeaux, a estrutura de apoio ao
Conselheiro das Comunidades Portuguesas da região Consular de Bordeaux, onde foram reeleitos os
quadros diretivos.
O CCP é o órgão consultivo do Governo para as políticas relativas à emigração e às Comunidades portuguesas e representativo das organizações não governamentais de portugueses no estrangeiro. O Conselheiro
das Comunidades eleito por Bordeaux é Álvaro Pimenta, que criou
um grupo de apoio.
Estiveram presentes neste evento Álvaro Pimenta da Associação FrancoPortuguesa de Leognan, João dos
Santos da associação O Sol de Portugal, José Rodrigues da associação
Alegria Portuguesa da Gironde, Valdemar Félix da associação Codif, José
Gardão da Associação Teatro Franco
Português, Vitor Mineiro do Grupo
Folclórico Alto Minho, Carlos Gonçalves do Grupo Folclórico Amigos de
Portugal, Bernardino Ferreira da Associação Franco Portuguesa de Biscarosse, assim como Vicente
Carvalho, representante do Banco
BPI.
o institut
Français du
portugal recruta
O Institut Français du Portugal recruta
um adido/a audiovisual responsável
pelo Festival do Cinema Francês,
pelos ciclos de cinema e pelo apoio
às indústrias musicais francesas. Os
candidatos deverão ter nacionalidade
portuguesa ou francesa e falar fluentemente ambas as línguas.
O posto deverá ser ocupado a partir
do dia 1 de setembro de 2012. Existe
a possibilidade de um início antecipado e de um acompanhamento
pela atual responsável que poderá ter
início em julho. As candidaturas, curriculum vitae e carta de motivação,
redigidos em português ou francês,
deverão ser enviadas até ao dia 29 de
fevereiro para [email protected].
Leia online
www.lusojornal.com
lusojornal.com
Comunidade
06
le 25 janvier 2012
José da Silva Fonseca é escultor em Lyon
português restaura estátuas da igreja de Feyzin
em
síntese
Por Jorge campos
les vœux de
l’association
d’oloron
Le 15 janvier dernier, l’Association
France Portugal Europe d’Oloron
Sainte Marie (64) fêtait l’épiphanie
et c’est autour du partage de la galette accompagné de cidre, de café,
jus d’orange et chocolat, que plus
de 120 personnes s’étaient rassemblées pour les vœux de l’association,
salle du Bel Automne, mise à disposition gracieusement par la Mairie.
France Portugal avait invité l’association «Galaxy», qui sera conviée
au Portugal cet été pour présenter
son spectacle dans le cadre d’un
échange avec un groupe folklorique
de Pedreiras, Porto de Mós.
Elsa Godfrin, Présidente de France
Portugal, dans ses vœux à la presse
et au public, a détaillé quelques actions qu’elle met en place actuellement pour célébrer le 25ème
anniversaire de la création de l’association. Parmi les activités plus
proches: la préparation d’une
grande exposition sur les «Parcs et
les jardins fleuris au Portugal».
Le Maire d’Oloron s’étant excusé, la
Présidente a remercié toutes les
personnalités présentes: Pierre
Bœuf, ancien Adjoint à la culture à
la Mairie d’Oloron et membre du
Conseil d’Administration de l’association, Anne Marie Mouchet,
Consule honoraire du Portugal à
Pau, Hervé Lucbereilh, Conseiller
général, plusieurs élus du Conseil
municipal et autres responsables
associatifs impliqués dans la vie associative de la cité.
Números que falam
José da Silva Fonseca nasceu na Covilhã, em Portugal, no ano de 1962.
Estávamos no início da grande vaga
de emigração que traria milhares de
Portugueses para terras de França.
Os seus pais participaram nesse
êxodo e foi na província francesa, na
região da cidade de Nîmes, que encontraram trabalho e se fixaram.
O jovem José, com apenas dois anos
de idade, cresceu, escolarizou-se e
bebeu na cultura francesa. Ainda
muito jovem, nele despertou o talento de desenhador. O seu interesse
para o desenho foi descoberto pelos
professores que o orientaram para a
Escola de Belas Artes de Nîmes.
“Gostei muito de ir para lá, mas
como nessa escola os alunos eram
mais velhos do que eu, porque eu só
tinha doze anos, houve problemas e
não conseguimos coabitar. Geraramse conflitos e acabei por sair”, esclarece José Fonseca. “Acabei a minha
escolaridade completando o Bac, e
foi mais tarde, em Paris, na Escola
de Belas Artes, que durante dois
anos eu aprendi a escultura. Depois
vim para Lyon onde completei o meu
curso e hoje sou professor nessa
mesma escola, onde tenho dois grupos de vinte alunos” disse ao LusoJornal.
José Fonseca esteve dois anos nos
Estados Unidos, em Nova Iorque,
onde trabalhou no restauro e criação
de obras de arte sobretudo a nível da
escultura. “Circunstâncias da vida
forçaram-me a regressar para a Europa, pois a minha esposa faleceu e
tive que me ocupar dos meus filhos”
explica ao LusoJornal. “Uma nova
aposta para mim, pois tinha que trabalhar, não só no ensino, mas também a materializar as minhas
obras”.
O trabalho de José Fonseca não é
apenas ensinar. “Eu senti a necessidade de criar também na pedra, no
gesso e no barro, as minhas ideias e
o fruto da minha imaginação” argumenta.
Estabelece-se em Lyon, precisamente em Caluire onde ainda hoje
José da Silva Fonseca com as suas estátuas
LusoJornal / Jorge Campos
tem o seu atelier. A Escola de Belas
Artes de Lyon acolhe-o como professor, mas o seu talento e o seu renome, faz com que seja muito
solicitado em toda a região e até em
toda a França.
“Em França existe um grande ‘chantier’ de restauro, para recompor orelhas, narizes, cabeças e asas, nos
edifícios religiosos, e outros” explica
o professor de escultura. “Foi durante muito tempo e será certamente
a minha ocupação. Esta é uma
paixão que nasceu nos meus anos de
juventude”.
Depois de terminar o curso, José
Fonseca foi com o pai, hoje falecido,
a Portugal para propor os seus serviços. “Gostaria de fazer isto em Portugal, mas nunca fui solicitado. Lá
também há muito trabalho deste tipo
para fazer”.
José Fonseca mostrou ao LusoJornal
a obra que está a realizar. É uma estátua que representa a dormição de
Nossa Senhora em companhia do
Anjo Gabriel. “A outra estátua, que
está só ainda no papel, será Jesus
que acolhe a sua mãe Maria nos braços. Serão duas obras com mais de
dois metros de altura, com uma base
de um metro quadrado, e depois de
finalizadas, certamente antes do
verão de 2012, serão expostas nos
torrões da igreja paroquial de Feyzin,
que também se encontra hoje em
trabalhos de restauro” explica.
A Mairie, a Diocese de Lyon e a Paróquia de Feyzin são as instituições
que encomendaram estas duas estátuas a José Fonseca, após responder
a um pedido de orçamento, e depois
de ter apresentando réplicas destas
estátuas feitas a 1/3 da sua reali-
Question juridique
le temps nécessaire aux opérations d’habillage
et de déshabillage donne-t-il droit à contreparties?
230
Portugal ensina cerca de 230
mil alunos a falar francês,
nas escolas secundárias do
país.
PUB
dade final. “Ganhei o concurso e
aqui estou, muito feliz de praticar a
minha arte de escultor e também orgulhoso de representar um pouco, no
quadro das belas artes, a Comunidade portuguesa com estas minhas
criações” declarou ao LusoJornal
José da Silva Fonseca.
O escultor trabalha no seu local,
junto da Igreja de Feyzin, todos os
dias da semana, alternando manhãs
e tardes. O som característico do
martelo batendo no cinzel vai ritmando o avançar da sua obra. A primeira escultura toma forma, junto do
modelo de gesso. A pedra calcária
foi a matéria escolhida pela sua
pouca dureza, e assim se tornar mais
fácil de trabalhar.
Estaremos atentos para aplaudir o
resultado final, previsto para o verão
de 2012.
La réponse figure à l’article L.31213 du Code du travail qui pose le
principe en ces termes: «le temps
nécessaire aux opérations d’habillage et de déshabillage fait l’objet de
contreparties». Ces contreparties,
ajoute le texte, sont accordées soit
sous forme de repos, soit sous forme
financière, lorsque le port d’une
tenue de travail est imposé par des
dispositions légales, par des stipulations conventionnelles, par le règlement intérieur ou le contrat de
travail et que l’habillage et le déshabillage doivent être réalisés dans
l’entreprise ou sur le lieu de travail.
Un dispositif a priori clair et précis
mais dont la lecture juridique a nécessité une réelle interprétation soumise à l’arbitrage de la chambre
sociale de la Cour de cassation
fixant en 2005 que le caractère obligatoire du port d’une tenue de travail impliquait nécessairement que
le temps d’habillage et de déshabillage ait lieu au sein de l’entreprise
ou sur le lieu du travail. Il donnait
donc droit à une contrepartie à cette
seule condition même si le salarié
revêtait et ôtait son uniforme en dehors de son lieu de travail.
Trois ans plus tard, par un arrêt du
26 mars 2008, la Cour de cassation
opérait un revirement considérant
José Coelho
Avocat
[email protected]
que le port obligatoire d’une tenue
de travail n’imposait pas que l’habillage et le déshabillage aient lieu
dans l’entreprise ou sur le lieu de
travail. Elle en déduisait que l’employeur ne devait allouer une contrepartie que si les deux conditions
prescrites par le texte étaient réunies à savoir le port d’une tenue de
travail obligatoire et l’habillage et le
déshabillage imposés sur le lieu de
travail.
Ce que vient de confirmer la Cour de
cassation réunie en Assemblée plénière le 18 novembre 2011 jugeant,
sans aucune ambiguïté, que «selon
l’article L.3121-3 du code du tra-
vail, les contreparties au temps
d’habillage et de déshabillage sont
subordonnées à la réalisation cumulative des deux conditions qu’il
édicte».
Une solution pour l’heure acquise et
peu susceptible de varier dans un
proche avenir et dont il faut conclure
que le port d’uniforme imposé dès
l’arrivée sur le lieu de travail, ce qui
implique au moins l’habillage au domicile, ne suffit pas pour exiger une
contrepartie à l’employeur. Encore
faut-il qu’obligation soit faite aux salariés de revêtir et d’enlever leur uniforme dans l’entreprise ou sur le lieu
de travail.
Comunidade
le 25 janvier 2012
Chefe de Gabinete de Paulo Portas
morreu João
Teotónio pereira
O Chefe de gabinete do Ministro dos
Negócios Estrangeiros, João Teotónio
Pereira, morreu na semana passada
aos 51 anos, vítima de um ataque cardíaco.
João Teotónio Pereira ingressou na
carreira diplomática em 1988, tendo
passado pelas missões de Portugal em
Roma (Itália) e Belgrado. Foi adjunto
diplomático do Ministério da Defesa,
durante o consulado de Paulo Portas
neste Ministério, nos Governos de
Durão Barroso e Santana Lopes
(2002-2005) tendo posteriormente
sido nomeado Cônsul Geral de Portugal em Paris, onde permaneceu durante cinco anos.
Regressou a Lisboa para ocupar o
cargo de Subdiretor da Direção-Geral
dos Assuntos Consulares e Comunidades Portuguesas. Cerca de um ano
depois, com o novo Governo
PSD/CDS-PP, assumiu funções como
Chefe de Gabinete de Paulo Portas,
agora como Ministro de Estado e dos
Negócios Estrangeiros.
“Já o tinha dito a amigos comuns:
desde há meses, sentia o João cada
vez mais cansado na voz, talvez stressado pelo ritmo intenso de um trabalho a que se dedicava com afinco e
empenhamento” diz no seu blogue
“Duas ou três coisas”, o Embaixador
de Portugal em França, Francisco
Seixas da Costa. “O João era um
homem intenso, preocupado com
tudo, diligente ao pormenor, de uma
lealdade à prova de bala em relação
ao seu e nosso Ministro”.
Comentando a morte do ex-Cônsul de
Portugal em Paris, Seixas da Costa escreve que “o João Teotónio Pereira era
senhor de um sorriso saudável, num
fácies ‘boyish’, de uma alegria natural
que promovia a relação pessoal e
abria, com facilidade, a porta à amizade. Éramos de gerações diferente,
nunca trabalhámos juntos - saiu de
Paris, onde foi Cônsul Geral, uma semana depois da minha chegada, o
que só me deu tempo para lhe oferecer um breve almoço de despedida mas tivemos sempre um excelente relacionamento, marcado pelo respeito
e pela amizade. Nunca esqueci gestos
de solidariedade que teve para comigo, em tempos menos fáceis”.
07
Pelo jornalista Daniel Ribeiro
expresso publica a vida de
José sócrates em paris
O jornalista Daniel Ribeiro, correspondente da Antena 1 e do jornal Expresso em Paris, publicou na semana
passada, na revista do Expresso, um
grande artigo sobre a vida do ex-Primeiro Ministro português em Paris.
Segundo Daniel Ribeiro, José Sócrates “não quis falar ao Expresso durante a reportagem apesar dos
convites insistentes”. Por isso fez uma
“investigação à antiga”, recolhendo
testemunhos de quem convive ou
conhece o antigo Primeiro Ministro.
“Participa em reuniões preparadas no
maior segredo, almoça e janta discretamente com amigos em restaurantes
inacessíveis ao comum dos mortais,
entra na Universidade o mais anonimamente possível, foge dos jornalistas como o diabo da cruz mas, no
chiquíssimo quarteirão de Paris onde
mora, anda à vontade e sem grandes
preocupações”.
O texto conta que José Sócrates vive
num apartamento em Paris 16, com
um dos dois filhos, faz uma estimativa
dos custos do mesmo, descreve o café
onde costuma tomar o pequeno almoço e cita emigrantes que se cruzam com ele nesse mesmo café.
Daniel Ribeiro diz que José Sócrates
anda frequentemente por Saint Germain-des-Près, encontra regularmente o Embaixador Francisco Seixas
da Costa, de quem é amigo, mas não
é um “habitué” da sede do Partido socialista francês, na rue Solférino,
contrariamente a Mário Soares.
“Sócrates cultiva o segredo sobre o
essencial da sua vida na capital francesa. Jamais responde a solicitações
de jornalistas nem desmente nem
confirma as informações que são publicadas a seu respeito, mesmo as
mais polémicas” escreve Daniel Ribeiro que depois conta como decorreu
a sua inscrição em Sciences-Po. José
Sócrates “está inscrito em Master 1
(M1) de Ciência Política na Escola
Doutoral do Instituto de Estudos Polí-
ticos de Paris (IEP)”. O jornalista interrogou o Diretor de Sciences-Po, Richard Descoings, falou com professores da instituição e com alunos, colegas de Sócrates. Diz que o acham
“muito simpático”. “Ele é muito interessante, tem grande experiência política, discutimos frequentemente
com ele sobre a crise, o futuro da Europa e a vida política em França, mas
parece-me ser um homem bastante
solitário”, cita Daniel Ribeiro.
O artigo não foi do agrado daqueles
que consideram que Daniel Ribeiro
“ultrapassa as funções de jornalista
para se imiscuir na vida alheia das
pessoas”.
Por exemplo, o ex-Secretário de Estado das Comunidades, José Lello, diz
que “não respeitando o recato e discrição a que o ex-Primeiro Ministro se
votou, o correspondente do Expresso
na capital francesa, um maoista da
OCLP dos anos setenta, sem identificar fontes, fez um exercício adivinho
e maledicente que nada tem a ver
com jornalismo sério de investigação”. E José Lello acrescentou que
“sem identificar fontes, o jornalista
especulou, em restaurantes, etc. Que
disse serem caríssimos. Claro que o
são relativamente ao nível português,
mas comparativamente ao que se pratica em Paris, não. Dá vontade de perguntar ao correspondente se só come
em cantinas e tabernas!”
PUB
08
o
Consulado
informa...
Eu e a minha namorada vamos
casar este ano e gostávamos de
saber como podemos registar o
casamento.
Resposta :
O casamento deve ser precedido
da organização do processo preliminar para casamento no
Consulado da área em que reside
um dos noivos.
Se ambos os nubentes são de nacionalidade portuguesa, é necessária a presença de ambos, uma
certidão de registo de nascimento
de cada um para fins de casamento, o Cartão do cidadão ou o
Bilhete de identidade válido com
o estado civil atualizado, se
algum dos nubentes tiver nascido
em França é necessário uma
“Copie intégrale de l’acte de
naissance” e um justificativo de
residência.
Se um dos noivos for de nacionalidade estrangeira, basta a presença
do
nubente
de
nacionalidade portuguesa e para
além dos documentos acima citados, é necessária a “Cópia integral do Assento de nascimento”
do nubente estrangeiro.
Os noivos devem fazer a opção
relativa ao regime de bens do casamento: que pode ser de comunhão geral, de separação de
bens ou de comunhão de adquiridos. Se os noivos não fizerem
esta escolha, o casamento será
celebrado na modalidade de comunhão de adquiridos.
No caso de casarem aqui em
França, na Marie, e quererem celebrar um casamento religioso em
Portugal, é necessário pedir uma
Certidão de casamento que pode
ser feita no Consulado ou em
qualquer Conservatória em Portugal que deve ser entregue ao
Padre que vai celebrar o casamento religioso.
As pessoas que casam no Consulado, têm direito a um Livrete de
família à semelhança do que
existe em França.
Pode consultar esta e outras informações no site do Consulado:
www.consuladoportugalparis.com
ou contactar-nos através da nossa
central de atendimento telefónico 01.56.33.81.00.
Consulado Geral de Portugal em
Paris
6, rue Georges Berger
75017 Paris
@
Quer comentar ?
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lusojornal.com
media
le 25 janvier 2012
Clermont Ferrand
imprensa portuguesa de França
em debate na Universidade Blaise pascal
Por Sheila Ferreira
Na segunda-feira desta semana, dia
23 de janeiro, teve lugar em Clermont-Ferrand, um Seminário sobre
Imprensa Lusófona em França, organizado na Universidade Blaise
Pascal de Clermont-Ferrand, e no
qual participaram os jornalistas
Artur Silva (Rádio Alfa), Adriana
Brandão (RFI) e Carlos Pereira (LusoJornal), num debate moderado
por Daniel Martin (La Montagne e
France Culture).
A iniciativa teve origem na Cátedra
Sá de Miranda, através do seu responsável Saulo Neiva, e o Seminário
apresentou a influência da imprensa
lusófona em França. Aliás, começou
com uma breve apresentação, feita
por Carlos Pereira, sobre os diferentes suportes mediáticos portugueses,
desde
as
rádios
“portuguesas”, aos programas portugueses nas rádios francesas, passando pelos diversos jornais e
revistas, editados essencialmente
na região parisiense. O evento
contou com um público bastante representado, essencialmente pelos
alunos do percurso de Mídia e Mediação Cultural da Universidade
Blaise Pascal, embora também estivesse aberto a um público do exterior.
Cada jornalista apresentou o seu
percurso individual e os suportes
para os quais trabalha, detalhando
os públicos para os quais se dirigem
e as linhas editoriais de cada um.
Artur Silva apresentou a Rádio Alfa
desde a sua fundação, já que foi um
dos fundadores do projeto radiofónico mais conhecido de França.
Saulo Neiva, Artur Silva, Adriana Brandão e Carlos Pereira
DR
Lembrou as peripécias das rádios livres antes da criação do projeto
ALFA (Associação luso-francesa de
audiovisual) e falou da rádio de
hoje, com as suas dificuldades, mas
também com as suas potencialidades.
Carlos Pereira apresentou o LusoJornal, que também fundou em 2004.
Lembrou a linha editorial da publicação, o bilinguismo, a rede nacional de colaboradores, referindo as
colaboradoras que tem em Clermont-Ferrand, a rede de distribuição (já que o jornal também é
distribuído em Clermont-Ferrand
em vários locais, nomeadamente
nas agências da Caixa Geral de Depósitos e do Banque BCP) e abordou ainda a questão da publicidade.
Por seu lado, Adriana Brandão falou
das emissões em língua portuguesa
da RFI (Radio France International),
da sua evolução nos últimos anos,
na diferença entre os programas em
língua portuguesa que são direcionados para o Brasil e os que são direcionados para África.
Para os alunos do percurso de Mídia
e Mediação Cultural foi uma oportunidade de encontrar pessoalmente
profissionais do mundo jornalístico
e aproveitaram para os questionar
sobre os mais variados assuntos.
Durante o ano os alunos já conhecem na prática a Rádio Altitude, em
Clermont-Ferrand, onde aliás animam programas, e os responsáveis
pelo curso quiseram agora diversificar as apresentações, para completar a formação.
Este Seminário serviu também para
mostrar a importância da língua portuguesa em França. Por exemplo,
Artur Silva comentou que “a imprensa lusófona permite a manutenção da língua portuguesa”. A
Comunidade portuguesa de França
tem à sua disposição a Rádio Alfa,
uma rádio comercial que apresenta
pelo menos 50% do seus programas
em língua portuguesa, o LusoJornal
que continua a ser o único jornal
gratuito franco-português de informação, com distribuição na província e que põe em evidência a
relação entre a França e a Comunidade portuguesa de França. “O
nosso objetivo é comunicar com a
Comunidade portuguesa presente
em França, sem esquecer a sociedade na qual ela está inserida”,
disse Carlos Pereira, Diretor do LusoJornal.
Questionados pelos alunos, os jornalistas explicaram como vão abordar as eleições Presidenciais e de
que forma tencionam cobrir o
evento que marcará 2012.
A Cátedra Sá de Miranda foi criada
em 2004 por uma assinatura entre
a Universidade Blaise Pascal de
Clermont-Ferrand e o Instituto Camões, e promove a educação e a
pesquisa no campo dos estudos de
português, através de várias iniciativas como por exemplo, este Seminário.
Jornalistas portugueses em Lyon vão ser despedidos
rTp não renova parceria com a euronews
A RTP informou já que não renovará o
contrato com a Euronews, que em
maio partirá para o despedimento coletivo de 17 jornalistas portugueses
que trabalham em Lyon e encerrará o
serviço em português em janeiro de
2013, se não encontrar financiamento.
A informação foi avançada na semana
passada no Parlamento pelo Presidente do Conselho de administração
da Euronews, Michael Peters, que
deixou aos Deputados portugueses
cinco possibilidades para que se mantenha o serviço em língua portuguesa
na estação de notícias internacional
depois de 31 de janeiro de 2013, que
pesa anualmente ao orçamento da
RTP cerca de 1,8 milhões de euros, a
que acrescem 360 mil euros de obrigações da estação pública enquanto
acionista da Euronews.
Entre as alternativas para a viabilização
do serviço em português, Michael Peters elegeu à cabeça a “oportunidade”
que constitui a passagem para a Televisão Digital Terrestre (TDT) em Portugal, “no pressuposto de que o Governo
português assumisse o encargo com os
custos do serviço da língua”, sublinhou
em declarações à Lusa o Deputado social-democrata José Mendes Bota,
Presidente da Comissão parlamentar
para a Ética, Cidadania e Comunicação, onde o Presidente da Euronews
foi ouvido.
O responsável da estação internacional
foi recebido em outubro último por Feliciano Barreiras Duarte, Secretário de
Estado-adjunto do Ministro-adjunto e
dos Assuntos Parlamentares, Miguel
Relvas, e por José Cesário, Secretário
de Estado das Comunidades, a quem
propôs que os encargos atuais da RTP
sejam separados entre os custos com
o serviço em língua portuguesa e a
comparticipação da estação portuguesa enquanto acionista no orçamento anual da Euronews, benefiando
assim da eventual distribuição de dividendos anual. Esta hipótese foi reafirmada por Michael Peters em resposta
a uma questão neste sentido colocada
pelo próprio Mendes Bota, que assume
a “pena” de se deixar fechar o serviço.
“É uma pena porque a Euronews é, de
longe, dentro dos canais congéneres,
incluindo a CNN, a que tem mais au-
diência em todo o mundo e através
dela a língua portuguesa chega a todos
os continentes. Parece um contrasenso numa altura em que tanto se defende a importância da língua. Por dois
milhões de euros, não sei se se deveria
perder esta oportunidade”, afirmou à
Lusa o Deputado social-democrata.
“Portugal está a pagar o preço mais
barato que a Euronews está a cobrar
por este tipo de serviço, um serviço de
notícias de 24 horas por dia, sete dias
por semana. Atualmente a Euronews
está a vender o mesmo serviço por 6
milhões de euros”, indicou Michael
Peters aos jornalistas em novembro último.
O serviço em língua portuguesa é assegurado por 17 jornalistas portugueses em regime permanente e ainda
cerca de 20 “free lancers” portugueses, que se encarregam do noticiário em português. O português é uma
das onze línguas em que emite a Euronews, que conta com cerca de 400
jornalistas de 23 nacionalidades.
Caso a Euronews não consiga encontrar alternativas de financiamento, terá
que avançar com um processo de des-
pedimento coletivo dos jornalistas portugueses em maio, indicou no Parlamento Michael Peters.
E outras alternativas, para além das referidas, passam por a estação de televisão europeia encontrar em Portugal
ou no estrangeiro - Angola é uma possibilidade em equação, disse Michael
Peters a mais de 30 Deputados portugueses na audição - alternativas de financiamento entre entidades públicas
ou privadas, como “fundações” ou outras.
Michael Peters avançou ainda a hipótese de o Governo português encontrar
forma de se concertar com a Comissão
Europeia numa partilha de custos que
permitisse a emissão da Euronews na
TDT em sinal aberto ao abrigo do serviço público. Alternativas como a da
comparticipação dos operadores de
cabo no suporte do serviço em língua
portuguesa na Euronews representaria
- nas contas do gestor - cerca de 70
cêntimos ao ano para cada cliente português de televisão por assinatura, indicou finalmente Michael Peters.
A Lusa tentou uma reação da RTP, mas
sem sucesso até ao momento.
empresas
le 25 janvier 2012
09
Valdemar Francisco, fundador da Tradi-Art
Começou a trabalhar nas obras aos 16 anos
mas construiu uma empresa de sucesso
em
síntese
TAp élue
compagnie
aérienne leader
mondial en
Afrique et en
Amérique du sud
Valdemar Francisco numa entrevista à RDP
LusoJornal / Jorge Campos
Valdemar Francisco nasceu no lugar
da Bouça, na freguesia de Colmeias,
em Leiria, mas emigrou para França
no dia 19 de maio de 1959, com
apenas 6 anos de idade, acompanhando os pais. Foi nessa altura que
teve os primeiros sapatos para enfrentar uma longa viagem de comboio. O
pai já trabalhava em França e veio
com uma “carta de chamada”.
Entretanto criou um grupo empresarial com um volume de negócios na
ordem dos 50 milhões de euros, que
dirige com os filhos e é Vice-Presidente da Câmara de Comércio e Indústria Franco-Portuguesa (CCIFP).
LusoJornal: O que é que o marcou
mais quando chegou a França?
Valdemar Francisco: Sai de uma aldeia onde não havia luz e aqui havia
luz. Mas também me marcou muito
ver a neve pela primeira vez. Nós,
crianças, ficávamos maravilhados ao
ver aquela neve muito alta, porque os
invernos eram muito mais rigorosos
naquela altura do que hoje.
LusoJornal: Onde se instalou a família?
Valdemar Francisco: Fomos viver para
Villiers-sur-Marne (94). Foi lá que entrei na escola. Não sabia falar
francês, mas lá consegui. Entretanto
perdi o meu pai quando tinha 11
anos e só frequentei a escola até à
idade em que era obrigatória. Comecei a trabalhar com 16 anos porque
tinha de dar apoio à minha mãe que
ficou com 4 filhos.
LusoJornal: Voltar a Portugal não era
solução?
Valdemar Francisco: De Portugal lembra-me dos meus tios, dos primos,
dos avôs, mas era uma vida muito difícil. Aqui, em França, era difícil, mas
pelo menos havia de comer para
todos.
LusoJornal: E depois como surgiu a
sua empresa?
Valdemar Francisco: Aprendi a esculpir pedra e sempre tive um gosto particular pela pedra. Mais tarde
também fiz cursos de economia, de
orçamentista da construção e quis
fazer uma empresa para ter mais
proximidade com os clientes. Trabalhava para outras empresas mas queria dar um passo a mais. Foi há 30
anos.
LusoJornal: E desde então tem evoluído?
Valdemar Francisco: Os meus filhos
andaram nas obras comigo, gostaram
e seguiram estudos de engenharia
civil. Entretanto a minha esposa também deixou o emprego dela e veio trabalhar comigo. Seguiram-se os dois
filhos. O primeiro já está a trabalhar
connosco há 16 anos e o segundo há
5 anos. No fundo são eles que estão
a desenvolver a empresa.
LusoJornal: Suponho que hoje é uma
empresa grande...
Valdemar Francisco: O grupo Francis
and Co tem várias empresas para um
total de 124 empregados, 24 dos
quais trabalham no escritório. O
nosso trabalho está relacionado com
a construção civil. Tenho uma empresa que faz infraestruturas, trabalho
mais grosso, tenho duas empresas de
construção porque não sabia se os filhos queriam trabalhar juntos, uma
empresa de cozinhas, uma agência
imobiliária,... O volume de negócios
no grupo, deve rondar os 50 milhões
de euros.
LusoJornal: Pode-se dizer que
concretizou um sonho?
Valdemar Francisco: Nunca tive o
sonho de criar uma empresa assim. O
que eu queria era fundar uma família
e dar aos meus filhos um ou dois es-
calões sociais acima do que eu tive.
Sabia que tinha de trabalhar muito,
mas nunca fui para o trabalho de
recuo. Sempre fui com motivação.
Não queria que os meus filhos passassem por onde eu passei.
do protecionismo, mas tem de haver
medidas. Se as empresas querem ir
para lá produzir, tudo bem, mas
quando trazem produtos para cá,
temos de encontrar uma taxa para
compensar o social que estragaram.
LusoJornal: O trabalho nunca foi um
problema para si...
Valdemar Francisco: Eu acho que o
trabalho deve sempre permitir a uma
família para viver. E quando o trabalho das nossas mãos não permite
que uma família consiga viver dignamente é porque está mal pago. Eu
defendo que as pessoas deviam ganhar mais e haver menos apoio social.
Claro que nunca devemos deixar ninguém pela berma da estrada, mas a
prioridade é dar um trabalho às pessoas e serem pagas pelo seu justo
valor. O social nem devia ser necessário para quem trabalha. Mas as coisas estão assim feitas e vai ser difícil
alterar.
LusoJornal: Daí a sua implicação na
Câmara de comércio?
Valdemar Francisco: Eu aposto em
Portugal há muitos anos. Dou muito
do meu tempo à CCIFP, para pôr em
relação as empresas portuguesas que
querem exportar. Aqui em França
somos 45.000 empresas de Portugueses. Em Portugal precisam da
nossa ajuda e a CCIFP trabalha nesse
sentido.
LusoJornal: Como vê a crise atual?
Valdemar Francisco: Em França, no
setor da construção, há um deficit de
alojamentos. A taxa é de 0,62%, enquanto que em Portugal é de 1,6%
alojamentos por família, há excedente. Em França ainda vamos ter
trabalho para mais uns anos. Por
outro lado, eu lamento que a crise
seja tão violenta, mas era inevitável.
A mundialização pode ser muito boa,
mas tinha de ser gerida de maneira
diferente. A Europa está a pagar o
crescimento da China e a dívida dos
Estados Unidos.
LusoJornal: Há muitas empresas a
deslocalizarem-se para a China...
Valdemar Francisco: Na China trabalham muitas horas e ganham muito
pouco. Nós estamos a dar cabo da
nossa economia para ir produzir lá.
Não sou propriamente um defensor
LusoJornal: Sente que nunca foram
chamados para ajudar Portugal?
Valdemar Francisco: Realmente os
políticos falam todos, mas não vemos
nada. Eles gostavam que os emigrantes se implicassem para ver se
Portugal saía desta situação, mas não
há atos. Nós queremos ajudar mesmo
Portugal. Gostava que ouvissem mais
os emigrantes, por vezes muito incultos, mas cheios de vontade. Gostava
que nos pedissem, não conselhos
porque não estamos aqui para dar
conselhos a ninguém, mas podíamos
contribuir com a nossa longa experiência.
LusoJornal: Sonha um dia regressar a
Portugal?
Valdemar Francisco: Sinto um amor
grande por Portugal, mesmo se saí de
Portugal pequenino. Mas vivo em
França porque é aqui que tenho os
meus filhos e os meus netos. Nunca
mais vou viver para Portugal. Essa hipótese não se coloca.
Amabilidade Paula Machado,
RDP internacional
TAP Portugal a été primée Compagnie Aérienne Leader mondial en
Afrique ainsi qu’en Amérique du Sud,
à la Grande Finale des World Travel
Awards (WTA), pour la troisième
année consécutive.
La cérémonie de gala de la 18ème
édition des WTA, considérée par certains comme les «Oscars» de l’industrie, s’est tenue en soirée au Village
Culturel Katara, à Doha, au Qatar.
La Grande Finale des WTA est l’aboutissement d’une recherche d’un an
des meilleures sociétés du voyage et
du tourisme, et désigne les gagnants
parmi toutes les catégories professionnelles à travers le monde. Le processus de sélection a couvert plus de
160 pays avec les suffrages exprimés
par 213.000 professionnels du
voyage, tels que les agences de
voyages, les tour-opérateurs et les sociétés de transport, ainsi que des organisations de tourisme.
«Pour TAP Portugal, c’est un grand
honneur et nous sommes enchantés
d’être aujourd’hui le gagnant de deux
prix WTA qui nous distinguent désormais comme la compagnie aérienne
leader mondial en Afrique et reconfirme notre leadership en Amérique
du Sud pour la troisième année
consécutive dans cette catégorie», a
affirmé Luiz Mór, Membre du Comité
de Direction de TAP Portugal.
Concourant au coude à coude avec
les grandes compagnies aériennes
du monde entier, TAP Portugal a été
élue compagnie aérienne leader en
Afrique devançant British Airways,
Delta, Emirates, Etihad Airways, South
African Airways, Turkish Airlines et
Virgin Atlantic Airways.
En parvenant à gagner le prix de la
compagnie aérienne Leader Mondial
en Amérique du Sud, TAP Portugal a
devancé des compagnies aussi importantes qu’American Airlines, British Airways, Continental Airlines,
KLM, Lufthansa et United Airlines.
lusojornal.com
empresas
10
le 25 janvier 2012
Produtos portugueses
ibérico-les saveurs du soleil inaugura
novo supermercado em Coignières
Por Clara Teixeira
O Supermercado Ibérico-Les Saveurs
du Soleil inaugurou esta segundafeira à tarde a abertura do novo supermercado em Coignières (78) que
decorreu em dezembro passado. A
inauguração contou com a presença
de vários convidados desde amigos,
familiares, assim como uma comitiva
municipal da cidade, sem esquecer
alguns clientes e fornecedores vindos
de Portugal.
Este é o segundo supermercado que
a empresa familiar abre na região parisiense após o de Argenteuil aberto
há vários anos. “São 1.200 m2 que
acolhem todo o tipo de produtos portugueses, essencialmente alimentares, - congelados e frescos - assim
como uma variedade de produtos artesanais, desportivos, etc. Abrangemos um vasto leque de produtos
tradicionais que se vendem muito
bem aqui”, começa por declarar José
Roxo, Diretor do Ibérico.
Propor novos sabores, novas marcas,
variando constantemente os produtos
é sem dúvidas um dos pontos fortes
do Ibérico. “Representamos 87 em-
Equipa do supermercado Ibérico
DR
presas portuguesas, como pode compreender vendemos de tudo e sobretudo do melhor”, aponta ao
LusoJornal.
É na qualidade e diversidade que
José Roxo aposta para fidelizar os
seus clientes. “Todas as semanas
temos propostas de empresas para
vendermos um produto específico, de
modo que muitos produtos que propomos estão em constante rotação”.
Segundo o gerente, a escolha do sítio
foi a sequência do estudo de mercado, “o principal critério era aproximar-se ao máximo da Comunidade
portuguesa que até aqui não tinha
acesso a muitos produtos portugueses e agora passam a ter”.
Uma esmagadora clientela portuguesa porém cada vez mais o trabalho de José Roxo e da sua equipa
atrai clientes franceses vindos à procura de novas delícias e descobrir
novos artigos. “Podemos dizer que o
nosso sucesso deve-se em parte ao
nosso trabalho e à grande dedicação
ao consumidor final, através de marketing e da nossa disponibilidade
para com o cliente”.
Com uma nova equipa de 12 pessoas
a trabalhar no novo supermercado,
que irá aumentar rapidamente, José
Roxo afirma estar presente para melhor servir o cliente e desenvolver
ainda mais o seu comércio. Com
efeito, os supermercados Ibérico-Les
Saveurs du Soleil não tencionam ficar
por aqui, Bruxelas já acolheu há 2
anos um comércio que tem conhecido bastante êxito e “outro já está
em estudo no sul da França”, conclui
satisfeito.
Ibérico Coignières
42 avenue de la Gare
78310 Coignières
Tel.: 01.30.51.49.19
www.iberico.fr
Feira
55 empresas portuguesas na maison & objet
Cinquenta e cinco empresas portuguesas de mobiliário e têxteis participaram, na semana passada, em Paris,
na feira internacional ‘Maison &
Objet’, que é considerado o principal
evento internacional na área da decoração.
Em declarações à agência Lusa, o Diretor da Agência para o Investimento
e Comércio Externo de Portugal
(AICEP) em França, António Silva,
afirmou que a presença portuguesa
neste espaço deve ser vista no quadro
de “exigência e seletividade do
evento”.
“O número de empresas portuguesas
presentes nesta feira, que tem duas
edições, em janeiro e em setembro,
tem vindo a aumentar. E estes números devem ser sempre vistos considerando o facto de a ‘Maison & Objet’
ser muito seletiva. Há um conjunto de
critérios que uma empresa deve cumprir para ser aceite e poder expor”,
acrescentou.
Por detrás deste número, “que mostra
que a qualidade da presença portuguesa tem vindo a ganhar expressão
e não deixa nada a dever à produção
dos outros países representados”,
está um aumento de 12 a 15% das
exportações de mobiliário para França
em 2011.
O Secretário-geral da Associação Portuguesa das Indústrias de Mobiliário
e Afins (APIMA), Hugo Vieira, resumiu assim as razões do sucesso crescente das empresas portuguesas de
mobiliário e decoração no estrangeiro:
“Somos muito bons. Temos um
‘know-how’ secular para fazer o produto e somos um alfaiate de alta-costura”.
“O nosso conceito é ‘premium’. Não
podemos competir com grandes economias na quantidade, não podemos
fazer economias de escala, não somos
mais baratos. Por isso, o nosso posicionamento é na qualidade. Somos
extremamente competitivos nos serviços e fazemos mobiliário de alta qualidade, personalizado”, acrescentou.
Na perspetiva do responsável, é essa
postura que justifica a evolução da
presença portuguesa num dos espaços com maior destaque internacional
na área do mobiliário e decoração:
“Em 2008 a APIMA trouxe menos de
meia dúzia de empresas, este ano traz
25. Continuamos a ganhar espaço no
mercado. Ocupamos a sétima posição
no ranking dos expositores não franceses na ‘Maison & Objet’. Isso reflete
interesse, procura e aceitação”, afirmou.
A Associação Têxtil e Vestuário de
Portugal (ATVP) trouxe cerca de 12
empresas portuguesas à feira. Sofia
Botelho, Diretora executiva da associação, disse à agência Lusa que o re-
conhecimento internacional dos produtos portugueses no têxtil e na decoração “não é propriamente
novidade”.
“Somos muito conhecidos cá fora
pela qualidade, no serviço e no design
no têxteis lar e nos tecidos. Esse reconhecimento internacional existe
desde há décadas. Estamos nas melhores lojas do mundo inteiro. O que
se nota é que as empresas portuguesas continuam a lutar pelo seu lugar
no mercado internacional, cada vez
mais competitivo”, acrescentou.
A responsável considera que “haveria
30 ou 40 empresas da área dos têxteis com qualidade para expor nesta
feira, mas uma vez que a ‘Maison &
Objet’ cresceu muito nos últimos
anos, o espaço é cada vez mais escasso”.
le portugal Business Club de lyon fête ses 5 ans
Le Club d’affaire franco-portugais
lyonnais organise un cocktail dinatoire à la CCI de Lyon, le jeudi 26
janvier, à 19h30. Ce sera l’occasion
de souffler les 5 bougies du club en
présence de Philippe Valentin, Vice
Président de la CCI de Lyon, en
charge de l’industrie, d’António
Barroso, Consul Général du Portugal
à Lyon, et d’une centaine de chefs
d’entreprises invités.
Le Portugal Business Club a voulu
remercier tous ses adhérents de leur
présence et implication, en réali-
lusojornal.com
Les fondateurs du Portugal Business Club Lyon
PBC
sant un livre, avec la participation
du photographe Ricardo Figueira:
«Les visages du PBC».
L’année 2012 étant à peine commencée, les co-Présidents, François
Pereira et Anne Ferreira, présenteront les vœux du Club, ainsi que la
nouvelle équipe et leur nouveau
Président. Une équipe qui présentera les futurs lignes du Club, tant
dans les actions qui seront menées
en 2012, que sa communication.
La ligne directrice du Club restant
inchangée, «faire rencontrer les di-
rigeants et cadres d’entreprises qui
ont un intérêt au développement
économique France / Portugal, ou
qui souhaitent plus simplement
échanger et mettre en commun
leurs expériences», cette année un
accent sera mis sur «les échanges
avec les différents réseaux qui participent à cet objectif, la mise en
avant des adhérents et le développement du Club et le soutient à des
projets de création».
Une soirée festive et conviviale en
perspective!
ensino
le 25 janvier 2012
11
Adelaide Cristóvão teve de “reajustar” a rede de ensino
Coordenadora salvou aulas a 300 alunos
Quase 300 dos 2.700 alunos afetados
pelo despedimento de 20 professores
de português em França puderam
continuar a ter aulas devido a um
“moroso trabalho de reajustamento”
da rede, disse à Lusa a Coordenadora
do Ensino.
Adelaide Cristóvão, Coordenadora do
Ensino Português em França, explicou
que depois da decisão do Governo de
diminuir o número de professores de
português no estrangeiro, que neste
país afetaria 2.700 de um total de
mais 16 mil alunos, foi preciso “fazer
um levantamento de todas as turmas
que não podiam cair”.
“A questão que se punha é que havia
algumas turmas que perdíamos com a
saída destes professores que eram turmas muito grandes e/ou que estavam
em zonas onde havia continuidade no
ensino do francês do primário para o
secundário (responsabilidade do Go-
Adelaide Cristóvão
LusoJornal / Edite Fonseca
verno francês), que é um dos pontos
pelos quais nós nos batemos”, acrescentou.
Assim, foi preciso fazer “um moroso
trabalho de reajustamento” e atribuir
aos professores que ficavam e que tinham turmas “pouco importantes” turmas “consideradas mais importantes”.
Este trabalho permitiu “recuperar”
279 alunos. “É claro que é problemático e dramático que alunos tenham ficado sem aulas. Mas o que é
importante nestes quase 300 alunos
é que salvaguardámos turmas que tinham continuidade”, disse.
Para o ano letivo de 2012/2013, a
Coordenadora garantiu que “a vontade
é de continuar a assegurar todos os
alunos, inclusivamente aqueles que
agora ficaram sem aulas” e avançou
que “está a ser estudada a forma de
fazer isso”.
“A questão que se põe é uma questão
de orçamento. E com mais este problema: estando o ensino integrado no
sistema escolar francês ele não pode
sequer ser comparticipado pelos pais”,
acrescentou.
A responsável anunciou ainda que o
Ministério da Educação e o Instituto
Camões estão a estudar uma forma de
certificação para todas as crianças que
estudam português em França - inclusive as que viram interrompido o ano
letivo -, que deverá ser posta em prática ainda no final deste ano letivo.
O Instituto Camões anunciou no final
de 2011 a redução de 20 professores
de português em França: na Corse (1),
em Bordeaux (1), em Lyon (2), em Orléans (1), em Strasbourg (1) e em
Paris (14). A decisão tem motivado diversos protestos e manifestações por
parte de pais, alunos, professores e associações da Comunidade portuguesa.
Aulas da Professora Elisabete Lourenço
Alunos dos cursos de português falam de fado
em
síntese
em portugal no
mundo...
Do A há azeitonas,
do B há bacalhau,
do C há Compal,
do D há douradas,
do E há elétricos,
do F há figos,
do G há gelados,
do H há hortas,
do I há igrejas,
do J há jardins,
do K há karaoké,
do L há limões,
do M há montanhas,
do N há natas,
do O há oliveiras,
do P há pinheiros,
do Q há queijos,
do R há rios,
do S há sol,
do T há touradas,
do U há uvas,
do V há vinhas,
do W há Wii,
do X há xailes,
do Y há yoga,
do Z há zebras...
Que lindo e apetitoso alfabeto!!!
Numa altura em que o Fado passa
a integrar a lista do património
imaterial da Unesco, a professora
Elisabete Lourenço aproveitou para
falar do assunto nas aulas de português. “No início ninguém sabia
o que era o fado, mas no fim da
aula a minha satisfação era enorme
com os resultados dos miúdos”
disse ao LusoJornal. Sabiam já responder a todas as perguntas do
‘Quiz’ e muito mais. Os desenhos
aqui publicados provam o interesse
da aula. “Os cadernos dos alunos
ficaram lindos” garante Elisabete
Lourenço.
Rubrica juvenil
será que a música popular portuguesa
continua a fazer vibrar os lusodescendentes?
Por Mélanie Pereira (*)
Quem nunca terá ouvido músicas do
Jorge Ferreira ou do Tony Carreira?
Ora, estes como tantos outros, representam a música popular portuguesa
e são a imagem da primeira geração
de Portugueses em França.
Contudo, pouco a pouco, verifica-se
uma mudança de gostos musicais nos
adolescentes. Foi o que constatámos
quando interrogamos jovens da Secção portuguesa do Liceu Honoré de
Balzac em Paris.
É frequente associarmos este género
musical à música eleita dos Portugueses. No fundo, esta faz parte da
nossa cultura e é transmitida de geração em geração. Muitos consideramna como a “verdadeira” música
portuguesa, sendo frequente nas
grandes romarias durante o verão. E é
no meio dessas festas tradicionais que
se encontram, principalmente, os
Emigrantes a dançarem ao ritmo de
Quim Barreiros. Ana da Costa (15
anos) é um desses casos, onde a música popular portuguesa se sobrepõe
ao badalado pop, sendo o Jorge Ferreira o seu cantor português preferido.
Eduardo Machado (14 anos), aluno
do mesmo liceu, partilha a mesma
opinião, tendo como cantor português
preferido, Tony Carreira.
Assim, verificamos que a maioria dos
adolescentes continua a ouvir a música popular portuguesa. Na minha
opinião, tal deve-se à cultura transmitida de geração em geração. Na verdade,
os
adolescentes
são
frequentemente influenciados pelos
gostos musicais dos pais, já que cresceram a ouvir “Eu gosto de mamar
nos peitos da cabritinha”.
Todavia, é crescente o número de jovens a ouvir a música pop portuguesa.
A preferência de Danny Pereira (16
anos) vai para o grupo Da Weasel. É
importante alargarmos o nosso leque
musical a outros tipos de música, visando o conhecimento internacional
do artista. Sophie Branco (15 anos)
percebeu muito bem isso, pois o seu
cantor português preferido é o Lucenzo, o qual tem vindo a ganhar
grande popularidade entre a Comunidade portuguesa em França.
Se por um lado os jovens continuam
a gostar da música popular portu-
guesa, o mesmo não acontece com a
música popular internacional. Quando
lhes perguntamos qual é o seu cantor
estrangeiro preferido, a resposta parece evidente: a fabulosa Beyoncé, a
extravagante Lady Gaga ou ainda a
maravilhosa Rihanna.
Então, como é possível gostar dos
cantores de música popular portuguesa e das estrelas internacionais ao
mesmo tempo? Jéssica Alvelos (13
anos) tem como cantora preferida Rihanna, mas o José Malhoa é seu o
cantor português preferido.
Este contraste musical mostra-nos
que os jovens pretendem manter viva
a música popular portuguesa, honrando as suas origens. Esta última
continuará a fazer parte da nossa cultura e não será esquecida!
(*) Mélanie Pereira é aluna na Secção
portuguesa do colégio/liceu internacional Honoré de Balzac, em Paris, e
realizou este texto no quadro de um
estágio no LusoJornal.
Poema realizado pelos alunos das
aulas de português do CM1 e CM2,
da escola 15 rue des Bauches, em
Paris, cuja professora é Angélique
Gazzabin.
o Contador de
histórias em
França
O Grupo O Contador de Histórias
tem vindo a coordenar um
conjunto de pedidos de diversas
entidades para deslocações a diversos países europeus, num esforço de divulgação da Língua e
Cultura Portuguesas, através do
trabalho de promoção do livro e
da leitura que desenvolve há
cerca de 15 anos.
Nos meses de março e abril o
grupo estará em diversos países
europeus, nomeadamente em
França:
9 a 12 de março, em Bordeaux
13 de março, em Nantes
14 a 19 de março, em Paris
Os interessados neste grupo,
podem contactar diretamente:
Filipe Lopes
O Contador de Histórias
Apartado 139
2304-909 Tomar
+351.912.896.155
[email protected]
lusojornal.com
12
Johnny
le 25 janvier 2012
“Quero saber quem és”
em
síntese
Apresentação do
novo trabalho em
sartrouville
No próximo dia 26 de janeiro, no
restaurante 5 Estrelas, em Sartrouville, vai ser apresentado o novo trabalho do autor, compositor e
intérprete Johnny.
O primeiro álbum desta nova fase
do cantor só vai ser lançado em
junho, mas esta semana vão ser
desvendados os dois primeiros
temas “Quero saber quem és”, um
pop rock que dá título ao álbum, e
“O que vai ser de mim”, uma balada que também marca o estilo do
novo trabalho de Johnny.
Em princípio de março vai ser lançado um novo single, também com
dois temas, antes do trabalho final
que vai ser lançado antes do verão.
Uma produção
da Alfama prod
Este novo
trabalho de
Johnny
“Quero
saber quem
és”,
tem
produção
de Jacques
Fernandes
da Alfama
Prod.
Mais do que uma produtora que
existe há dois anos, a Alfama Prod
é também um estúdio de gravação,
em Nanterre, no qual Johnny também está implicado. É aliás no estúdio da produtora que o disco está
a ser gravado.
Mais do que um produtor, Jacques
Fernandes é um amigo do cantor e
os dois homens trabalham em estreita colaboração.
Um single
distribuído
gratuitamente
O primeiro single do futuro álbum
de Johnny, “Quero saber quem és”,
vai ser distribuído gratuitamente.
Graças aos patrocínios do Banque
BCP e do Hall du Portugal, entre outros, o disco vai ser distribuído gratuitamente nas agências do Banque
BCP, em alguns bares e restaurantes, no supermercado Les Halles
du Portugal e pode ser enviado gratuitamente para cada.
Para receber o disco em casa, basta
solicitá-lo por mail, no site oficial do
cantor ou no da produtora.
www.youtube.com/johnnyoficialtv
www.johnny.pt
www.alfamaprod.com
[email protected]
lusojornal.com
Johnny relança a sua carreira art
com o primeiro single no novo álb
Par Carlos Pereira
em Louco” e foi produzido pela Espacial.
Johnny tem 29 anos e nasceu em França,
filho de pais portugueses: a mãe é do
Soito e o pai é de Pinhel, no distrito da
Guarda.
Quando era pequeno sonhava ser desenhador, mas acabou por tirar um curso de
contabilidade, mesmo se nunca exerceu
profissionalmente nesta área.
Numa conversa com o LusoJornal explica
como mergulhou no mundo da música,
há 12 anos, fazendo dela a sua profissão.
Conta também em que condições gravou
um primeiro álbum há 7 anos, num projeto que o desiludiu, e como nasceu o
projeto deste novo álbum, a partir de uma
história de amor.
LusoJornal: E depois regressaste a
França?
Johnny: Estive cerca de um ano e meio
em Portugal, gravei o disco e comecei a
fazer promoções. Só que aquilo não correu como devia ter corrido. Fui quatro
vezes à televisão, dei uma entrevista à
rádio local da minha terra, mais nada. Eu
vi que aquilo não andava, que não tinha
promoção suficiente e então decidi acabar com tudo e regressar a França.
LusoJornal: Começamos pelo princípio.
Como descobriste o mundo da música?
Johnny: Foi há cerca de 12 anos e tudo
aconteceu por acaso. Um dia entrei numa
loja de pianos com a minha mãe e vi um
demonstrador a tocar. Estava a tocar uma
música do filme Beverly Hills e eu fiquei
encantado ao ponto que a minha mãe
teve de me comprar um órgão.
LusoJornal: Nunca tinhas aprendido música antes?
Johnny: Não, nunca tinha aprendido. Mas
em casa fui tocando. Lembro-me que
uma das primeiras músicas que toquei foi
o “Apita o Comboio” (risos). Não parei de
aprender, sozinho, sempre em casa, até
que dois anos depois, já tinha um reportório bastante grande e comecei a tocar
em bares e em restaurantes. Não cantava.
Só tocava, sozinho com o meu órgão.
LusoJornal: Até que um dia gravaste um
primeiro disco...
Johnny: Um dia encontrei uma pessoa
que me ouviu e me sugeriu de gravar um
disco em Portugal, com o Ricardo Landum. A ideia de gravar um disco seduziume porque já tocava em bares há vários
anos. Quis experimentar.
LusoJornal: E experimentaste?
Johnny: Sim, decidi ir para Portugal viver,
escolhemos os temas, só retomas de músicas que eu já tocava, não havia nenhum
tema original. O disco chamava-se “Dou
LusoJornal: Vieste desiludido?
Johnny: Sim, desiludido. Eu era jovem e
pensava que tudo ia ser um mar de rosas.
Afinal não foi. Decidi parar tudo e quando
cheguei a França não recomecei a tocar.
LusoJornal: Paraste completamente com
a música?
Johnny: Sim, completamente. Estava
mesmo desanimado. Mas as pessoas que
me conheciam aqui, não paravam de insistir. Insistiram tanto que voltei a tocar
nos bares e nos restaurantes. E é o que
faço há cerca de 7 anos.
LusoJornal: O que te fez gravar um novo
disco?
Johnny: Encontrei certas pessoas que me
motivaram a gravar um novo álbum Há 7
anos, quando gravei o primeiro disco,
havia músicas de vários estilos, não sabia
bem qual era a minha direção musical.
Hoje encontrei-me. Encontrei primeiro o
meu produtor, o Jacques Fernandes, que
me ajudou a encontrar-me a mim próprio.
Quando conheci o Jacques, pensava que
era eu, somos muito parecidos, ele parece
que sou eu com mais anos. Foi uma ligação que funcionou logo à primeira.
LusoJornal: E por que tipo de música optaste?
Johnny: Há uma vertente que eu não
conhecia em mim, que é o pop. E este
novo disco pode ser considerado de pop
romântico. Sempre fui romântico. Por
vezes, até demais...
LusoJornal: São todos temas inéditos?
Johnny: Sim, tudo é inédito neste álbum.
Eu componho, mas o Jacques, a Noémia,
Alfama prod / Olivia de Soares
Un album préparé par une équip
Jacques Fernandes
Noémie Gomes
Paulo Matos
Laetitia Fernandes
Producteur
C’est la stratégie, qui fait quoi où et
comment. Celui qui détermine les objectifs, l’interlocuteur, qui met les
moyens pour les réalisations. Toujours
présent lors des apparitions de Johnny.
C’est le lien de l’artiste.
Coordination
Elle est la rigueur, elle s’occupe de savoir si chacun remplit son rôle au bon
moment et si les plannings sont respectés. Elle vérifie si les lignes budgétaires
sont tenues et veille à l’administration
du proejt. Elle établi les statistiques et
assiste le producteur. Elle vieille à ce
que l’artiste ne manque de rien lors
d’un spectacle.
Elle est la clé de voûte du dispositif de
l’équipe et de l’artiste.
Ingénieur du son
Il est l’homme de la technique, entre le
studio, la production et l’artiste, il veille
à ce que les moyens prévus soient la! Il
développe et anticipe les mixages et les
prises de son, il met en œuvre les plateformes nécessaires à la production. Il
est l’homme des moyens, il fait en sorte
que tout soit là au moment qu’il faut
pour ce qu’il faut et surtout que tout se
passe bien, notamment avec l’artiste et
les musiciens.
C’est la tranquillité de l’artiste.
Chef de projet design
Elle est l’interlocutrice de la production,
elle crée les supports graphiques à la
promotion, elle réalise les supports publicitaires ainsi que la conception des
pochettes de disque. Elle défini les lettrages et les logos, toujours pleine
d’idées.
C’est mademoiselle image de l’artiste.
Johnny
le 25 janvier 2012
tística
bum
13
em
síntese
o Paulo, também ajudam, trabalhamos
juntos, fazemos música juntos.
LusoJornal: Mas quais são os temas que
te inspiram?
Johnny: O álbum conta um caso de namoro e paixão que me marcou muito, que
durou tanto tempo que dá para fazer um
álbum. Como disse, eu sou romântico e
por isso componho sobre mim. Nos 12
temas, cada música corresponde a uma
fase que eu tive com essa pessoa, uma
rapariga, uma namorada. Cada música é
um capítulo desse romance. Foi
com ela que comecei a compor.
Até lá nunca me passou pela cabeça escrever.
LusoJornal: Ainda estás apaixonado?
Johnny: Apaixonado... não. Mas sempre vou gostar desta pessoa.
LusoJornal: E o romance acabou?
Johnny: Sim... mas a
gente nunca sabe
quando acaba. Por
vezes pensamos que
acabou, mas não
acaba... Eu só espero que as
pessoas gostem, que as pessoas se reconheçam na minha música. Há pelo menos
uma música que vai dizer alguma coisa a
quem vai ouvir o disco.
LusoJornal: Johnny é um nome artístico
ou é o teu verdadeiro nome?
Johnny: É o meu verdadeiro nome, o que
está no Bilhete de identidade. Ainda pensámos em escolher um nome artístico,
mas eu sempre achei que Johnny soava
bem. Por acaso os meus pais escolheram
bem o nome. Eu gosto. E é diferente
(risos).
LusoJornal: Onde gostavas de promover o
disco?
Johnny: Gostava de promover o disco
onde houver Portugueses, em França, em
Portugal, noutros países. Vamos dizer que
espero que haja muita gente a conhecer
a minha história.
LusoJornal: Só cantas em português?
Johnny: Também canto em francês e em
inglês. Alguns temas do disco vão ter três
versões, uma em português, outra em inglês e ainda outra em francês. Mesmo
não falando bem inglês, gosto da musicalidade dessa língua. Aliás quando estou
a compor faço-o sempre em inglês.
LusoJornal: Quais os cantores que mais
te inspiram?
Johnny: A minha mãe ouvia muito Tony
Carreira. Eu também ouvia, claro, e aquilo
começou-me a entrar: a
voz e as músicas.
Gosto muito da Céline Dion, sou muito
fã dela, sonho cantar
um dia com ela, para
mim é a melhor artista do
mundo. Mas também gosto
do David Bisebal, do Bryan
Adams,... de vários.
LusoJornal: Também já compuseste para outros artistas?
Johnny: Sim, para bastantes.
O mais conhecido é o Luís Manuel. O último álbum dele tem
cinco temas meus, o penúltimo
tinha dois. Também compus para a
Cristel, o Hugo Manuel, o Dany da Silva,
o Joaquim Cena, a Morgan, a Cristina
Araújo,...
LusoJornal: E em que momentos do dia
compões?
Johnny: De manhã é complicado porque
me deito muito tarde. Mas não há momentos para escrever e para compor. Depende do estado de espírito. Por exemplo,
já compus um tema num carro, nos engarrafamentos. Mas gosto de trabalhar em
casa ou no estúdio.
LusoJornal: Dizem que és um solitário. É
verdade?
Johnny: Gosto muito de chegar a casa e
de estar sozinho Necessito de estar só,
por vezes em silêncio, por vezes com música, mas necessito deste momento de
solidão todos os dias.
LusoJornal: O que te podemos desejar
para 2012?
Johnny: Música. Muita música. Sempre
música.
pe solide de Alfama prod
Aida Pereira
Olivia de Soares
Pierre Branner
Styliste
C’est les doigts de fée de Johnny, la
spécialiste de la personnalisation, celle
qui fait que c’est différent et beau. L’obsédée du détail, rien ne lui fait peur.
Elle crée, imagine, transforme. Avec elle
tout est en cohérence avec Johnny. Le
petit plus, qui fait la différence.
C’est l’esthétique de l’artiste.
Photographe
Elle est celle qui met Johnny en image,
qui trouve ce qui lui correspond, qui
transmet à travers ses photos la personnalité de Johnny. Elle est capable de
tout, pourvu que Johnny soit lui-même,
dans des lieux et avec les lumières qui
lui vont bien. En un seul clic elle met
en avant le coté romantique, rêveur et
bohême de Johnny.
Elle est la complice de l’artiste.
Ingénieur du son
C’est l’homme du final, complice avec
Paulo qui écoute ce que veut Johnny en
finalité. Qui met en son la musique, qui
est le lien entre Johnny et les oreilles
des auditeurs, qui fait le mastering.
C’est l’homme de la critique, qui cherchera à savoir si c’est trop aigu ou trop
grave. Il cherchera toujours à faire
mieux.
C’est les oreilles de l’artiste.
les musiciens
Serge Eymard
Guitariste
Il a un talent indiscutable, c’est un
musicien de studio. Il travaille avec
les plus grands.
Il est une des couleurs de l’album
de Johnny.
Paolo Fiorito
Bassiste
Un musicien énorme, un chercheur, qui ne se déplace jamais
sans une demi-douzaine d’instruments. Une bête de studio.
Il est la profondeur le l’album de
johnny.
Luis Machado
Batteur
Il vient d’ailleurs. Il met plus de
temps à chercher le son de ses
peaux, qu’à faire une prise d’enregistrement. Chaque chanson à sa
sonorité. Il a une collection d’instruments impressionante.
Il est le groove de Johnny.
Yura Silva et Irina Matata
Choristes
Ils sont allés les chercher au Portugal. Des perfectionnistes et des voix
comme des instruments.
C’est la chaleur de Johnny.
Lydia Nebout et Filipe da Rocha
Choristes
Comme pour Yura et Irina, ce sont
des instruments vocaux. Des spécialistes des harmoniques.
C’est la sensibilité de Johnny.
Jacques
Fernandes,
o produtor
Jacques
Fernandes
já cruzou
muitos artistas
na
sua
carreira. Foi chefe de orquestra de
Marco Paulo, tocou com José Cid, e
hoje é o produtor de Johnny. “Há
autores compositores portugueses
que não se conhecem a eles próprios, que nós não conhecemos,
mas que se podem alinhar com os
grandes. E Johnny é um desses” diz
ao LusoJornal.
Johnny é músico antes de ser cantor. “Com este trabalho vamos mostrar as capacidades do artista. Ele é
fora do comum” confirma Jacques
Fernandes. “Ele é incapaz de fazer
outra coisa. Trabalha todos os dias
do ano, sempre na música, nunca
para”.
Jacques Fernandes diz que Johnny
“consegue fazer músicas simples,
tão simples, daquelas que todos os
músicos gostariam de fazer, mas
nem sempre conseguem”.
lusojornal.com
Cultura
14
le 25 janvier 2012
Artiste engagé s’indigne face à la destruction de la planète
exposition:
sérgio Bello présente Éros & gaïa
em
síntese
Par Clara Teixeira
sculptures
d’yves pires
exposées à paris
Par Cristina Branco
Le sculpteur Yves Pires, expose ses
œuvres à l’Artclub Galery (172 rue
de Rivoli, à Paris 01), du 28 janvier
au 18 février.
Cette exposition, pour admirer ou
pour acheter, nous offre un voyage
à travers l’univers féminin de cet artiste qui met la femme au cœur de
son œuvre - des sculptures en
bronze et résine. Des instantanées
de mouvement ou d’abandon de
corps. Comme une capture de
rêves ou de visions. Ses femmes
souvent en repos ou en plein envol,
on l’allure d’anges déchus.
Ce qui pousse Yves Pires dans l’univers du corps de la femme c’est évidemment la passion. La passion
pour une muse ou par la femme, les
lignes et le mouvement féminin. Ici
l’image de la femme n’est pas exploitée comme un objet de désir,
c’est La Femme au cœur d’une exposition, sublimée par les mains expertes d’un sculpteur passionné et
passionnel.
Yves Pires est français, de racines
portugaises, un artiste atypique, autodidacte. Puisque les longues
études l’ennuyaient, il a travaillé en
plusieurs secteurs, sans jamais lâcher prise de son art. Peintre, sculpteur, décorateur, un perfectionniste,
d’une exigence extrême avec lui
même et son œuvre artistique. Un
génie poétique l’anime, quoi que
soit le domaine où il travaille.
www.yvespires.com
PUB
L’artiste brésilien Sérgio Bello expose
ses œuvres individuellement du 3 février au 3 mars dans la Galerie Ricardo Fernandes, à Paris.
Sous le nom ‘Eros & Gaïa’, Sérgio
Bello présente ici deux séries de travaux «Les cris d’Éros» (1982-1983)
et «Cris de la Terre» (1994-1995),
réalisées à des époques différentes
qui s’assemblent ici pour affirmer leur
force et leur engagement artistiques.
«Au cours de toutes mes années de
recherches, le centre de mes préoccupations d’homme et d’artiste a toujours été la capacité de l’humanité de
créer et de détruire - Eros et Thanatos.
Dans les grandes civilisations, les
hommes ont construit des pyramides,
des cathédrales, des amphithéâtres;
ils ont eux-mêmes détruit les Tours de
Babel des uns et des autres», explique
l’artiste au LusoJornal. «L’intolérance
si inhumaine, l’oppression entre les
peuples, m’ont toujours ému. Je me
sens souvent blessé, mais j’ai la certitude que mes cris picturaux sont pour
moi l’unique moyen de transcender
mon indignation face à ce que nous
faisons subir à notre prochain et à
notre planète».
L’exposition confirme ainsi la place de
Sérgio Bello sur la scène artistique
contemporaine et affirme sa position
La Terre-Roue sur le dos de Sérgio Bello
Pascale Lismonde
d’artiste engagé et engageant. A travers cet évènement, la galerie exprime
enfin son attachement à la création
contemporaine brésilienne et latinoaméricaine dont elle garantit le développement.
Originaire de Recife (Nord-est du Brésil), Sérgio Bello vit à Paris depuis
1978. Peintre et plasticien reconnu,
il débute sa carrière dans son pays
natal où il rencontre un vif succès qui
le mène à poursuivre ses études et son
travail à Paris.
Artiste engagé, ses œuvres traduisent
ses préoccupations sociales et environnementales et nous invitent à la
découverte d’une nature tropicale en
agitation, où la faune et la flore nous
interpellent sur l’urgence d’une prise
de conscience écologiste.
La Galerie Ricardo Fernandes s’attache à présenter l’art contemporain
brésilien et latino-américain au marché européen. Elle s’inscrit dans la
continuité d’un travail de plus de vingt
ans, débuté par l’inauguration d’une
première galerie au Brésil, puis d’une
carrière à l’international où Ricardo
Fernandes s’implique activement
dans la promotion de ses artistes. Implantée dans le quartier du Marais, la
galerie accueille diverses formes d’arts
plastiques (peinture, sculpture, photographie, installations…) et s’ouvre à
une large variété d’expressions artistiques contemporaines.
Sérgio Bello expose régulièrement
dans la capitale ainsi que dans son
pays natal; toujours souriant, il ne
cache pas cependant sa démarche
écologique en se manifestant souvent
contre l’être humain. Son immense
talent reconnu par tous, arrive toujours à nous surprendre et on ne s’en
lasse jamais.
Le vernissage aura lieu, en présence
de l’artiste, le 2 février de 18h00 à
22h00.
Du mardi au samedi,
de 11h00 à 19h00
Galerie Ricardo Fernandes
7 rue Vertbois, Paris 3ème
Pintura
Fundação Arpad szenes-Vieira da silva
junta “Amigos de paris” em exposição
A Fundação Arpad Szenes-Vieira da
Silva, em Lisboa (Praça das Amoreiras 58), em colaboração com o CAMFundação Calouste Gulbenkian,
inaugura neste dia 26 de janeiro a exposição “Amigos de Paris” com obras
de Lourdes Castro, René Bertholo,
José Escada e Jorge Martins, comissariada por Ana Vasconcelos e Melo
e Marina Bairrão Ruivo.
A exposição, que vai estar patente ao
público até 15 de abril, reúne obras
de quatro artistas que tiveram uma ligação especial ao casal Szenes, pela
amizade e pela orientação artística.
Arpad Szenes (em 1925) e Vieira da
Silva (em 1928) optaram por sair dos
seus países de origem para viver em
Paris, motivados pelas necessidades
de uma pintura cada vez mais exigente e pelo estímulo cultural e intelectual da cidade. Conheceram o
exílio no Brasil (1940-1947) e permaneceram apátridas até 1956, ano
em que lhes foi concedida a nacionalidade francesa.
O casal manteve sempre um contacto
regular com artistas e intelectuais
portugueses, nas visitas a Portugal ou
em Paris, onde eram frequentemente
procurados.
Nos anos 50 a sua pintura atinge a
maturidade e ganha notoriedade em
França e no estrangeiro, enquanto o
clima cultural em Portugal é marcado
pelo isolamento, pela censura e pela
estética modernista própria do regime
e da sua ideologia repressiva, pela ausência de possibilidades no ensino,
no mercado e nas instituições. O desejo de renovação cultural e artística,
a procura da possibilidade de trabalhar ou a recusa em participar na
guerra colonial (1961-1974) levaram
uma geração de jovens artistas portugueses a abandonar o país.
A generosidade de Maria Helena
Vieira da Silva e de Arpad Szenes era
conhecida, em especial para com os
jovens artistas portugueses que chegavam a Paris com poucos recursos.
O casal interessava-se pelas suas experiências pictóricas, providenciava
discretamente para que não lhes faltassem materiais, visitava os seus ateliês e convidava-os regularmente para
sua casa, oferecendo-lhes um desenho ou um guache para poderem
vender quando a necessidade era
mais premente. Por seu lado, também os jovens artistas ofereciam
obras suas ao casal.
Lourdes Castro (1930) e René Bertholo (1935-2005) partiram para
Munique em 1957, mudando-se
pouco depois para Paris, onde permaneceram até ao final da década de
70. Aí fundaram o grupo KWY, junto
com Costa Pinheiro, Gonçalo Duarte,
João Vieira, José Escada, Jan Voss e
Christo, do qual resultou uma revista
com o mesmo nome, editada em
doze números. Arpad Szenes e Vieira
da Silva assinaram a revista desde o
primeiro número e nela colaboraram,
com a cedência de matrizes para a
edição de serigrafias.
Lourdes Castro prosseguia a sua pesquisa sobre a representação da sombra, que em 1964 se materializou no
recurso ao plexiglas (mais tarde projetando a representação das sombras
em lençóis), após ter realizado
(1961-1963) objetos-caixas com assemblagem de diferentes objetos de
utilização quotidiana e consumo corrente.
Foi em Paris que René Bertholo
construiu a sua linguagem. Adepto da
edição de múltiplos (serigrafia, litografia, edições de artistas), dedicouse nos primeiros anos à revista KWY.
Após uma fase de aprendizagem abstrata, equaciona a relação entre figuração e abstração na pintura,
introduzindo num discurso neo-figurativo irónico e poético, figuras e motivos da vida quotidiana, numa
espécie de inventário da realidade e
dos seus símbolos. Após 1965, os
objetos pintados passam a objetos e
mecanismos tridimensionais com pequenos motores elétricos que provocam
movimentos
lúdicos
e
repetitivos, também estes múltiplos
por opção.
José Escada (1932-1980), juntou-se
ao projeto da revista KWY, desde Lisboa. Em 1959 ganha uma bolsa da
Gulbenkian para estudar pintura em
Paris, tendo como orientadores Maria
Helena Vieira da Silva e Arpad
Szenes. Chega a Paris no início de
60, dedicando-se ao desenho e a
aguarela, em exercícios caligráficos
imaginários. As composições labirínticas são transpostas para dobragens
de papel simétricas, também elas obsessivas, que conduziram a uma pesquisa relacionada com o corpo
humano. O seu trabalho confundiuse com a procura metafísica do artista
e sua busca de ordem jamais teria
fim.
Jorge Martins (1940) foi para Paris
em 1961, não integrou o grupo KWY,
nem foi bolseiro da Gulbenkian. Foi,
todavia, o que permaneceu mais
tempo em Paris (1961-1974; 19761991) e foi dos mais próximos de
Vieira da Silva e de Arpad Szenes, trabalhando largas temporadas nos ateliês dos artistas, em Paris e em
Yèvre-le-Châtel. Nos estimulantes
anos 60 parisienses Jorge Martins investigou e exercitou um inventário de
formas, jogos de luz e uma linguagem
plástica em escultura, fotografia, pintura e no desenho - que terá um lugar
determinante na sua obra.
Cultura
le 25 janvier 2012
15
‘Israel’ e ‘Sonho de Uma Noite de Verão’ no Festival Standard Idéal
mC93 Bobigny acolhe produções de Teatro praga
Par Clara Teixeira
O Teatro Praga vai estar em Paris no
Festival Le Standard Idéal a convite
de Patrick Sommier do MC93 Bobigny, onde vai apresentar duas das
suas últimas produções: “Israel”, um
one man show do criador do Teatro
Praga, Pedro Zegre Penim e “Sonho
de uma noite de verão”, com o apoio
da Fundação Calouste Gulbenkian, da
Embaixada Portuguesa em França e
do Instituto Camões.
Pedro Penim declarou à imprensa,
não ser judeu ou ter qualquer intenção em se converter. Nasceu em Lisboa “e como muitos Portugueses,
cresci com um desconhecimento global sobre os judeus e o judaísmo. Até
sair da universidade não me lembro
de ter conhecido ninguém que se
identificasse como judeu. Não tenho
qualquer interesse seja ele qual for
que me possa beneficiar pelo facto de
defender e gostar de Israel. Este projeto é um objeto artístico: não é propaganda, não é pedagógico, não é
documental”.
Tratando-se de um país que se encontra frequentemente em confronto,
dando origem a um dos conflitos que
mais divisão causa da comunidade internacional, Penim apresenta esta
peça com cuidado. A peça é uma
carta de amor ao país Israel, numa
produção do Teatro Praga. “Pode-se
amar um país em guerra sem ter de
levar a discussão para um campo pes-
antes de nós?”, mas numa vontade e
necessidade de se confrontar com as
respostas a essas perguntas. Os espetáculos são acontecimentos que, sem
porem de lado a sua condição física
de teatro (ficção), vão em busca da
“responsabilidade máxima do espetador”, ou seja, de encontrar uma comunidade no meio do caos ficcional.
O Teatro Praga nasceu em 1995 e
está sedeado no Hospital Miguel
Bombarda, em Lisboa. Em 2008, o
Teatro Praga recebeu pela primeira
vez um apoio de 4 anos da DGArtes.
A apresentação de uma série de espetáculos em alguns dos locais de
maior prestígio em Portugal, e a importância e o impacto das suas propostas artísticas, garantiram ao
coletivo um grande número de
convites e parcerias, o que tornou
possível produções maiores e mais
ambiciosas.
Colabora regularmente com algumas
das mais prestigiadas estruturas culturais em Portugal e tem-se apresentado em festivais e teatros de diversos
países europeus (Itália, Reino Unido,
Alemanha, França, Hungria, Eslovénia, Estónia e Dinamarca).
“Sonho de uma noite de verão” pelo Teatro Praga
DR
soal? Israel é um bom exercício para
admiradores e curiosos do país e da
arte”.
Quem quiser saber ainda mais sobre
a peça, deve marcar presença no Festival Le Standard Idéal.
O outro espetáculo “Sonho de uma
noite de verão”, conta com a colabo-
ração dos Músicos do Tejo, coproduzido pelo Centro Cultural de Belém.
Baseado na peça de Shakespeare e
na ópera “The Fairy Queen” de Henry
Purcell. “Para quê fazer teatro quando
só se pensa no Verão e no Amor”?
Teatro Praga é um grupo de artistas
que trabalham sem encenador e que
pretendem sublinhar a irrepetibilidade da prática teatral. São sempre
diferentes, estão em constante metamorfose e sujeitam-se a variações imprevisíveis deles próprios. O grupo
encontra a sua diferença e identidade
não em perguntas como “O que é que
nós fazemos?” ou “O que foi feito
“Israel” - dia 3 de fevereiro às 20h30,
dia 4 de fevereiro às 17h30 e dia 5
de fevereiro às 15h30
“Sonho de uma noite de verão” - dia
4 de fevereiro às 20h00, dia 5 de fevereiro às 15h30 e dia 6 de fevereiro
às 20h00
Théâtre: «A Paixão de Ajuricaba»
Fin de la tournée du TesC de manaus en France
Par Dominique Stoenesco
Pari gagné par l’association «Les ateliers du moulin» et succès amplement
mérité pour la Compagnie du TESC de
Manaus qui vient d’achever une tournée de deux semaines en France avec
la pièce «A Paixão de Ajuricaba»,
écrite et mise en scène par l’écrivain
brésilien Márcio Souza.
Cette pièce raconte l’histoire tragique
du chef indien Ajuricaba qui organisa
la résistance contre les colonisateurs
européens au XVIIIè siècle dans le
Haut Rio Negro. La valorisation des
cultures indigènes, l’intégration de
leur imaginaire et la réhabilitation de
leur mémoire sont quelques-unes des
singularités du théâtre indigène créé
par Márcio Souza.
La Compagnie du TESC (Théâtre Expérimental, subventionné par le SESC
- Service social du secteur commercial de Manaus) est composée principalement de jeunes étudiants issus
des milieux défavorisés. Faisaient partie de la troupe en tournée les acteurs
Daniely Peinado, Carla Menezes,
Efraim Mourão, Sidney Fernandes,
Robson Ney Costa, Emerson Nascimento et Dimas Mendonça, ainsi que
le technicien lumière Jorge Trindade
Carneiro et le producteur Robson Medina.
Ce que l’on note d’emblée dans cette
pièce est une mise en scène assez
sobre rendant le texte de Márcio
Une des scènes de la pièce
LusoJornal / Dominique Stoenesco
Souza encore plus fort et plus beau.
À travers un discours à la fois dramatique et libertaire, lyrique et ironique,
l’auteur crée une tension permanente
jusqu’à la fin de la pièce.
Durant sa tournée en France, le TESC
a donné quatre représentations de «A
Paixão de Ajuricaba». Le 11 janvier,
au Théâtre de l’ADEC, à Rennes.
Cette activité théâtrale a précédé la
Journée d’études sur la littérature brésilienne qui eut lieu à l’Université de
Rennes 2 et à laquelle participaient
Márcio Souza, ainsi que Brigitte Thiérion, traductrice de «A Paixão de Ajuricaba» et chercheur associée à
l’université. Brigitte Thiérion, avec
Rita Godet, Directrice du Département de langue portugaise de Rennes
2, sont à l’origine de cette tournée du
TESC en France.
Dans la capitale bretonne, comme
dans les autres villes-étape du groupe,
des rencontres et des échanges eurent
lieu entre l’auteur, les comédiens et
des étudiants d’art dramatique. Ce fut
l’occasion d’aborder la création théâtrale contemporaine et aussi de
confronter les manières de pratiquer
cet art au Brésil et en France.
À Toulouse, «A Paixão de Ajuricaba»
fut jouée le 15 janvier au Théâtre
Jules Julien, devant un vaste public et
le lendemain devant plus de 300
élèves. Outre la dimension humaine
de ce projet, il y avait aussi l’aspect
pédagogique et la volonté de parler de
l’Amazonie loin des clichés exotiques.
Ainsi, parallèlement au théâtre, une
exposition intitulée «Dialogues amazoniens» fut organisée à la Bibliothèque centrale de l’Université du
Mirail par les élèves du Lycée des Métiers d’art du bois et de l’ameublement de Revel. Visible jusqu’au 27
janvier, cette exposition nous invite à
interpréter l’Amazonie au travers des
métiers d’art du bois. Par ailleurs,
dans cette même bibliothèque, une
rencontre et des débats extrêmement
riches eurent lieu entre Márcio Souza
et de très nombreux étudiants.
Enfin, le 19 janvier, le TESC était au
Théâtre Antoine Vitez de l’Université
d’Aix-en-Provence, puis le lendemain
l’auteur de la pièce était également
invité à une rencontre littéraire au Département de langue portugaise.
À la veille du retour du groupe au Brésil, Márcio Souza nous fit part de son
appréciation très positive concernant
aussi bien l’accueil des organisateurs
que le vif intérêt des étudiants et du
public en général pour les questions
liées à la culture et à l’histoire de
l’Amazonie. On pourra aussi mieux
connaître cet épisode de l’histoire du
Brésil en consultant le livre «Ajuricaba, le guerrier des forêts», de Márcio Souza, traduit par Brigitte Thiérion
(éd. Les ateliers du moulin, Toulouse,
2011, 80 p.).
[email protected]
lusojornal.com
16
Cultura
le 25 janvier 2012
Literatura
em
síntese
Fotos de pierre
gonnord em
lisboa
Uma exposição intitulada “Políptico” com fotografias de do fotógrafo
francês Pierre Gonnord, vai estar
patente ao público entre os dias 26
de janeiro e 24 de abril no BES Arte
& Finança, em Lisboa (Praça
Marquês de Pombal nº3). Na exposição participam outros fotógrafos
como Carmela García, Cristina
Lucas, José Luís Neto, José Maçãs
de Carvalho e Pedro Cabral Santo.
“Políptico” é uma exposição de fotografia integrada na 2ª edição do
Interferências – Mostra Pública de
Arte, evocativa dos Painéis de São
Vicente de Fora, aqui reinterpretados em versão fotográfica e reportados à sociedade portuguesa de
hoje, com comissariado de Nuno
Aníbal Figueiredo e D. André de
Quiroga.
exposição “les
portugais à
paris” de irene
Bonacina
romance “A noite das mulheres Cantoras”
de lídia Jorge, publicado em França
O mais recente romance da escritora Lídia Jorge, “A Noite das Mulheres Cantoras”, foi publicado em
França na quinta feira da semana
passada com chancela da Métailié,
anunciou a editora portuguesa Dom
Quixote.
Traduzido por Geneviève Leibrich e
intitulado na edição francesa “La
Nuit des Femmes qui Chantent”,
trata-se de um romance sobre a
construção do êxito e respetivas
consequências, em que a escritora
conta a história de uma banda dos
anos 1980 vista de dentro e narrada 21 anos depois, em monólogo.
A Métailié, responsável pela publicação em França da obra de Lídia
Jorge, apresenta assim a obra e a
autora: “Romancista no auge da
sua arte, com domínio perfeito de
uma linguagem refinada e subtil,
que nos conduz ao mais profundo
dos sentimentos e às histórias das
mudanças de uma sociedade, Lídia
Jorge escreve aqui um romance poderoso e límpido”.
Em entrevista à Lusa em março
deste ano, quando “A Noite das
Mulheres Cantoras” foi lançado em
Portugal, a escritora revelou que o
livro se centrava num “grupo de
cinco raparigas com uma ambição
normal mas que se torna desmedida em relação àquilo que elas
podem realizar” e se tecia “em
torno dessa relação de poder que
se estabelece no interior do grupo
e da sua relação com a sociedade
que a envolve”.
“É um romance, de certa forma, de
geração - definiu -, é um livro de
instrução em torno da construção
de figuras muito jovens que aprendem a viver e se tornam adultas
sob o efeito do impacto dos seus
atos em relação a um projeto que
as ultrapassa”.
No início do livro, numa espécie de
declaração de intenções, Lídia
Jorge - ou, melhor dizendo, a narradora, Solange de Matos, a letrista
da banda - escreve que esta é a história de um bando mas que através
dela se conta também a história de
um povo e explica: “A relação que
elas têm com o mundo que as rodeia dá conta daquilo que foi uma
geração ao longo de 21 anos. No
fundo, há aqui o eco daquilo que o
país foi e se foi tornando”.
Passa-se no final dos anos 80 do
século XX a ação principal do romance, mas “há uma outra ação
narrada nos nossos dias por uma
delas, Solange de Matos, que foi
quem ficou para contar”, resumiu.
Lídia Jorge
DR
«l’étrange affaire Angelica» de manoel de
oliveira sort en DVD
O Consulado-Geral de Portugal em
Paris inaugura na próxima sextafeira, dia 27 de janeiro, a exposição
de desenhos “Les Portugais à Paris”
da artista plástica Irene Bonacina.
Esta exposição dá-nos a possibilidade de vermos os originais dos
desenhos que Irene Bonacina fez
para o livro “Os Portugueses em
Paris - ao longo dos séculos e por
bairro” escrito por Agnés Pellerin,
com a colaboração de Anne Lima e
Xavier de Castro.
Lançado pela editora francesa
Chandeigne, o livro tem por objetivo
“mostrar que a presença portuguesa em França é muito antiga” e
dá-la a ver “na vertente cultural,
económica e social de uma forma
divertida e descontraída”, refere o
editor Michel Chandeigne.
A exposição pode ser vista até ao
próximo dia 15 de fevereiro, das
8h00 às 18h00, nas instalações do
Consulado Geral de Portugal em
Paris (6 rue Georges Berger, em
Paris 17).
lusojornal.com
Le DVD du film «L’étrange affaire
Angelica» de Manoel de Oliveira
(sélection officielle sur Un certain
regard au Festival de Cannes) vient
de sortir en France en ce début janvier.
Une nuit, Isaac, jeune photographe
et locataire de la pension de Dona
Rosa à Régua, est appelé d’urgence
par une riche famille, afin de faire
le dernier portrait de leur fille Angélica, une jeune femme morte juste
après son mariage.
Dans la maison en deuil, Isaac dé-
couvre Angélica et reste sidéré par
sa beauté. Lorsqu’il porte à son œil
l’objectif de son appareil photo, la
jeune femme semble reprendre vie,
pour lui seul. Isaac tombe instantanément amoureux d’elle. Dès lors,
Angélica le hantera nuit et jour,
jusqu’à l’épuisement.
Le film dure 95 minutes, en portugais, sous-titré en anglais et en français, est joué par Ricardo Trêpa,
Pilar López de Ayala, Leonor Silveira
et Luís Miguel Cintra, entre autres.
Mais le DVD dure 150 minutes car
il y a, en bonus, un court-métrage
co-réalisé par Manoel de Oliveira et
Jean Rouch «En une poignée de
mains amies».
Il y a aussi l’avant-première du film
«L’étrange affaire Angelica», des interviews exclusives de Manoel de
Oliveira et Ricardo Trêpa, la filmographie du réalisateur, une galerie
photos et les bande-annonce.
Concernant l’actualité de Manoel de
Oliveira, son prochain film, «Gebo
et l’Ombre», sortira en France, courant 2012.
Filmes portugueses e brasileiros
no Festival de Clermont Ferrand
A Agência da Curta Metragem estará
presente na próxima edição do Mercado da Curta-Metragem de Clermont-Ferrand, que terá lugar entre os
dias 27 de janeiro e 4 de fevereiro,
inserido no 34º Festival Internacional
de Curta Metragem de Clermont-Ferrand, o maior e mais importante festival europeu de curtas metragens.
Para a Competição Internacional
deste certame estão selecionados
dois filmes portugueses: o documentário “Água Fria” de Pedro Neves e a
animação “Fado do Homem Crescido” de Pedro Brito.
“Água Fria” é um documentário de
13 minutos de Pedro Neves, que assina também a montagem, sobre a
romaria de São Bartolomeu do Mar,
em Esposende, e já tinha sido selecionado, no ano passado, para o festival Doclisboa.
Já “Fado do Homem Crescido”
(07:20), de Pedro Brito, é uma ficção em animação, produzida pela
Animanostra, a partir de um argu-
mento de João Paulo Cotrim, com
música de João Lucas e voz off do
músico António Zambujo.
A participação da Agência da Curta
Metragem em Clermont-Ferrand é
apoiada pelo Instituto Camões, Embaixada de Portugal em Paris e dos
vinhos Niepoort.
No festival participam também três
filmes brasileiros: “A fábrica” de
Alysson Muritiba, “Alcides” de Gabriel Martins (competição internacional) e “O Céu no Andar de Baixo”, de
Leonardo Cata Preta (competição
Labo).
Uma delegação brasileira estará presente em Clermont-Ferrand, composta por António Leal, Diretor de
Cine-Foot (festival de filmes de futebol), Ailton Franco Jr. e de Paulo Jr.,
de Festival internacional de curtasmetragens de Rio de Janeiro, Beth
Sá Freire e Zita Carvalhosa, do Festival internacional de curtas-metragens
de São Paulo e Tetê Mattos, Diretora
do Festival Araribóia Cine.
Cultura
le 25 janvier 2012
17
Fado
Concert de mísia au Bataclan de paris
Mísia, une des plus grandes interprètes du Fado contemporain sera
en concert le mardi 31 janvier, au
Bataclan, à Paris, pour présenter
son dernier album “Senhora da
Noite”, édité en France en novembre de 2011.
“Senhora da Noite”, le dixième
album de Mísia est un retour au
Fado traditionnel avec une mise en
scène plus intimiste, imprégnée de
l’émotion de la chanteuse, après
20 ans de carrière marqués par
«Mísia» en 1991 et «Ritual» en
2001. Les musiques traditionnelles sont au cœur de ce projet,
avec des textes écrits exclusivement par des femmes - poétesses,
écrivaines (Agustina Bessa Luís,
Natália Correia, Lídia Jorge,…),
chanteuses ou fadistes ellesmêmes, comme Amália Rodrigues,
Amélia Muge, ou bien Mísia en
personne.
Pour la première fois dans l’histoire
du Fado, voici un album dans lequel la femme n’est pas seulement
la muse ou la chanteuse: elle est
auteur et créatrice. Tous les textes
de cet album sont écrits spécialement pour la voix de Mísia, comme
il est d’usage dans tous ses
disques, à l’exception de certains
poèmes choisis dans l’œuvre
d’écrivaines disparues.
Les musiques du vieux Fado traditionnel seront portées, au-delà du
trio de guitare, par les lignes mélodiques de l’accordéon, du piano et
du violon, des instruments que
Mísia a introduits dans son Fado
depuis ses premiers enregistrements et qui constituent sa “sonorité”.
Selon le dossier de presse de la
chanteuse, au Bataclan, Mísia sera
accompagnée au piano par Carlos
Azevedo, qui a fait les arrangements musicaux, Bernardo Couto
(guitare portugaise), Carlos Manuel
Proença (viole de fado), Luis
Cunha (violon), Pedro Santos (accordéon), et les artistes invités
João Bengala et Manuel Rocha.
O músico e cantor caboverdiano Rui
Lima esteve no sábado passado em
Gennevilliers (92), numa festa organizada pela associação caboverdiana
local, recentemente criada.
Apesar de também dirigir o projeto
“Rui Lima Band”, de música tradicional caboverdiana, em Gennevilliers, Rui Lima apresentou o seu
trabalho a solo e alegrou a noite.
“Estamos muito felizes pelo bom
desenrolar da primeira festa da
nossa associação” disse ao LusoJornal o Presidente Orlando Dias.
“Temos como objetivo divulgar a cultura caboverdiana através da nossa
música, como é o caso hoje com o
Rui Lima que é um dos Embaixadores da nossa música”.
Também Rui Lima se mostrou
contente com a noite. “Foi com
muito prazer que pude apresentar o
meu show com os meus músicos e
quero agradecer a todos os que estiveram presentes e que vibraram com
as minhas músicas, bem como a
toda a organização que me fez
confiança” disse ao LusoJornal, visivelmente contente com o espetáculo.
“Vamos organizar regularmente
eventos destes para que possamos
reunir cada vez mais a nossa Comunidade” prometeu Orlando Dias.
Rui Lima em concerto
LusoJornal / Paulo Matos
Discos
o “Chapéu ao Contrário” de nelson Costa
Por Joaquim Pereira
Com 20 anos de idade, o jovem Nelson Costa editou mais um álbum de
música popular portuguesa, inspirada
nas suas raízes minhotas, intitulado
“Chapéu ao Contrário”.
Nelson Costa nasceu em França,
onde sempre viveu, mas desde os três
anos de idade que carrega com uma
concertina, influenciado pelo pai.
“Aprendi a tocar de ouvido, quando
ainda mal podia com a concertina”
disse ao LusoJornal. Desde sempre
frequentou grupos de folclore, onde
sempre tocou, com o pai. “Digamos
que o meu pai me motivou, me ensinou as bases, mas depois eu ultrapassei o nível dele” (risos).
Este não é o primeiro trabalho gravado por Nelson Costa. Com 11 anos
gravou uma cassete com um título
sugestivo: “O mais novo tocador do
Alto Minho”. Depois, com 14 anos
grava um segundo trabalho “Nelson
Costa e a sua concertina 2”. Dois
anos mais tarde grava com Filipe Pedrosa, filho do grande afinador de
concertinas Carlos Pedrosa” e aos 17
anos é convidado a gravar no primeiro
disco de “Mike da Gaita”.
Com 18 anos compõe o tema “Maria
Nelson Costa com a sua concertina
LusoJornal / Joaquim Pereira
Prepara o Pito” e depois seguiram
outros que o levaram aos palcos tanto
em França, como noutros países. “No
ano passado tive um espetáculo em
Nova Iorque, na América, e por acaso
passou um rapaz com um chapéu ao
contrário. Eu nunca tinha visto isso,
então fui lá a uma loja, mandei fazer
um chapéu com o meu nome, vim
para as terras de Paris e o pessoal começou a achar piada” conta ao LusoJornal. Foi assim que decidiu fazer
a tal música do “Chapéu ao contrá-
rio” que deu origem ao nome do
álbum, que já foi apresentado ao público aquando de um concerto em
Eiras, nos Arcos de Valdevez, no dia
15 de agosto do ano passado.
São 12 temas, todos de música popular portuguesa, todos com letra e
música da autoria de Nelson Costa,
que entretanto fundou a sua própria
banda e não tem parado de fazer
concertos desde setembro do ano
passado. “Não temos um único fim
de semana para descansar” confessa
oquestrada à
l’Alhambra de
paris
Por Mário Cantarinha
Le mardi 31 janvier
Bataclan
50 boulevard Voltaire
75011 Paris
música:
show de rui lima em gennevilliers
Por Paulo Matos
em
síntese
ao LusoJornal.
O grupo chama-se Nelson Costa e
sua Banda e é composta por 9 elementos, três tocadores de concertina,
um teclado, um baterista e duas bailarinas.
No disco canta também com o pai,
uma “cantiga ao desafio”, uma desgarrada entre pai e filho, “onde o pai
quer atacar o filho e onde o filho quer
atacar o pai”.
“Mas sempre na brincadeira, guardando a piada das cantigas à desgarrada” esclarece Nelson da Costa. O
pai acusa o filho “de arranjar sempre
raparigas na internet” e o filho diz
que o pai “anda sempre com a
mesma velha - a velha é a minha mãe
- e come sempre na mesma pia”.
“São brincadeiras que saem na hora.
As cantigas à desgarrada não podem
ser escritas, têm de ser mesmo improvisadas na hora” diz Nelson Costa.
“Naquele dia saiu assim, o pessoal
que estava no estúdio fartou-se de
rir” e assim ficou no disco.
Nelson Costa está já a programar um
novo disco, a gravar em fevereiro e a
ser editado no próximo verão. “Sempre com temas malandrecos” garante
“mas um disco mais maduro e mais
completo”.
Le vendredi 20 janvier, à l’Alhambra
de Paris, plus de 300 personnes
(salle pleine) ont fait le déplacement
pour écouter les OqueStrada, ce
groupe lisboète formé au début des
années 2000, qui s’inspire des musiques qui viennent de loin, des
banlieues de Lisboa, des bals et des
bars, des lieux canailles.
Les OqueStrada en concert c’est
une chanteuse à voix, Marta, une
“contre bassine”, des cuivres et un
accordéon, unis pour un show tonique, entre numéros de charme et
rythmes déjantés.
Avec tous ces rythmes, le publique
aussi a déjanté e a dansé. L’ambiance était si forte que le public a
rappelé à deux reprises la chanteuse et les musiciens. On dirait qu’il
souhaitait rester jusqu’au petit
matin, comme dans les bars et fêtes
portugaises.
António Zambujo
em seis palcos
franceses
António Zambujo acabou ontem
uma digressão por seis palcos franceses para apresentar “Guia”,
considerado um dos dez melhores
álbuns de 2010 na área das músicas do mundo, pela revista britânica
Songlines.
António Zambujo começou a digressão em Cenon integrando o cartaz
do Festival de músicas do mundo Le
Rocher de Palmer. Depois esteve
em Bayonne, seguindo-se Villejuif,
La Courneuve, Saint Cloud e Limoges.
lusojornal.com
18
Associações
le 25 janvier 2012
Pontault-Combault
boa
notícia
palavras,
leva-as o vento
O Evangelho do próximo domingo,
dia 29, apresenta-nos uma das profissões de fé mais claras e diretas
que podemos encontrar nas páginas
do Novo Testamento: “Sei quem Tu
és: o Santo de Deus”. E quem o diz?
Surpresa das surpresas, um homem
que a Bíblia descreve como um endemoninhado, uma pessoa possuída
por “um espírito impuro”.
Sabemos que no tempo de Jesus,
todas as doenças (físicas e mentais)
eram consideradas de origem “demoníaca”. Isto não significa que não
hajam alguns casos (muito raros e
muito delicados) que desafiam a
ciência médica moderna e que
podem levar a Igreja a considerar a
presença real de uma influência demoníaca. Mas não nos é possível determinar a natureza do mal que
afligia aquele homem e nem devemos deixar que esta questão nos distraia da catequese que o texto nos
quer propor.
Com este episódio, aprendemos que
qualquer pessoa (até um demónio)
pode reconhecer o Messias e anunciá-lo aos quatro ventos! Todavia, a
verdadeira fé não se vê nas palavras
bonitas ou nas declarações pomposas, mas sim, numa mudança profunda de vida e no abandono de
egoísmos, invejas e ódios. Não basta
um “começar a ir à igreja mais
vezes...”. O Evangelho diz-nos que
foi precisamente na sinagoga que
Jesus encontrou aquele homem. Talvez nem suspeitasse que era prisioneiro de um demónio: só a presença
de Jesus foi capaz de revelar o engano e restituir-lhe a liberdade perdida. É por isso que vos repito: não
basta uma mudança superficial. Não
basta crer com palavras e dizer que
somos cristãos: é preciso “viver a fé”
e testemunhar o Evangelho com a
própria vida.
P. Carlos Caetano
padrecarloscaetano.blogspot.com
Sugestão de missa
da semana
Paroisse de Puteaux
33 rue Saulnier
92800 Puteaux
Missa em português ao domingo,
às 9h00.
lusojornal.com
ApCs promove atelier mensal de cozinha
Por Flávia Rocha
Na passada sexta feira, dia 20 de
janeiro, a Associação Portuguesa de
Pontault-Combault (APCS) concretizou o primeiro atelier de cozinha
deste ano.
O projeto tem vindo a ser executado, uma vez por mês, desde
março de 2011, com o intuito de
difundir a todas as Comunidades
um pouco da gastronomia portuguesa. O convívio contou com a
presença de 12 pessoas, não só da
Comunidade portuguesa, como
também da Comunidade francesa,
incluindo o próprio Presidente da
APCS, Mário Castilho, que disse
estar presente no evento para
aprender a cozinhar.
A mentora desta iniciativa é Christine Pereira, que através do seu
gosto de cozinhar, pretende divul-
Participantes no atelier de cozinha da APCS
LusoJornal / Flávia Rocha
gar a sua cultura portuguesa ensinando aquilo que sabe. O seu objetivo é que cada pessoa aprenda,
mas também que seja capaz de
realizar em conjunto a confeção de
cada receita. “É como se fossemos
uma grande família, onde todos interagimos”, revelou ao LusoJornal.
Os participantes mostraram-se satisfeitos com a iniciativa. “É um
momento de convívio muito agradável e juntos aprendemos a cozinhar
pratos típicos do nosso país”, disse
Nelly Lopo, participante da atividade.
O Presidente da associação, Mário
Castilho, divulgou que “tem sido
uma ação muito importante, temos
sempre muitas pessoas interessadas em participar. Mas o mais surpreendente é ver a presença de
muitos jovens e observar o interesse
e a curiosidade que estes têm pela
nossa gastronomia. Foi uma aposta
que tem trazido bastante sucesso”.
A escolha do menu é feita com a
devida antecedência, à qual todos
os inscritos têm, também, a possibilidade de o poder fazer. O atelier
terminou com a degustação das culinárias.
Clermont-Ferrand
mantém tradição do Dia de reis
Por Sheila Ferreira
Os Camponeses Minhotos de Clermont-Ferrand, associação folclórica e
cultural, mantém as tradições do Dia
de Reis que começa no dia 5 de janeiro e se prolonga até ao dia 20. Com
efeito, desde a sua criação, em 1980,
os membros desta associação juntamse para festejar este período de festa
e de alegria.
Em que consistem essas tradições?
Os Camponeses Minhotos vão todos
os fins de semana, pela noite, pelas
portas das casas dos Portugueses,
cantar os Reis. São canções tradicionais da vida de Jesus e saudações à
família e aos donos da casa. Como
sempre, o canto é acompanhado com
instrumentos populares, como o acor-
Cantares dos Reis em Clermont-Ferrand
LusoJornal / Sheila Ferreira
deão, o bombo, a viola, os ferrinhos, a
pandeireta,... As mulheres vestem o
tradicional lenço de folclore minhoto,
para dar vida e cor à festa. Depois de
cantarem, os donos da casa convidam
os “reizeiros” para entrar e oferecemlhes comida e bebida.
No último dia, dia 20 de janeiro, Os
Camponeses Minhotos acabam o percurso nas instalações da Rádio Altitude, a rádio associativa portuguesa
de Clermont-Ferrand, para partilhar a
festa com toda a Comunidade portuguesa.
“Gosto muito do ambiente dessas festas. Estamos com a família, os amigos, a passar bons momentos. É um
prazer de partilhar a nossa alegria com
outras pessoas” disse uma jovem lusodescendente ao LusoJornal. “Acho
importante de manter estas tradições
dos Reis”.
Os jovens também participam nesse
evento e cada ano estão mesmo mais
presentes. Um fato importante que
nos deixa pensar que as tradições do
Dia de Reis vão continuar por alguns
anos ainda.
Organizado pela associação Convergência
muita gente no convívio de folclore de montreuil
Por Joaquim Pereira
Foi numa Escola Diderot a abarrotar,
com muitos Portugueses, que teve
lugar no domingo passado, mais um
convívio folclórico organizado pela
associação Convergência de Montreuil (93).
Regularmente
a
associação
consegue mobilizar muita gente,
mas no domingo passado, a sala estava particularmente cheia. Por lá
passaram os grupos Rosas de Portugal de Montreuil, Amicale FrancoPortugaise de Châtenay-Malabry,
Aldeias de Portugal de Fontenays/Bois, Províncias do Minho de
Chelles, mas também o grupo das
concertinas da associação. “Todas
as sextas-feiras um grupo de 17 tocadores de concertina juntam-se à
volta do Senhor Magalhães” explica
ao LusoJornal António Silva, o Presidente da coletividade.
Muita gente no convívio da associação Convergência
LusoJornal / Mário Cantarinha
A associação foi criada há 27 anos,
mas muitos dos fundadores ainda
pertencem aos corpos gerentes
atuais. O grupo de folclore, Rosas de
Portugal, tem cerca de 55 mem-
bros, desde os mais pequeninos
com 7 anos, até outros com 65 anos
ou mais. “Não é um grupo federado.
O grupo está bom, mas a Federação
pede coisas que é difícil de introdu-
zir no grupo” explica António Silva
ao LusoJornal. No entanto explica
que “há muito rigor” no grupo. “Estamos a representar uma região bem
específica, o Baixo Minho” diz o
Presidente. “Há elementos da Federação de Folclore Português que já
nos disseram que estamos bem trajados e dançamos melhor do que alguns grupos federados, mas eu sinto
que ainda não chegou o momento
de pedir a afiliação do grupo” declara ao LusoJornal. Os dirigentes
não toleram brincos, piercings e relógios nos elementos do grupo. “Estamos aqui para representar as
tradições antigas e não as modernas, por isso essas coisas não se
vêm no nosso grupo”.
António Silva é originário do distrito
de Viseu e mora em França há 45
anos. No domingo viveu mais um
dia feliz, porque estava muita gente
na festa de Montreuil.
PUB
Desporto
20
le 25 janvier 2012
Automobilismo
Armindo Araújo 10º no rali de monte Carlo
em
síntese
Foi criada a
Associação
portuguesa
de sueca
Por Jorge Campos
Mini de Armindo Araújo no Rali de Monte Carlo
DR
O organizador do Campeonato de
sueca na região de Lyon, Manuel
dos Santos, decidiu criar uma associação com o nome “Associação
Portuguesa de Sueca”.
“Após cinco anos de existência do
Campeonato, tinha de formalizar e
declarar na Préfecture toda esta organização, até para gerir as finanças, ter uma conta no banco e
funcionar o mais transparente possível” explicou ao LusoJornal. “Hoje
estamos só três pessoas na direção,
eu como Presidente, a minha filha
Elisabeth dos Santos, Secretária-Tesoureira, e o Mário Loureiro, que me
ajuda no terreno, mas se o Campeonato crescer, tenho que apelar a outras pessoas”.
Manuel dos Santos põe em evidência “um histórico de cinco anos” e
garante que “estes encontros ao
nível associativo são muito apreciados”.
“Quero também informar que os
fundos do saldo positivo das contas
de fim de ano, não utilizados na organização e eventos da associação,
serão utilizados em ajudas caritativas e obras sociais. São os nossos
objetivos e isto também em acordo
com as associações que participam
no Campeonato pois são elas que é
claro cotizam para participarem,
nesta única, por enquanto, atividade da associação” declarou ao
LusoJornal Manuel dos Santos.
PUB
Após cinco dias de competição e
percorridos mais de quatrocentos
quilómetros de especiais, Armindo
Araújo e Miguel Ramalho concluíram o Rali de Monte Carlo com um
positivo 10° lugar da geral, numa
prova ganha pelo francês Sebastien
Loeb (Citroen), oito vezes Campeão
do mundo.
A correr pela primeira vez na mítica
prova monegasca, a dupla portuguesa do Mini JCW WRC iniciou a
época 2012 com o pé direito, alcançando o primeiros pontos da tempo-
rada para a classificação individual
e também para o Campeonato de
equipas/marcas.
Na última especial de 5,16 quilómetros, Armindo Araújo jogou pelo
seguro e não arriscou em demasia
durante toda a “Power Stage” de
Ste Agnés, Col de la Madone. “Fizemos a última classificativa num bom
ritmo mas não queríamos correr riscos desnecessários e comprometer
o bom trabalho que realizámos até
aqui. Sabíamos que seria muito difícil anular a diferença para o Martin
Prokop e que a nossa posição dentro
do top-ten estava já assegurada. Foi
muito bom ter conseguido terminar
nos pontos, logo na nossa estreia no
Rali de Monte Carlo”, começou por
dizer o piloto português, minutos depois de ter passado pelo pódio final
instalado no Mónaco.
As inúmeras alterações das condições atmosféricas e as características únicas de uma prova como o
Rali de Monte Carlo foram, para a
dupla da equipa Armindo Araújo
World Rally Team, um grande desafio. “Este rali é mítico pelos motivos que todos conhecem e
mostrou-se este ano uma verdadeira
maratona. Durante cinco dias tivemos que gerir, da melhor forma, situações que nunca tínhamos
experimentado” e acrescenta: “Espero regressar cá no próximo ano e
voltar a sentir este ambiente fantástico de Monte Carlo”.
Taça de França 16° avos-de-final
o Bordeaux não ganhou para o susto
em Créteil
Por Alfredo Cadete
Créteil/Lusitanos (N) 1 - Bordeaux
(L1) 1 (2-2 a/p e 3-4 g/p)
Jogo no estádio Dominique Duvauchelle, em Créteil
Espetadores: 11.000
Árbitro: Turpin Clement, auxiliado
por Danos Nicolas e Haquette Frederic
Golos: Créteil/Lusitanos: Marcel Assombée (77’ e 90+5’). Bordeaux:
Míckael Ciani (60’) e Henri Saivet
(111’)
Ação disciplinar: Créteil/Lusitanos:
Nirlo (87’) e Lesage (108’). Expulsão: Lesage (108’)
Créteil/Lusitanos: Tibault Ferrand;
Lafon, Di Bartolomeu, Gondouin e
Tomas; Nirlo, Laifa (Emssobé, 70’),
Dabo (Da Cruz, 79’), Lesage e Partouche (Djellilahin, 51’); Hélder Esteves
Treinador: Jean-Luc Vasseur
Bordeaux: Cédric Carasso; Mariano,
Planus, Ciani e Tremoulinas;
Nguemo, Sertic (Beu Khaljallah,
91’), Plasil, Obraniak (Saivet, 83’) e
Goufrain (Bellon, 98’); MauriceBelay
Treinador: Francis Gillot
Ao intervalo (0-0)
Ambiente de euforia, foi o que se
viveu durante cento e trinta minutos
no estádio Dominique Duvauchelle
no jogo entre a equipa lusogaulesa
do Créteil/Lusitanos (13° no Campeonato Nacional) e o Bordeaux (9°
na Liga 1), que teve lugar no passado
sábado e que contou para os 16°
avos Taça de França.
Onze mil e duzentos espetadores, foi
a mesma moldura humana que esteve presente neste mesmo estádio,
aquando do jogo que contou também
para a Taça de França, entre os Lusitanos de St Maur do Presidente Armando Lopes, e o Bordeaux de Pedro
Pauleta e Bruno Basto. Só que neste
encontro quem levou a melhor foram
os homens do então Presidente Armando Lopes, que eliminou o Bordeaux (2-0).
Ferrand e Essombé
os homens do jogo
Quanto ao jogo, se em campo havia
duas equipas de escalões diferentes,
a verdade se diga, que essa diferença
quase nem se notou. O Créteil/Lusitanos começou por entrar bem no
jogo com Lesage a ameaçar logo nos
primeiros minutos a baliza de Cédric
Carrasso, para mais tarde pertencer
ao Bordeaux duas excelentes ocasiões, uma delas a levar a bola a
bater no poste à guarda de Tibault
Ferrand.
No segundo tempo, tudo se modificou com ambas as equipas a procurarem o golo da tranquilidade que
veio a pertencer ao Bordeaux, por
Mickael Cianic (60’) no aproveitamento de um pontapé de canto a cabecear e fazer o primeiro golo.
Um golo que não assustou Jean-Luc
Vasseur, já que de imediato fez saltar
do banco o novo reforço, Marcel Essembé, que não tardou a se estrear
com a sua nova camisola, marcando
o golo do empate (1-1) (77’), fazendo vibrar os onze mil e duzentos
espetadores que logo começaram
acreditar que a surpresa poderia
acontecer.
Mas não. Estava-se nos minutos finais, quando numa confusão dentro
da grande-área de Tibault Ferrand,
em que o árbitro não hesitou em assinalar grande penalidade, que Tibault Ferrand negou, obrigando os
22 atores a forçado prolongamento
com mais um golo para cada lado (22), até que se teve que recorrer à
marcação de grandes-penalidades
para se encontrar o feliz contemplado que acabou por ser o Bordeaux
(3-4).
Agora o Campeonato
Se o Bordeaux seguiu em frente para
os oitavos-de-final, em que os seus
adeptos não ganharam para o susto,
resta agora aos homens do Presidente Armando Lopes pensarem a
sério no Campeonato que regressa
esta sexta-feira, com a 22ª jornada e
com a receção do Épinal.
Já agora um referência para dois jogadores do Créteil/Lusitanos: o
guarda-redes Tibault Ferrand e o
novo reforço Marcel Essembé. O primeiro por ter evitado que o jogo terminasse
dentro
do
tempo
regulamentar ao defender o penálti a
três minutos do fim, e o segundo por
se ter estreado com dois excelentes
golos.
De referir ainda que o Créteil/Lusitanos ficou reduzido a dez por expulsão
de Lesage aos (114’) por acumulação do segundo cartão amarelo.
Boa arbitragem.
o que eles disseram no
final do jogo
Jean-Luc Vasseur (Treinador do Créteil/Lusitanos)
“Sinto-me triste e desanimado porque os meus homens tudo deram
para que continuássemos a fazer história na Taça de França. Mas
os penáltis são uma roleta-russa e ela sorriu ao Bordeaux. Já agora
aproveito para homenagear os meus jogadores pela coragem que
tiveram e por tudo o que deram. Tudo o que espero a partir de
agora, é voltar à regularidade no Campeonato”.
Cédric Carasso (Guarda-redes do Bordeaux)
“Se olharmos para as muitas ocasiões que desperdiçámos, não
tínhamos necessidade de sofrer como sofremos. Seja qual for a
equipa que tenhamos pela frente, não conseguimos ser lúcidos.
Curiosamente, já é a segunda vez que passamos através das
grandes-penalidades. Já é tempo de nos concentramos” concluiu.
Desporto
le 25 janvier 2012
21
Promotion d’Excellence - District du Rhône
Feyzin remporte le derby lyonnais
em
síntese
Par Mário Loureiro
Dimanche dernier, le 22 janvier, a eu
lieu au stade Jean Bouin, à Feyzin,
le derby de la région lyonnaise entre
les Portugais de Feyzin et ceux de
Saint Fons. Feyzin remporte (3-2)
cette première manche, comptant
pour le Championnat de Promotion
d’Excellence du district du Rhône.
Dans une première mi-temps, plus
ou moins équilibrée, les visiteurs,
par une tête de Milifarge à l’entrée
de la surface, ouvrent le score pour
Saint Fons, dès la 15ème minute de
jeu (0-1). Feyzin part à l’attaque
mais bute sur une défense menée
par Barreto, ainsi que sur la barre
transversale.
A la 44ème minute, les saintfoniards, sur un centre d’Ibrahim, Rodrigues, d’un tir à bout portant,
aggrave le score (0-2). Dans la minute qui suit, Sanchez commet une
main dans la surface de réparation.
Pénalty inévitable transformé et
réussi par Aklit (1-2).
Dès la reprise, le même Aklit touche
de nouveau la transversale. Pourtant
le jeu reste équilibré jusqu’à la
65ème minute, sans véritablement
d’occasion franche. A la 67ème,
resultados do
Futebol Amador
Por : Alfredo Cadete
Taça de França 16° de final
Liga de Paris (11ª jornada)
DSR, Grupo B
Bon esprit de fair-play entre deux équipes portugaises
LusoJornal / Mário Loureiro
après une longue course et une hésitation du portier saintfoniard, Delbianco marque le but égalisateur
(2-2). Peu de temps après, environ
2 minutes, Aklit crucifie Saint Fons
en marquant le but de la victoire,
dans les mêmes conditions que le
but précédant (3-2).
Liga de Paris
A partir de là, Feyzin prend le dessus
sur la rencontre mais le résultat restera figé, avec la victoire de l’équipe
locale.
Espérons que les Portugais de Saint
Fons sauront relever la tête afin de
sauver leur saison en Promotion,
échelon qu’ils viennent d’atteindre
cette année et souhaitons aussi
bonne continuation à l’équipe de
Feyzin.
A noter que cette rencontre s’est déroulée dans un très bon esprit de
fair-play entre deux équipes portugaises, ce qui n’est pas souvent le
cas.
Voleibol
primeira derrota
dos lusitanos
poitiers na
liga dos Campeões
Por Alfredo Cadete
Por Alfredo Cadete
Com os primeiros quarenta e cinco
minutos equilibrados e sem golos
(0-0) e desfalcados de quatro bons
elementos por lesão, o Treinador
Adérito Moreira não teve outra solução que recorrer a outras alternativas do seu plantel. Mas não foi o
suficiente para evitar a primeira derrota do Campeonato e do novo Ano
que agora começou, sobretudo em
casa do último classificado, o Ivry
US.
No entanto, o Lusitanos de Saint
Maur continua na liderança do
Campeonato DHR da Liga de Paris,
uma vez que o jogo Igny-Colombienne, ficou adiado.
No próximo domingo, a contar para
a décima segunda jornada, o Lusitanos de Saint Maur desloca-se a
Torcy para defrontar a equipa local
que ocupa o 5° lugar, num jogo que
o Presidente Artur Machado considera importante, dado que o Torcy
é também uma das sérias candidatas ao pódio.
Ao receberem na passada quartafeira e vencerem os Checos do
Ceske Budejovice (3-1), os três Portugueses Carlos Teixeira, André
Lopes e Nuno Pinheiro ao serviço do
Poitiers Volley, caribaram o passaporte para a play-off da Liga dos
Campeões Europeus. Até já conhecem o próximo adversário, os russos
Zénit Kazan, após sorteio realizado
no Luxemburgo na passada quintafeira.
PUB
Quanto às datas para os quatro
jogos da play-off, jogados em duas
mãos, os dois jogos da primeira mão
terão lugar em Poitiers, a 31 de janeiro e 2 de fevereiro, e depois na
Rússia a 7 e 9 de fevereiro.
Entretanto, ao vencer no passado
sábado o Toulouse (3-1) - 16ª jornada do Campeonato Nacional Liga
A -, e com a derrota do Tours em
Cannes (3-1), o Poitiers Volley recuperou a liderança que tinha perdido
na jornada anterior para o seu mais
direto perseguidor, o Tours Volley.
Thibaut
Vion em
estreia
na liga
portuguesa
O avançado francês Thibaut Vion,
jovem de 18 anos da equipa de
sub-19, foi a grande novidade nos
convocados do FC Porto, que recebeu domingo o Vitória de Guimarães, na 16ª jornada da Liga de
futebol.
Face às ausências de Hulk e Cristian Rodriguez, ambos lesionados,
e de Djalma, ao serviço de Angola
na CAN, o treinador Vítor Pereira
chamou o gaulês, que já tinha estado nos eleitos para o embate da
Taça da Liga (1-0 ao Estoril).
Alfortville-Créteil/Lusitanos (c) 2-2
Classificação: 1° Les Mureaux com 41
pontos, 9° Créteil/Lusitanos (c) 14
DHR, Grupo A
Ivry (b)-Lusitanos de St Maur 1-0
Classificação: 1° Lusitanos de St Maur
com 37 pontos, 2° Colombienne (-1
jogo) 33, 3° Torcy 29.
PH, Grupo B
Chelles-Portugueses de Goussainville
0-5
Classificação: 1° Aubervilliers (b) com
37 pontos, 5° Portugueses de Goussainville 26.
Liga Centro
PH, Grupo B
Contres-Portugueses de Bourges 3-1
Portugueses de Tours-St Avertin 1-4
Classificação: 1° St Doulchard com 35
pontos, 11° Portugueses de Bourges
(-1 jogo) 18, 12° Portugueses de Tours
(-1 jogo) 15.
Campeonatos Distritais
Val de Marne (94)
Campeonato de Excellence
Villejuif-Sporting Club de Paris 1-0
Classificação: 1° Paris FC (c) com 34
pontos, 2° Sporting Club de Paris 32,
3° Maisons Alfort 32.
Voleibol
Liga dos Campeões Europeus
Poitiers-Budejovie 3-1
Apurados para a play-off: Cuneu (Itália), Poitiers (França) e Tours (França).
Campeonato Nacional Liga A
Toulouse-Poitiers Volley 1-3
Classificação: 1° Poitiers com 39 pontos, 2° Tours Volley 37.
Agenda
Desportiva
Futebol
Campeonato Nacional (22ª jornada)
Sexta-feira, 20h00: Créteil/LusitanosÉpinal
CFA (16ª jornada)
Pau-Rodez (Rui Pataca)
CFA 2 (14ª jornada)
Grupo A: Rouen (b)-Issy FC (António
Tavares)
Grupo B: Reims (b)-Créteil/Lusitanos
Grupo G: Chartres (Manuel Abreu)Verton
Voleibol
Campeonato Nacional Liga A (17ª jornada): Poitiers Volley-Cannes
lusojornal.com
22
Tempo livre
le 25 janvier 2012
sorTeZ De CheZ VoUs
EXPOSITIONS
Du 27 janvier au 15 février
Exposition de dessins “Les Portugais à
Paris” de Irene Bonacina au Consulat
Général du Portugal à Paris, 6 rue
Georges Berger, à Paris 17.
Jusqu’au 30 janvier
Exposition de peinture de Roxane Torrão, à la Galerie Artmonti, 10/12 rue
Budé,
à
Paris
4.
Infos:
09.77.62.09.41.
Jusqu’au 7 février
Exposition du peintre brésilien Favoretto, invité d’honneur de l’Hivernal
de Lyon, 56e Salon d’hiver de Lyon.
Palais municipal, 20 quai de Bondy, à
Lyon 05.
CINEMA
Le samedi 11 février, 14h30
«Orfeu negro», un film de Marcel
Camus, adapté d’une pièce du brésilien
Vinicius de Moraes au Musée Dapper,
35 bis rue Paul Valéry, à Paris 16.
Infos: 01.45.00.91.75.
THÉÂTRE
Janvier/février
«Olá!» ‘one man show’ de l’humoriste
José Cruz au Théâtre Pandora, 30 rue
Keller, à Paris 11. Tous les jeudis et
vendredis, à 21h00.
Le dimanche 29 janvier, 17h00
«Olá!» (version en langue portugaise)
‘one man show’ de l’humoriste José
Cruz au Théâtre Popul’aire, 36 rue
Henri Chevreau, à Paris 20.
Le mardi 31 janvier, 21h00
Lecture et Mise en jeu de textes de
Clarice Lispector par la compagnie
Latinomania (lecture: Sandra Teixeira,
mise en espace: Smaël Benabdelouhab). Maison de l’Amérique latine,
217 boulevard Saint Germain, à
Paris 7.
Le vendredi 3 février, 20h30
Le samedi 4 février, 17h30;
Le 5 février 15h30
“Israel”, un one man show de Pedro
Zegre Penim, Teatro Praga de Lisboa
(en anglais et en français), dans le
cadre du Festival Le Standard Idéal, à
la Maison de la Culture MC93 de Bobigny (93).
Le samedi 4 février, 20h00
Le dimanche 5 février, 15h30
Le lundi 6 février, 20h00
“Sonho de uma noite de verão” par le
Teatro Praga de Lisboa (en portugais,
soutitré en français), en collaboration
avec Músicos do Tejo, basé sur l’oeuvre
de Shakespeare et l’opéra “The Fairy
Queen” de Henry Purcell, dans le cadre
du Festival Le Standard Idéal, à la Maison de la Culture MC93 de Bobigny
(93).
FADO
Le vendredi 27 janvier
Fado avec Diogo Rocha et Andreia Filipa, accompagnés par Filipe de Sousa
et Hugo Miguel. Restaurant Sinfonia,
132 avenue Henri Ginoux, à Montrouge
(92). Infos: 01.46.56.70.04.
Le vendredi 27 janvier
Fado avec Conceição Guadalupe,
présentée par Sousa Santos, accompagnée par Manuel Corgas et Flaviano
Ramos. Restaurant O Lusitano, 1 rue
du Président Roosevelt, à Clamart (92).
Infos: 01.46.42.58.31.
Le samedi 28 janvier, 20h30
Concert de fado avec Cristina Maria, la
nouvelle voix du fado et Custódio
Castelo, le maître de la guitare portugaise, organisé par CapSao. Salle
Molière, 18 quai de Bondy, à Lyon 5.
Infos: 07.86.83.35.23.
Le dimanche 29 janvier
Fado avec Conceição Guadalupe accompagnée par Manuel Corgas et Flaviano Ramos, présentée par Sousa
Santos et Júlia Silva. Restaurant L’Express, 148 rue Cardinet, à Paris 17.
Infos: 01.53.11.57.82.
Le mardi 31 janvier, 19h30
Concert de Mísia, “Senhora da Noite”,
au Le Bataclan, 50 boulevard Voltaire,
à Paris 11.
Le vendredi 3 février, 21h00
Soirée fado avec Aristides Torres, Susana Lopes, Manuel Miranda, Maria
Manuela, Diogo Rocha e Cláudia Costa,
accompagnés par Manuel Miranda,
Pompeu Gomes et Tony Correia, organisée par Rádio Alfa. Salle Vasco da
Gama, 1 rue Vasco da Gama, à Valenton
(94). Infos: 01.45.10.98.60.
Le vendredi 3 février, soir
Soirée Fado Vadio, avec José Rodrigues
(guitare portugaise) et Zéca Afonso. Les
Jardins de Montesson, 29 boulevard de
la République, à Montesson (78). Infos:
01.30.71.59.85.
Le samedi 4 février, 20h30
«La Nuit du Fado» organisée par la
Fédération des Associations Portugaises Rhône-Alpes. Salle Espace 140,
291 rue d’Athènes, à Rillieux-la-Pape
(69).
Le samedi 4 février, 20h30
18° Soirée du Fado avec Isilda Miranda, Juliana Duarte, Filomena Silva
et Gonçalo Mendes (fado de Coimbra),
accompagnés par Artur Caldeira, Daniel
Pareces et Mário Henriques. Organisée
par l’Association d’amitié franco-portugaise nemourienne. Salle de Fêtes, à
Nemours (77). Infos: 01.64.78.09.94.
Le vendredi 10 février, 20h00
Dîner/conférence musicale avec Fado
de Lisboa et Fado de Coimbra, par
Manuel Mendes, organisé par l’Institut
de Langue et de Culture Portugaise au
Restaurant Le Canelas, à Lyon. Infos:
04.78.93.38.88.
CONCERTS
Le jeudi 26 janvier
Concert de Ramiro Naka au restaurant
Sinfonia, 132 avenue Henri Ginoux, à
Montrouge (92).
Infos: 01.46.56.70.04.
Le vendredi 27 janvier, 19h30
Concert de choro avec Maria Inês
Guimarães (piano), Bruno Wilhelm (saxophone), Paul Mindy (percussion, voix et
flûte) et Dominique Muzeau (basse
acoustique). Au Swan Jazz Bar, 165
boulevard du Montparnasse, à Paris 6.
Le samedi 28 janvier
Semba-Jazz avec Carlos Nascimento.
Restaurant Sinfonia, 132 avenue Henri
Ginoux, à Montrouge (92).
Infos: 01.46.56.70.04.
Les lundis 30 janvier, 6 et 13 février,
18h30
Apéro Luso avec Bévinda accompagnée
par Gilles Clément à la guitare. Ozo, 37
rue de Quincampoix, à Paris 4. Infos:
01.42.77.10.03. Entrée libre.
Le samedi 11 février, 20h30
Concert de Sara Tavares dans le cadre
du Festival Au Fil des Voix, à l’Alhambra de Paris, 21 rue Yves Toudic, à
Paris 10. Info: 01.40.20.40.25.
SPECTACLES
Le samedi 28 janvier, 21h00
Soirée «galette» organisée par le
Comité de jumelage Achères-Amarante,
animée par Marco et Alicia. Salle Boris
Vian (face à la gare RER), à Achères
(78). Entrée gratuite sur réservation.
Infos: 06.10.88.01.72.
Le samedi 28 janvier, 20h30
«Bruno-Michel Abati, le samba
français» à La Taverne de Dada, 25 rue
de la République, à St Romain au Mont
d’Or (69). Infos: 04.72.42.25.19.
Le dimanche 29 janvier, 12h30
Repas dansant de solidarité pour les
démunis de la Communauté portugaise, organisé par l’association Agora
et la Santa Casa da Misericórdia de
Paris, avec Luis Manuel, Paula Soares,
Dj Aníbal, Mike da Gaita, Lurdes Santana, Zé Amaro et Linda. Salle Jean
Vilar, boulevard Heloïse, à Argenteuil
(95). Infos: 06.24.25.79.27.
avec André Sardet, Ana Ritta, Nelson
Ritchie, Belito Campos, Luis Manuel,
Manuel Campos, Michael & Steven,
Smack e Sabrina Simões. Palais des
Sports de l’Ile de Vannes, 11-15 boulevard Maréchal Paul, à Ile Saint Denis
(93).
Les 11 et 12 février
Fête de la Radio Portugas avec
plusieurs artistes: Maria Lisboa, Kassio,
Paula Soares, Dyogo Douro, Hugo Sampaio, Anjos da Noite et David Garcia.
Salle Polyvalente, à Saint Gilles (30).
Infos: 04.66.21.61.44.
FOLKLORE
Le dimanche 5 février
Après-midi de concertinas organisé par
l’Association Musicale Franco Portugaise Ile de France et le groupe de folklore Verde Minho de Maisons-Alfort.
Salle des Planètes, Centre Culturel,
149 rue Marc Sangnier, à Maisons Alfort
(94). Infos: 06.68.32.17.57.
Le dimanche 5 février, 14h00
Festival de folklore organisé par l’ARCOP, avec les groupes Estrelas de Portugal de Cergy-Pontoise, Casa dos
Arcos da região de Paris, Flores do
Lima de Villiers-le-Bel, Flores de Portugal de Puteaux, Aldeias do Minho de
Malakof, Alegres do Minho de Paris 13
et Arcop de Nanterre. Salle des Congrès, rue du 8 mai 1945, à Nanterre
(92). Infos: 06.07.44.86.72.
DIVERS
Le dimanche 29 janvier, 14h30
Torneio de Sueca, organisé par l’Association Folklorique Jeunesse Portugaise
de Paris 7. Salle C3B, 54 rue Emeriau,
à Paris 15. Infos: 01.45.54.06.11.
Le samedi 4 février, 21h30
Fête portugaise animée par Carlos
Ribeiro et son orchestre, organisée par
l’ARCOP à la Salle des Congrès, rue du
8 mai 1945, à Nanterre (92). Infos:
06.07.44.86.72.
Le dimanche 5 février, 15h00
Chocolat littéraire sur «La musique en
toutes lettres», organisé par l’association Vagamundo et la Bibliothèque de
Rosporden, 17, rue Alsace Lorraine, à
Rosporden (19).
Le samedi 11 février, 21h00
Festival da Comunidade e da Solidariedade, organisé par l’ACP et Dyam,
Le dimanche 5 février, 13h00
«Journée Portugal» à l’Hippodrome de
Paris Vincennes, à Paris.
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contacto
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círculo
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11:15 Querida Júlia
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15:30 Mais Mulher
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reportagem
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minuto
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13:00 Não há crise!
14:00 1° Jornal
15:30 Laços de sangue
17:00 Q. mudei de casa
17:45 G. num minuto
19:15 V. mudei a loja
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21:00 Jornal da Noite
21:30 Futebol: Feirense
vs Benfica
23:15 J.da noite (cont)
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01:45 Ex.da meia-noite
02:45 Rosa fogo
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Descubra as palavras
Ana
Carla
Catarina
Diana
Fátima
Joana
Luis
Manuel
Miguel
Nuno
nomes
Pedro
Rodrigo
Sofia
Teresa
Tiago
23
em
síntese
Vasco maurício
convidado na
rádio enghien
No próximo
sábado, dia 28
de janeiro, a
equipa do programa ‘Voz de
Portugal’ da
rádio Enghien
vai receber Vasco Maurício, responsável pela marca de roupa Scovandeli.
No sábado seguinte, dia 4 de fevereiro, a convidada do programa é
Paula Soares que vai apresentar o
seu nome tema “No ritmo do coração”.
O programa tem lugar aos sábados,
das 14h30 às 16h30, e pode ser ouvido na região norte de Paris em FM
98,0 ou por internet em
www.idfm98.fr.
Diogo rocha
convidado na
rádio Alfa
O
fadista
Diogo Rocha
vai ser o convidado do programa
de
rádio
“Só
Fado” que é
emitido na próxima sexta-feira, dia 27
de janeiro, entre as 21h00 e as
23h00 na Rádio Alfa, animado semanalmente por Odete Fernandes e Manuel Miranda.
O programa pode ser ouvido em direto, na região de Paris, em 98,6 FM
ou por internet em www.radioalfa.net.
siC internacional
gosto Disto!
Há vida para
além da crise.
É este o propósito
do
“Gosto Disto!”.
No novo programa de entretenimento da SIC Internacional não
há austeridade, nem troika, nem dívidas soberanas.
Com apresentação de César Mourão
e Andreia Rodrigues, “Gosto Disto!”
reflete um mundo que é hoje maior
que o nosso: são mais de 100 milhões de vídeos vistos por dia no Youtube e 3 mil milhões de visualizações
diárias - o equivalente a quase metade da população mundial .Um programa original para toda a família,
para rir do princípio ao fim.
Aos sábados e domingos, às 20h15
(hora francesa), na SIC Internacional.
lusojornal.com
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