Ricardo Leon Lopes Doutorando em Letras Clássicas pela USP (Universidade de São Paulo); Mestre em Filosofia da História pela UFPB/USP; Professor de Filosofia da Área de Filosofia da UACS (Unidade Acadêmica de Ciências Sociais) da UFCG (Universidade Federal de Campina Grande), Campina Grande, Paraíba. TRADUÇÃO DO TEXTO DE JEAN-PAUL SARTRE: UNE IDÉE FONDAMENTALE DE LA PHÉNOMÉNOLOGIE DE HUSSERL: L’INTENTIONNALITÉ RESUMO A influência do pensamento de Husserl na obra filosófica de Jean-Paul Sartre O ser e o nada – Ensaio de ontologia fenomenológica, publicada em 1943, foi importante. Os conceitos de intencionalidade, facticidade, fenômeno, além de outros constantes na obra do pensador alemão, foram muito utilizados pelo pensador francês. Esta tradução linear que procuramos fazer, vem corroborar a importância que Sartre, em 1939, reputava à obra do pensador alemão. Palavras-chave: Husserl – Fenomenologia – Intencionalidade. ABSTRACT The influence of the thought Husserl in the philosophy work of Jean-Paul Sartre Being and Nothingness, published in 1943, was gone very important. The intentionality, the world of being, phenomenon concepts, and others presents in the german thought, went very uses make French thinker. The linear translation did make establish the importance that Sartre, in 1939, to give german thinker works. Key Words: Husserl – Phenomenon – Intentionality. VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 Tradução do texto de Jean-Paul Sartre: une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl: l’intentionnalité INTRODUÇÃO Esta tradução linear tem a intenção de divulgar o texto Uma idéia fundamental da fenomenologia de Husserl: A intencionalidade, de Jean-Paul Sartre, publicado em Situations I, 1947, pela editora Gallimard, a fim de que se possa conhecer a influência do pensamento de Husserl na elaboração sartreana de sua obra O ser e o nada – Ensaio de ontologia fenomenológica. É oportuno este modesto trabalho, porque além de enfatizar os conceitos de consciência, fenômeno, mundo e intencionalidade, possibilita-nos, de nossa parte, prestar uma humilde homenagem aos 100 anos do nascimento de Jean-Paul Sartre, ocorrido no ano de 2005. Em várias partes do mundo, pesquisadores reuniram-se para lembrarem o pensamento de Sartre e a sua marcante presença no século XX, nos grandes acontecimentos políticos, sociais, filosóficos e literários. Hoje, em várias partes do mundo se retoma os estudos da obra de Sartre, inclusive no Brasil, onde desde o final dos anos 90 do século passado, editoras vêm traduzindo para a nossa língua as obras filosóficas principais do pensador francês, uma vez que a parte literária, desde muito tempo, já era traduzida. Esta tradução foi apresentada por nós na XV Semana de Filosofia da UFRN: Razão e liberdade, no Departamento de Filosofia da UFRN, na comunicação oral “O conceito de intencionalidade em Husserl segundo Jean-Paul Sartre”, no dia 11/11/2005, à tarde, e, à noite, na palestra “A carência do ser para-si na obra de Jean-Paul Sartre”, na cidade de Natal, Rio Grande do Norte, bem como, parte da tradução, na mesa-redonda “Os 100 anos de Sartre” na Semana de Filosofia da FACCG – Faculdade Católica de Campina Grande e UEPB – Universidade Estadual da Paraíba, em 26/10/2005, portanto, antes de sua tradu- ção para a língua portuguesa. Recentemente, em dezembro de 2005, a Editora Cosac & Naify publicou Situações I – críticas literárias, com prefácio do Prof. Dr. Bento Prado Jr., e, tradução de Cristina Prado, possibilitando aos interessados em pesquisar essa obra de Jean-Paul Sartre a leitura em língua portuguesa. Posto isto, vamos aos textos: SITUATIONS I UNE IDÉE FONDAMENTALE DE LA PHÉNOMÉNOLOG1E DE HUSSERL: L’INTENTIONNALITÉ «Il la mangeait des yeux.» Cette phrase et beaucoup d’autres signes marquent assez 1’illusion commune au réalisme et à 1’idéalisme, selon laquelle connaitre, c’est manger. La philosophie française, après cent ans d’académisme, en est encore là. Nous avons tous lu Brunschvicg, Lalande et Meyerson, nous avons tous cru que 1’Esprit-Araignée attirait les choses dans sa toile, les couvrait d’une bave blanche et lentement les déglutissait, les réduisait à sa propre substance. Qu’est-ce qu’une table, un rocher, une maison? Un certain assemblage de «contenus de conscience», un ordre de ces contenus. O philosophie alimentaire! Rien ne semblait pourtant plus évident: la table n’est-elle pas le contenu actuel de ma perception, ma perception n’est-elle pas l’état présent de ma conscience? Nutrition, assimilation. Assimilation, disait M. Lalande, des choses aux idées, des idées entre elles et des esprits entre eux. Les puissantes arêtes du monde étaient rongées par ces diligentes diastases: assimilation, unification, identification. En vain, les plus simples et les plus rudes parmi nous cherchaient-ils quelque chose de solide, que- VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 103 Ricardo Leon Lopes lque chose, enfin, qui ne fût pas 1’esprit; ils ne rencontraient partout qu’un brouillard mou et si distingue: eux-mêmes. Contre la philosophie digestive de l’empirio-criticisme, du néo-kantisme, contre tout «psychologisme», Husserl ne se lasse pas d’affirmer qu’on ne peut pas dissoudre les choses dans la conscience. Vous voyez cet arbre-ci, soit. Mais vous le voyez à 1’endroit même où il est: au bord de la route, au milieu de la poussière, seul et tordu sous la chaleur, à vingt lieues de la côte méditerranéenne. Il ne saurait entrer dans votre conscience, car il n’est pas de même nature qu’elle. Vous croyez ici reconnaître Bergson et le premier chapitre de Matière et Mémoire. Mais Husserl n’est point réaliste: cet arbre sur son bout de terre craquelé, il n’en fait pas un absolu qui entrerait, par après, en communication avec nous. La conscience et le monde sont donnés d’un même coup: extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif à elle. C’est que Husserl voit dans la conscience un fait irréductible qu’aucune image physique ne peut rendre. Sauf, peut-être, l’image rapide et obscure de 1’éclatement. Connaïtre, c’est «s’éclater vers», s’arracher à la moite intimité gastrique pour filer, là-bas, par delà soi, vers ce qui n’est pas soi, là-bas, près de l’arbre et cependant hors de lui, car il m’échappe et me repousse et je ne peux pas plus me perdre en lui qu’il ne se peut diluer en moi: hors de lui, hors de moi. Est-ce que vous ne reconnaissez pas dans cette description vos exigences et vos pressentiments? Vous saviez bien que 1’arbre n’était pas vous, que vous ne pouviez pas le faire entrer dans vos estomacs sombres et que la connaissance ne pouvait pas, sans malhonnêteté, se comparer à la possession. Du même coup, la conscience s’est purifiée, elle est claire comme un grand vent, il n’y a plus rien en elle, sauf un 104 mouvement pour se fuir, un glissement hors de soi; si, par impossible, vous entriez «dans» une conscience, vous seriez saisi par un tourbillon et rejeté au dehors, près de 1’arbre, en pleine poussière, car la conscience n’a pas de «dedans»; elle n’est rien que le dehors d’ellemême et c’est cette fuite absolue, ce refus d’ètre substance qui la constituent comme une conscience. Imaginez à présent une suite liée d’éclatements qui nous arrachent à nous-mêmes, qui ne laissent même pas à un «nous-mêmes» le loisir de se former derrière eux, mais qui nous jettent au contraire au dela d’eux, dans la poussière sèche du monde, sur la terra rude, parmi les choses; imaginez que nous sommes ainsi rejetés, délaissés par notre nature même dans un monde indifférent, hostile et rétif; vous aurez saisi le sens profond de la découverte que Husserl exprime dans cette fameuse phrase: «Toute consscience est conscience de quelque chose.» Il n’en faut pas plus pour mettre un terme à la philosophie douillette de l’immanence, ou tout se fait par compromis, échanges protoplasmiques, par une tiède chimie cellulaire. La philosophie de la transcendance nous jette sur la grand’route, au milieu des menaces, sous une aveuglante lumière. Être, dit Heidegger, c’est ètre-dans-le-monde. Comprenez cet «être-dans» au sens de mouvement. Être, c’est éclater dans le monde, c’est partir d’un néant de monde et de conscience pour soudain s’éclater-conscience-dans-le-monde. Que la conscience essaye de se reprendre, de coïncider enfin avec elle-même, tout au chaud, volets clos, elle s’anéantit. Cette necessite pour la conscience d’exister comme conscience d’autre chose que soi, Husserl la nomme «intentionnalité». J’ai parlé d’abord de la connaissance pour me faire mieux entendre: la philosophie française, qui nous a formés, ne connaît plus guè- VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 Tradução do texto de Jean-Paul Sartre: une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl: l’intentionnalité re que l’épistémologie. Mais, pour Husserl et les phénoménologues, la conscience que nous prenons des choses ne se limite point à leur connaissance. La connaissance ou pure «représentation» n’est qu’une des formes possibles de ma conscience «de» cet arbre; je puis aussi l’aimer, le craindre, le hair, et ce dépassement de la conscience par elle-même, qu’on nomme «intentionnalité», se retrouve dans la crainte, la haine et 1’amour. Haïr autrui, c’est une manière encore de s’éclater vers lui, c’est se trouver soudain en face d’un étranger dont on vit, dont on souffre d’abord la qualité objective de «haïssable». Voilà que, tout d’un coup, ces fameuses réactions «subjectives», haine, amour, crainte, sympathie, qui flottaient dans la saumure malodorante de 1’Esprit, s’en arrachent; elles ne sont que des manières de découvrir le monde. Ce sont les choses qui se dévoilent soudain à nous comme haïssables, sympathiques, horribles, aimables. C’est une propriété de ce masque japonais que d’être terrible, une inépuisable, irréductible propriété qui constitue sa nature même, – et non la somme de nos réactions subjectives à un morceau de bois sculpté. Husserl a réinstallé 1’horreur et le charme dans les choses. II nous a restitué le monde des artistes et des prophètes: effrayant, hostile, dangereux, avec des havres de grâce et d’amour. II a fait la place nette pour un nouveau traité des passions qui s’inspirerait de cette vérité si simple et si profondément méconnue par nos raffinés: si nous aimons une femme, c’est parce qu’elle est aimable. Nous voilà délivrés de Proust. Délivrés en méme temps de la «vie intérieure»: en vain chercherions-nous, comme Amiel, comme une enfant qui s’embrasse l’épaule, les caresses, les dorlotements de notre intimité, puisque finalement tout est dehors, tout, jusqu’à nousmémes: dehors, dans le monde, parmi les autres. Ce n’est pas dans je ne sais quelle retraite que nous nous découvrirons: c’est sur la route, dans la ville, au milieu de la foule, chose parmi les choses, homme parmi les hommes. Janvier 1939. UMA IDÉIA FUNDAMENTAL DA FENOMENOLOGIA DE HUSSERL: A INTENCIONALIDADE “Ele a comia com os olhos”. Esta frase e muitos outros signos marcam bastante a ilusão comum ao realismo e ao idealismo (destaques nosso), segundo a qual conhecer, é comer. A filosofia francesa após 100 anos de academicismo, ainda se prende a essa ilusão. Nós todos lemos Brunschvicq, Lalande e Meyerson, nós todos acreditamos que o Espírito-Aranha atirava as coisas em sua teia, as cobria de uma baba branca e lentamente as deglutia, reduzindo-as à sua própria substância. O que é uma mesa, um rochedo, uma casa? Um certo conjunto de “conteúdos da consciência”, uma ordem desses conteúdos. O filósofo alimentador! Nada, portanto, parece mais evidente: a mesa não é o conteúdo atual de minha percepção, minha percepção não é o estado presente de minha consciência? Nutrição, assimilação. Assimilação, dizia Senhor Lalande, das coisas às idéias, das idéias entre elas e dos espíritos entre eles. As poderosas arestas do mundo são roídas por essas diligentes diástases (destaque nosso): assimilação, unificação, identificação. Em vão, os mais simples e os mais rudes entre nós procurariam neles alguma coisa sólida, alguma coisa, enfim, que não fosse o espírito; eles não encontrariam em toda a parte senão um mata-borrão mole e tão distinto: eles mesmos. Contra a filosofia digestiva do empiro-criticismo, do neo-kantismo (destaque nosso), con- VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 105 Ricardo Leon Lopes tra todo “psicologismo”, Husserl não se cansa de afirmar que não se pode dissolver as coisas na consciência. Vós vedes esta árvore aqui, pois sim. Mas vós a vedes no lugar mesmo onde ela está: à borda do caminho, no meio da poeira, só e torcida sob o calor, a vinte léguas do mediterrâneo. Ela não saberá entrar na nossa consciência, pois ela não e da mesma natureza que esta. Você crê aqui reconhecer Bergson e o primeiro capítulo de Matéria e Memória. Mas Husserl não é de modo algum realista: esta árvore sobre sua ponta de terra fendida, ele não faz dela um absoluto que entraria, depois, em comunicação conosco. A consciência e o mundo são dados ao mesmo tempo: exterior por essência à consciência, o mundo é, por essência relativo à ela. É que Husserl vê na consciência um fato irredutível que nenhuma imagem física pode exprimir. Salvo, talvez, a imagem rápida e obscura do manifestar-se. Conhecer, é “se manifestar rumo à”, arrancar-se da úmida intimidade gástrica para esgueirar-se, longe, para além de si, rumo ao que não é si, longe, perto da árvore e entretanto fora dela, pois ela me escapa e me repele e eu não posso mais me perder nela como ela não pode diluir-se em mim: fora dela, fora de mim. Vós não reconheceis nesta descrição vossas exigências e vossos pressentimentos? Vós bem sabeis que a árvore não era vós, que vós não podeis fazê-la entrar nos vossos estômagos sombrios e que a consciência não podia, sem desonestidade, se comparar à possessão. Ao mesmo tempo, a consciência é pura, ela é clara como um grande vento, não há nada nela, salvo um movimento para fugir de si, um deslizamento para fora de si; se, pela impossibilidade, vós entrares “numa” consciência, vós seríeis agarrado por um turbilhão e rejeitado para fora, perto da árvore, na plena poeira, pois a consciência não tem ‘dentro’; ela não é nada senão o fora dela mesma e é essa recusa absoluta, essa recusa de ser substância que a constitui como uma consciência. Ima- 106 gineis no presente uma série unida de manifestações que nos arrancam de nós mesmos, que não deixam mesmo a um ‘nós mesmos’ o ócio de se criar detrás deles, mas que nos lançam ao contrário para além deles, na poeira seca do mundo, sobre a terra rude, entre as coisas; imagineis que nós somos assim repelidos, abandonados pela nossa natureza mesma num mundo indiferente, hostil e teimoso; vós teríeis compreendido o sentido profundo da descoberta que Husserl exprime na sua famosa frase: “Toda consciência é consciência de alguma coisa” (grifo nosso). Não é preciso mais nada por colocar um fim à filosofia delicada da imanência (destaque nosso), onde tudo se faz por compromissos, mudanças protoplásmicas, por uma morna química celular. A filosofia da transcendência (destaque nosso) nos lança sobre a grande estrada, no meio de ameaças, sob uma obcecante luz. Ser (destaque nosso), diz Heidegger, é ser no mundo. Compreendeis este “ser-no” no sentido de movimento. Ser, é manifestar-se no mundo, é partir de um nada de mundo e da consciência para de repente se manifestar-consciência-no-mundo. Que a consciência tente se recuperar, de coincidir enfim com ela mesma, imediatamente, se fecham às janelas, ela se aniquila. Essa necessidade para a consciência de existir como consciência de outra coisa que ela, Husserl a nomeia de “intencionalidade” (grifo nosso). Eu falei inicialmente da consciência para melhor me fazer entender: a filosofia francesa, que nos formou, não conhece de modo algum senão a epistemologia, Mas, para Husserl e os fenomenólogos, a consciência que nós agarramos das coisas não se limita ao seu conhecimento. A consciência ou pura “representação” não é senão uma das formas possíveis de minha consciência “desta” árvore; eu posso também amá-la, temê-la, odiá-la, e esta ultrapassagem da consciência em relação à ela mesma, VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 Tradução do texto de Jean-Paul Sartre: une idée fondamentale de la phénoménologie de Husserl: l’intentionnalité que nomeamos de “intencionalidade”, se reencontra no receio, no ódio e no amor. Odiar o outro, é uma maneira ainda de se manifestar rumo a ele, é o encontrar de repente diante de um estranho do qual se vive, do qual se sofre primeiro a qualidade objetiva de “odioso”. Eis que, duma só vez, as famosas reações “subjetivas”, ódio, amor, temor, simpatia, que flutuam na salmoura mal aromática do Espírito, delas se arrancam; elas não são senão maneiras de descobrir o mundo. São as coisas que se revelam de repente para nós como odiosas, simpáticas, horríveis, amáveis. É uma propriedade dessa máscara japonesa de ser terrível, uma inesgotável, irredutível propriedade que constitui a sua natureza mesma, – e não a soma de nossas reações subjetivas a um pedaço de madeira esculpida. Husserl reinstalou o horror e o encanto nas coisas. Ele nos restituiu o mundo dos artistas e dos profetas: assustador, hostil, perigoso, como enseadas de graça e de amor. Ele tornou o lugar claro para um novo tratado das paixões que se inspiraria desta verdade tão simples e tão profundamente irreconhecível para nós refinados: se nós amamos uma mulher é porque ela é amável. Ei-nos libertos de Proust. Libertos ao mesmo tempo da ‘via interior’: em vão nós procuraremos, como Amiel, como uma garota que se abraça aos ombros, as carícias, as animações de nossa intimidade, porque finalmente tudo está fora, tudo, até nós mesmos: fora, no mundo, entre os outros. Não é em não sei qual retiro que nós nos descobriremos: é na estrada, nas cidades, no meio da multidão, coisa entre as coisas, homem entre os homens. Janeiro 1939. VEREDAS FAVIP, Caruaru, Vol. 2, n. 01, pp. 102–107, jan./jun. 2005 107